Les militants fêtent cette bonne nouvelle en musique avec HK.
Il n'aura pas été possible de plaider sur le fond la légitimité de leur action mais les militants, qui risquaient 5 ans de prison, sont soulagés.
Pour Raphaël Pradeau, porte parole d'Attac et témoin au procès, "cela confirme que ce procès n'aurait jamais dû avoir lieu.
Ces militants ne sont pas des délinquants, ils ont mené une action symbolique pour faire passer un message politique visant à dénoncer les pratiques sales de la Société Générale".
Ces militants ne sont pas des délinquants, ils ont mené une action symbolique pour faire passer un message politique visant à dénoncer les pratiques sales de la Société Générale".