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Rassemblement unitaire contre la répression des mouvements écologistes et sociaux...
Mercredi 28 juin, 19h devant la sous prefecture de Draguignan :RASSEMBLEMENT UNITAIRE CONTRE LA RÉPRESSION DES MOUVEMENTS ÉCOLOGISTES ET SOCIAUXLe mardi 20 juin dernier, au moins 18 personnes étaient arrêtées et placées en garde à vue suite à une grande opération policière présentée comme la conséquence d’une enquête sur l’action contre l’usine Lafarge dans les Bouches du Rhône, mais aussi suite à la manifestation de Sainte Soline. Dans la foulée deux personnes étaient incarcérées, l’une condamné à 10 mois fermes, et l’autre, un maraîcher de la Meuse, risque 7 ans de prison.Le lendemain, mercredi 21 juin, le gouvernement annonce la dissolution des Soulèvements de la Terre.NE LES LAISSONS PAS FAIRE !Le mouvement des Soulèvements de la Terre a contribué en l’espace de deux ans à visibiliser davantage la nécessité vitale de protéger la terre des activités humaines destructrices. Préserver le vivant et lutter contre l’agro-industrie sont des objectifs que nous partageons avec ce mouvement. C’est pourquoi nous avons été côte-à-côte dans plusieurs actions d’envergure, dont celle contre LVMH à la Motte en août 2022, pour défendre la terre et l’eau, et sommes déterminés à nous battre pour la répartition équitable de ces communs.Face à l’urgence sociale et climatique que le monde agricole vit de plein fouet, la Confédération paysanne s’est logiquement engagée, comme elle l’a fait tout au long de son histoire, à œuvrer collectivement avec des militant.es citoyens pour protéger les terres agricoles, nos droits sociaux et déployer l’indispensable transition agroécologique de notre agriculture.Dès qu'un mouvement écologique s'attaque aux intérêts de l'agro-industrie, dès qu'un mouvement social lutte pour préserver ses conquis, il est aujourd'hui systématiquement criminalisé et durement réprimé. Ces derniers mois, la violence d'Etat apparaît davantage à nu, en s'abattant sur les militant.es du mouvement social et écologique. Le vrai visage du néolibéralisme se révèle en effet brutalement lorsque des intérêts capitalistes puissants sont menacés par un légitime désir de justice sociale et climatique, de plus en plus prégnant parmi la jeunesse.La dissolution des Soulèvements de la Terre est une attaque directe à la liberté d'expression, d'opinion, d'association, de manifestation, aux droits humains, aux droits à l'eau et à l'alimentation et aux droits de l'environnement. Que ce soit par les observateurs de la Ligue des Droits de l'Homme ou les experts de l'ONU, les autorités françaises sont unanimement décrites comme engagées dans une grave dérive anti-démocratique.Les questions soulevées par les mouvements sociaux et écologiques ne disparaîtront pas par enchantement. Les problèmes auxquels nous faisons face restent entiers : dérèglement climatique, baisse continue du nombre de paysan.nes, effondrement de la biodiversité… Dissoudre l'opposition est un mirage inconséquent de la part du gouvernement. Les décideurs politiques doivent dialoguer et agir sur les causes de ces problèmes, plutôt que tenter de réduire au silence toutes les critiques du modèle socio-économique actuel.Nous dénonçons la vague de répression qui s’abat sur le mouvement des soulèvements de la terre et ses alliés et nous appelons, avec toutes les forces progressistes, à se battre pour un monde meilleur qui préserve notre planète et qui protège les droits des paysan.nes, notamment leur accès à la terre et à l'eau.Premiers signataires :La Confédération paysanne du VarLes amis des Soulèvement de la Terre - groupe local du VarLes amis de la Conf' Var.Ligue des Droits de l'Homme Var (LDH)Attac VarColibris 83 dracenieAmap du flayosquetSolidaires VarSNJ-CGT 83La France Insoumise Var (LFI)Europe-Ecologie-Les-Verts Var (EELV)Nouveau Parti Anticapitaliste Var (NPA)Parti Communiste Français Var (PCF)Fakir -
Projection du film Yallah Gaza, au Cinéma CGR Draguignan...
Voilà le lien pour réserver les places :
https://achat.cgrcinemas.fr/draguignan-chabran/reserver/F575010/D1715880600/VF/215133/Une question vient à l’esprit, lancinante, tout au long des 100 minutes que dure Yallah Gaza, le documentaire de Roland Nurier tourné en 2022 dans l’enclave palestinienne : combien, parmi les Gazaoui·es filmé·es et interviewé·es dans ce film, sont encore vivants ?
Comment vivent-ils, ou survivent-ils, dans cette tourmente sanglante qui emporte leurs existences depuis le 7 octobre et les attaques meurtrières du Hamas en Israël ? Combien sont morts dans les bombardements israéliens ?
