La situation au Proche Orient est catastrophique. Il ne s’agit plus depuis bien longtemps de la sécurité d’Israël. Benjamin

NETANYAHOU n’est pas « le rempart de la civilisation contre la barbarie ». La barbarie, il en use au quotidien par l’emploi de la force sans discernement qui se traduit par des dizaines de milliers de victimes civiles et l’abandon des otages du Hamas.

La fuite en avant dans la guerre totale du premier ministre d’Israël ne sert que son propre intérêt afin de se maintenir au pouvoir en

s’appuyant sur une frange de la population d’extrême droite religieuse et suprémaciste visant à l’éradication des palestiniens au profit du Grand Israël.
L’emploi de la guerre, le massacre des civils, la destruction du sol, de l’eau, de la terre et de l’écosystème qui permettaient au peuple d’exister, ne font, en réalité, que renforcer les rangs du Hamas, du Hezbollah et la haine d’Israël chez les Palestiniens.

C’est la région entière, le monde lui-même, qu’une telle attitude met en danger.
Il n’y a pas d’autre solution que d’arrêter les combats via un cessez le feu.
Ce ne sera possible que par la pression des pays occidentaux sur Netanyahou et son gouvernement, l’arrêt des livraisons d’armes, la libération des otages et des prisonniers politiques et la mise en œuvre de négociations entre représentants pacifistes des deux parties pour aller vers un règlement à deux états dans les frontières de 1967.
Il n’y a pas d’alternative.