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Actualités 06... - Page 50
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Rassemblement : Solidarité contre la répression...
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JOURNÉE INTERNATIONALE DES MIGRANT-ES A MENTON...
A l'appel du SOMICO (Solidarité Migrant.e.s Collectif 06) qui regroupe entre autres ATTAC, LDH, CGT, FSU, Solidaires, NPA, Ensemble, FI ou encore PCF, près de 200 personnes ont manifesté samedi 15 décembre de la gare de Menton Garavan à la frontière italienne à l’occasion de la journée internationale des migrant-e.s.
La présence de notre camarade Philippe Poutou fut largement appréciée par les participant-es.
Cette manifestation eut lieu en dépit des manœuvres du Préfet des Alpes Maritimes qui a empêché les trains de s’arrêter en Gare de Menton Garavan, dernière station avant la frontière et lieu d’une ignoble « chasse aux noirs » de la part de la police.
De nombreux-ses militant-es ont dû s’arrêter à la gare précédente pour rejoindre la manifestation. C’est le même préfet qui poursuit tant qu’il le peut les aidant-es, dont Cédric Herrou.
La manifestation s'est déroulée sans incident malgré ces basses manœuvres et la pression d'un groupe de gilets jaunes croisé avant la manif et très agressif contre l'accueil des migrants, les syndicats et partis politiques.
Portée par les slogans « De l’air ouvrons les frontières » ou « Solidarité avec les réfugié-es » la manifestation s'est rendue jusqu'à 150 m de la frontière bloquée par un important dispositif policier.
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Nice, projection-débat...
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Journée Internationale de Solidarité avec les migrant.e.s : « De l'air ! Ouvrons les frontières ! »
Un rappel...Samedi 15 décembre : grande marche à MENTON.Rendez-vous à 14 h 00 à la gare de Menton-Garavan. Concert à partir de 16 h 00, face au stade Rondelli (près du port).Mardi 18 décembre : projection-débat au Campus Carlone, 98 bd Herriot à Nice, salle IT 250, de 18 h 00 à 21 h 00. -
A Nice, ce vendredi à l'appel de la coordination lycéenne...
La coordination interlycénne appelle à manifester tous ensemble vendredi 14 décembre à 10h00 Place Masséna.
Avec les lycéens en lutte, avec les enseignants du secondaire, avec les personnels de l'ESR et les étudiants : barrons la route à la casse de l'éducation et de la recherche publiques.
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A Nice, vendredi 14 décembre...
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Alain Krivine à Nice, l'article de Nice-Matin...
"En novembre 2018 comme en mai 1968, il y a un ras-le-bol généralisé": ce que dit Alain Krivine des gilets jaunesAlain Krivine, un des leaders de mai 1968 et ancien dirigeant de la Ligue communiste révolutionnaire, était à Nice, mardi soir, à l’invitation du Nouveau parti anticapitaliste pour un débat intitulé: 1968-2018, 50 fois plus de raisons de se révolter.Mai 1968-novembre 2018, deux colères: ont-elles le même terreau?Il y a un point commun essentiel: le ras-le-bol généralisé. En 68, on criait: "Dix ans de gaullisme, ça suffit!". Aujourd’hui, on crie: "Un an, de macronisme, ça suffit!". Le deuxième point commun, c’est la remise en cause de l’État, de la société et, sans le dire, du capitalisme, hormis par une minorité d’extrême droite.Mais il y a des différences: le mouvement des "gilets jaunes" touche plus la province que les grandes villes.Deuxième différence: 68, c’était le début du début de la crise du Parti communiste et des syndicats. Aujourd’hui, ils ne sont plus crédibles du tout même s’ils s’efforcent de canaliser, sur le plan institutionnel, un mouvement extrainstitutionnel.Enfin, dernière différence: ce mouvement est plus violent.Mai 1968 n’était pourtant pas une révolution en charentaises. Il y a eu les pavés, les barricades, les heurts…C’était moins violent. Mais j’excuse plus ou moins la violence de samedi dernier même si ce n’est pas ma tasse de thé. C’est une réponse. La violence essentielle vient de la police.Et, puis, la violence du gouvernement, si elle est moins visible, est bien pire que celle des "gilets jaunes".En mai 1968, le mouvement s’est structuré rapidement. Là, c’est plus compliqué. Peut-on remporter une victoire en étant désorganisés?Les "gilets jaunes" n’ont pas de direction. Il y en avait une en mai 1968. Aujourd’hui, il n’y a plus rien. Je préfère ne pas faire de pronostic face à un tel déchaînement…Jusqu’où peut aller ce mouvement?Jusqu’à la remise en cause de Macron. Les déclarations d’Édouard Philippe [mardi, ndlr] passent mal. Elles ne répondent pas au problème. Ce que propose le gouvernement, c’est un délai pour abroger éventuellement les taxes fausses. Ce sont de fausses solutions à un mécontentement réel.En 2018, peut-on changer le monde? Créer une société plus juste, plus égalitaire?Je l’espère. Beaucoup de gens aussi mais ils n’y croient pas trop.Les "gilets jaunes" sont-ils en train d’écrire la société de demain?Je ne suis pas sûr parce que ce mouvement, pour le moment, témoigne d’une colère mais n’inscrit rien: pas de programme, pas d’individus. Il faut des porte-parole, sinon il n’y aura pas de débat avec le gouvernement.Aujourd’hui, il y a un débat avec une partie de la population mais cela ne suffit pas. Les «gilets jaunes », c’est une révolte qui remet tout en cause…Vous avez été une des figures de mai 1968. Cinquante ans plus tard, êtes-vous un "gilet jaune"?Globalement mais pas inconditionnellement. Pour moi, il faut un porte-parole et un programme à ce mouvement. -
Alain Krivine à Nice...
Le NPA 06 accueillait ce mardi 4 décembre à Nice, Alain KRIVINE pour une rencontre débat sur 1968/2008.
Cette soirée a rassemblé plus de 60 participant.e.s dont des militant.e.s de Lutte Ouvrière, d’Ensemble et de Nuit Debout.
Après un exposé d’Alain sur 68, son contexte, (poids du PCF, concentration ouvrière, mouvement syndical moins divisé, société corsetée…) et « 10 ans, ça suffit », le débat s’est engagé sur la crise sociale et politique actuelle.
Le mouvement des Gilets Jaunes, particulièrement contrasté dans notre département (soutien actif d’Eric CIOTTI à Nice) , s’est naturellement invité au débat.
Les participant.e.s qui étaient allé à la rencontre des Gilets Jaunes ont fait part de la grande diversité des situations. Les échanges qui ont suivi, ont tourné autour de la nature de ce mouvement, son évolution, sa volonté d’auto-organisation, sa plus ou moins défiance à l’égard des organisations traditionnelles (syndicats, partis), la diversité de ses revendications mais également ses difficultés de structuration et de direction.
Tout en condamnant, l’absence d’initiative syndicale locale, chacun.e s’est accordé.e sur le nécessaire soutien à ce mouvement populaire, ainsi que sur notre responsabilité collective pour construire des convergences avec le mouvement naissant des lycéen.ne.s et le mouvement ouvrier.
La soirée s’est clôturée autour d’un pot fraternel. Une initiative à renouveler.
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Nice, marche pour le climat...
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A Nice avec les lycéennes et les lycéens...