Quel futur pour ces enfants qui participent à des thérapies de groupe qui leur rendent le sourire, si tant est que cette nouvelle guerre, plus violente encore que celles qu’ils ont déjà subies, les épargne ? -
Toulon, montée de l'extrême droite en Europe...
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Draguignan : Dans les couloirs des urgences...
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Draguignan : Soirée de solidarité avec la Palestine...
N'oublie pas ceux qui réclament la paix !
Mardi 23 avril 2024, à partit de 18 h 30
Maison des sports et de la jeunesse
boulevard Marx Dormoy, DraguignanRencontres, projections de films, débats
avec
Pierre Stambul, Manel et Olivier Baudoin.UrgencePalestineEstVar@proton.me
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Printemps des migrations...
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Pour lutter contre l’antisémitisme, on ne peut pas marcher avec ceux qui l’encouragent...
Les actes antisémites qui se sont développés ces dernières semaines suscitent une peur et une émotion bien légitimes dans une grande partie de la communauté juive en France. Le NPA réaffirme sa solidarité à l’égard des personnes victimes d’actes antisémites, et continuera de lutter avec énergie contre l’antisémitisme et contre tous les racismes.
À cet égard, le NPA ne marchera pas ce dimanche 12 novembre au côté du gouvernement et de l’extrême droite. Les présidents des deux chambres ont appelé, sur une idée originale d’Olivier Faure du PS, à une manifestation contre l’antisémitisme, suscitant bien des interrogations sur le positionnement politique, et en particulier sur les forces qui composeront ce cortège. Menée par la macronie, la construction de ce nouvel « arc républicain » va jusqu’au RN, rien de moins ! Pourtant, l’extrême droite a été et est encore aujourd’hui dans les faits un des premiers vecteurs de l’antisémitisme en France et sous ses formes les plus violentes et brutales. D’aucuns font semblant de l’ignorer pour de petits calculs politiciens et s’appuient sur un RN prétendument dédiabolisé pour mener dans le même temps une offensive répressive contre toutes celles et ceux qui s’opposent depuis des mois à ses projets de régression sociale et à sa politique raciste. Nul doute que la journée de dimanche va marquer une nouvelle étape dans la confusion politique actuelle. Cette banalisation de l’extrême droite, qui accompagne le cours de plus en plus autoritaire pris par ce gouvernement, est lourde de dangers.
Loin de tout ce confusionnisme, nous continuons à lutter contre l’antisémitisme, ce combat fondamental de l’antiracisme, y compris contre ceux qui veulent faire croire que l’antisionisme serait un nouvel antisémitisme. La solidarité avec le peuple palestinien ne saurait tolérer aucun amalgame, aucun acte antisémite, que nous condamnons fermement. Le sionisme est le projet d’un État colonial, et dans ce cadre, critiquer, manifester son désaccord, combattre la politique de l’État d’Israël, sa nature même, n’a rien à voir avec le fait de stigmatiser ou de s’en prendre aux personnes de confession ou de culture juive. Assimiler la politique de l’État d’Israël et l’ensemble des juifs, ce serait faire croire qu’il y aurait une communauté d’intérêts entre eux. Pourtant, l’on peut être de confession ou de culture juive, tout en étant farouchement opposé à l’État d’Israël, comme le sont nos camarades de l’UJFP (Union juive française pour la paix) mais aussi bien d’autres groupes ou personnes dans le monde. À l’inverse, la défense inconditionnelle de la politique d’Israël, de l’épuration ethnique actuellement menée par le gouvernement israélien d’extrême droite, ont pour conséquence de nourrir l’antisémitisme.
La gauche sociale et politique doit être au premier rang des combats antiracistes, dont celui contre l’antisémitisme, mais cela ne peut se mener qu’en toute clarté. Une grande initiative de mobilisation populaire, antiraciste et antifasciste, reste à construire. Elle est nécessaire et urgente !
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Aider le NPA...
Le premier semestre de cette année 2023 a vu se développer une longue et puissante séquence de luttes reliées et articulées par le fil rouge de l’affrontement contre l’autoritarisme. Certes, ni le mouvement contre la réforme des retraites, ni la mobilisation contre les méga-bassines, ni la révolte dans les quartiers populaires n’ont fait plier le gouvernement. En revanche, une telle lame de fond sociale n’a pas été sans effets ni enseignements.
Cours autoritaire
Contre la réforme des retraites, jamais la nécessité et la volonté d’un « tous ensemble » n’avait à ce point émergé depuis 1995 et peut-être même depuis 1968, malgré la faiblesse des assemblées générales décisionnaires dans les entreprises. La (non-)stratégie des directions syndicales consistant à enfiler de sages journées d’actions ne pouvait, certes, pas mener à la victoire. Plus profondément, elle réfracte les reculs accumulés depuis quarante ans dans la conscience, l’expérience et l’espérance de notre camp social. Pourtant s’est paradoxalement forgée, par la répétition et l’endurance, une idée claire de la nécessité de l’unité. En face, ayant recours à tous les outils et manœuvres rendus possibles par la 5e République afin d’empêcher l’expression parlementaire, puis lâchant ses flics une fois à cours de cartouches institutionnelles, le pouvoir macronien a franchi un nouveau cap décisif dans son processus conjoint de dérive autoritaire et de délégitimation.
Urgence écologique
Contre les mégabassines, la manifestation à Sainte-Soline le 25 mars a marqué là aussi un nouveau cap dans l’évolution des luttes écologiques. Par l’invraisemblable violence de sa répression policière, mais aussi de sa répression politico-judiciaire en décrétant la dissolution des « éco-terroristes » des Soulèvements de la Terre, le pouvoir macronien a démontré en creux à quel point l’urgence écologique est bien le nouvel enjeu de notre époque et que le capitalisme ne peut que mener à l’abîme. Il a aussi créé un fort mouvement de soutien et renforcé le niveau de conscience du mouvement social, conduisant à des mobilisations toujours plus importantes contre le tunnel Lyon-Turin, l’autoroute A69 et le contournement de Rouen. On ne dissout pas un mouvement !
Violences policières et racisme
Pendant la révolte qui a fleuri dans le sillage du meurtre de Nahel le 27 juin, et malgré ses limites au-delà des déclarations, jamais l’ensemble du mouvement social n’avait été aussi uni et conscient de ses causes, de ses enjeux, et des réponses à apporter, procédant ainsi à un réel saut qualitatif par rapport à la révolte de 2005. En presque vingt ans, la reconnaissance et la compréhension du racisme systémique ont réellement progressé, en particulier via ses deux formes principales que sont les violences policières et l’islamophobie. Cette avancée sur le terrain idéologique pourrait être le prélude d’avancées sur le terrain politique et militant.
Une lutte prenant le relais de l’autre, nous avons assisté à un processus de résistance face à un pouvoir dont la fuite en avant autoritaire favorise la convergence des actions, des affections, et des réflexions. En effet, depuis la mobilisation contre la loi Travail en 2016, en passant les Gilets jaunes, Notre-Dame-des-Landes, la réforme des retraites 2019, la pandémie de Covid-19, ou la loi Sécurité globale, la violence du pouvoir a favorisé le rapprochement entre les corps, les esprits, les causes et les groupes.
Internationalistes et anticolonialistes
Enfin, cet automne, la question coloniale est revenue sur le devant la scène avec la nouvelle tragédie en Palestine. Et là encore, c’est bien le fil du cours autoritaire qui se déroule et produit des effets dévastateurs. Jamais une telle offensive politique et médiatique n’a été menée en défense de l’État colonial d’Israël. Jamais la parole islamophobe ne s’était à ce point libérée, faisant des Palestiniens des « animaux humains », comme l’a dit le ministre israélien de la Défense, Yoav Galant, ayant mérité leur sort, et avec eux tous les raciséEs de France. Jamais le nouvel « arc républicain » réactionnaire ne s’était à ce point cristallisé et sur un arc aussi large, de Zemmour à la droite du PS. Jamais les défenseurEs des droits du peuple palestinien n’ont été à ce point accusés, insultés et réprimés (avec les accusations d’apologie du terrorisme et d’antisémitisme).
Le NPA et ses militantEs ont été ou sont partie prenante des cadres unitaires qui ont construit les oppositions, les ripostes et les mouvements de l’année 2023.
Nous avons besoin de vous !
Dans toutes ces luttes mais aussi lors de l’élection présidentielle, le NPA a développé, à son échelle, une politique contre l’exploitation et les oppressions, une politique pour l’émancipation et l’auto-organisation, une politique où le processus révolutionnaire commence maintenant par les luttes contre l’ordre existant, une politique dans la rue (toujours) et dans les urnes (s’il le faut), une politique à la fois radicale et unitaire pour notre camp social dans une perspective éco-socialiste.
Mener cette politique a (aussi) un coup financier qui va croissant pour notre organisation. La construction et le soutien aux luttes, sa démocratie interne, les voyages des militantEs pour discuter et construire son orientation, l’entretien de ses locaux, la rémunération de quelques permanentEs, le soutien de sa presse (l’Anticapitaliste) et de sa librairie militante (La Brèche), et bien d’autres postes de dépenses : tout cela coûte cher.
Et l’inflation touche tout le monde, y compris le NPA... et ses donateurs. Faire un don au NPA est donc un geste dont nous savons la valeur, plus signifiante encore aujourd’hui qu’hier. Mais vos dons sont vitaux, quel qu’en soit le montant.
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Université d'été du NPA : on y retourne ?
Au vu de ces dernières semaines qui clôturent une année de mobilisation tout aussi chargée, on a bien raison de se dire que l’été doit servir à reprendre des forces et se réarmer politiquement pour affronter la rentrée. Pour cela quoi de mieux que d’être au village vacances de Rives-des-Corbières à Port-Leucate du dimanche 27 au mercredi 30 août ?
Lors de notre précédent article 1, on avait déjà dévoilé quelques noms d’invitéEs présents à notre prochaine université d’été. Livrons-nous ici à de petits focus sur quelques aspects du programme.
La théorie des cycles
Comme le savent déjà les participantEs habituels de notre rendez-vous annuel, il existe deux types d’ateliers dans le programme de notre université d’été :
– les ateliers thématiques indépendants, qui se déroulent sur une demi-journée autour d’un thème unique sans autre suite ;
– les ateliers faisant partie d’un cycle composé de plusieurs séances.
Cette année, dans un mouvement balancé entre retour nécessaire sur l’année écoulée et construction de perspectives pour ces prochains mois, entre luttes sociales et sillon politique, entre constructions unitaires et affirmation révolutionnaire, nous proposons deux cycles.
Le premier permettra de tirer les premiers enseignements de la grande mobilisation sur la contre-réforme des retraites qui s’est tenue entre janvier et mai. Que nous disent ces récentes mobilisations sur l’état de notre classe ? Questions de l’auto-organisation, des « secteurs clés », de la nécessité de la grève générale… Quelles stratégies de lutte ? En réponse, face aux coups de force antidémocratiques et à l’autoritarisme du pouvoir, comment s’affronter au gouvernement ? Un cycle dont une des étapes importantes sera la tenue d’une table ronde de débat mardi 29 août à 17 h avec des représentantEs nationaux de la CGT, de l’union syndicale Solidaires et de la FSU.
Dans le sillage des différentes rencontres et discussions qui ont eu lieu cette année entre forces et collectifs politiques, le second cycle sera consacré à la question de la construction d’une alternative politique et de l’outil pour la porter. Dans un échange articulant interne et externe au NPA, l’enjeu est à la fois d’affiner notre projet stratégique et organisationnel, tout en prolongeant les champs et espaces de discussions avec les organisations que nous avons invitées cette année : Ensemble !, Rejoignons-nous, La France insoumise, l’Union communiste libertaire, la Gauche écosocialiste… Et même les ex-Soulèvements de la Terre, organisation aujourd’hui dissoute par un macronisme liberticide. Méthodes de luttes, recomposition politique, questions stratégiques globales seront abordées dans ce cycle, avec de plus une table ronde dimanche 27 août à 17 h consacrée à l’écosocialisme.
Les jours oui, les nuits aussi !
Cette année, notre meeting de rentrée aura lieu lundi 28 août en soirée : aux côtés des porte-paroles du NPA, on devrait y entendre en prise avec l’actualité des militantEs des solidarités internationales, des quartiers populaires… Surprise !.
Les autres soirées seront essentiellement organisées autour de nos projections discussions, avec d’excellents films documentaire présentés par celles et ceux qui y ont participé. Et comme vous allez le voir, nous avons souhaité aborder une grande variété de thèmes. Dimanche soir, on commence avec Nina Faure, militante féministe et réalisatrice du film We are coming. Chronique d’une révolution féministe : « Un plaisir (...) de poursuivre une émancipation collective. Le plaisir d’abolir le patriarcat, tout simplement. » On ne peut mieux dire !
Mardi soir, nous profiterons de la venue de Melissa Gingreau, co-porte-parole du collectif Bassines non merci, pour présenter De l’eau jaillit le feu, film où intervient Thony Martins, un agriculteur mobilisé contre les mégabassines qui sera aussi parmi nous.
Enfin, parce qu’il est impossible après le mouvement exceptionnel sur les retraites que nous avons connu de ne pas revenir sur cette lutte, nous accueillerons le duo de réalisatrice/teur Adeline Gonin et Christophe Cordier autour de leur film En grève consacré à la grève des cheminotEs de la gare de l’Est sur la question des retraites… fin 2019, début 2020.
Et en plus, tous les soirs, des animations, des rencontres, un bar convivial, de la danse et des chansons. Les habituéEs savent…
La semaine prochaine, pour un dernier article avant la suspension estivale de la parution de l’hebdo, on tâchera de se montrer le plus exhaustif possible. D’ici là, vous n’oublierez pas de vous inscrire ? 2
Date limite des inscriptions :
Dimanche 20 août 2023
Commission université d’été
1 – https://lanticapitaliste.org/actualite/vie-du-npa/universite-dete-enfin-en-parle
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La police tue, la justice tait !