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  • La crise Covid-19 menace la vie de millions de personnes, accélère la transformation géopolitique et allume la flamme des bouleversements sociaux...

    Résolution du Bureau exécutif de la IVe Internationale*

    Pandémie, dépression économique, mise en évidence de l’inégalité structurelle et des oppressions générées par le néolibéralisme, confrontation géopolitique pour la suprématie mondiale et acuité de l’imminence de l’effondrement environnemental… tout cela a convergé en 2020 lorsque l’humanité tout entière a fait face à une pandémie mondiale, sans précédent depuis des décennies.

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  • Éducation nationale Blanquer profite du déconfinement pour déréglementer et réprimer un peu plus...

    Alors que l’enseignement à distance a abandonné beaucoup d’élèves, laissés sans possibilité de progresser loin de l’équipe pédagogique qui les suit habituellement, le déconfinement suit la même logique et va même plus loin en proposant de retirer aux élèves une partie de leurs enseignements, culturels, artistiques et sportifs en particulier. Et gare à celles et ceux qui résistent au rouleau compresseur néolibéral : des enseignantEs mobilisés contre le bac Blanquer sont aujourd’hui durement réprimés.

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  • Amplifier la mobilisation contre le racisme et les violences policières...

    Une formidable accélération politique. C’est ainsi que l’on peut décrire ce que nous connaissons depuis une dizaine de jours autour de la question du racisme et des violences policières. Bien malin serait celui qui aurait pu affirmer, il y a deux semaines, que ces thématiques allaient occuper une place centrale dans le débat public, au point qu’Assa Traoré soit invitée en plateau sur BFM-TV et que Christophe Castaner soit contraint de faire des annonces très mal reçues par les syndicats de policiers.

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  • États-Unis : « L'Histoire est passée devant ma porte hier soir, portant l'avenir sur ses épaules »...

    Une manifestation est passée devant chez moi à Brooklyn il y a quelques nuits, un flot de milliers de jeunes de toutes races, portant des masques, marchant ensemble, criant le nom de George Floyd, demandant justice. J'ai vu l'Histoire se frayer un chemin à travers la ville, les jeunes portant l'avenir sur leurs épaules. C'est ainsi à travers l'Amérique depuis plus d'une semaine et les marches continuent et grandissent.

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  • Déconfinons nos luttes ! TouTEs dans la rue mardi 16 juin !

    Renault annonce la fermeture d'au moins trois usines en France. On parle de 3000 licenciements chez Airbus, 700 chez Derichebourg, 500 chez Prestalis… Partout, sous prétexte de la baisse de l'activité due à la crise sanitaire, les patrons mettent en œuvre leurs plans de « restructuration », de suppressions d’emplois… dont la majorité étaient pourtant déjà annoncés bien avant le début de l'épidémie.

    Licencié-E-s ou précarisé-E-s

    Lorsque ce ne sont pas des suppressions de postes directes, on observe depuis de nombreuses années de grands plans de « chantage à la productivité », que l'on essaye d'imposer aux travailleurs/ses en échange du maintien de leurs emplois (racket des congés, suppressions des primes, fin des prétendues 35h…).

    Dans certains secteurs parmi les plus touchés comme le tourisme et la culture, on licencie mais sans dire le mot, alors que des armées de précaires se retrouvent pourtant précipitées au chômage sans aucune perspective d’emplois. Le recours à une masse de travailleurs/ses précaires sert plus que jamais de variable d'ajustement au patronat en période de « crise » des profits du capital.

    Sauver les profits « quoi qu'il en coûte »

    Malgré ses grandes tirades sociales du début du confinement, le gouvernement a décidé d'accompagner le patronat dans cette purge sociale ! Les « ordonnances Macron » finissent de donner aux patrons les moyens juridiques de licencier ou de se débarrasser à peu de frais d’une main-d’œuvre considérée comme inutile. Il annonce également un grand « plan de sauvetage » des entreprises qui ne sauvera que les bénéfices des actionnaires de ces grands groupes…

    Quant à la fonction publique, elle n'est pas épargnée par la dégradation des conditions de travail... mais également par les plans de licenciement déguisés dans les entreprises sous-traitantes qu'elle emploie largement, ainsi que par le non renouvellement massif de touTEs les contractuelLEs et précaires pourtant pour indispensables faire tourner les services publics. Une politique d’austérité toujours accrue, même dans les secteurs qui ont rappelé leur caractère indispensable durant la crise sanitaire, au premier rang desquels la santé ! Une médaille en chocolat, l'arrêt des contractuelLEs en renfort de service, un défilé le 14 juillet… Voilà la politique de santé publique de Macron !

    « Nous ne laisserons pas faire, nous ne nous tairons plus ! »

    Ce sont justement les hospitalierEs qui ont montré qu'il est possible de se mobiliser dans ce « monde d'après » le confinement. Ailleurs aussi, l'annonce des licenciements et des fermetures de sites a déchaîné la colère des salariéEs. CertainEs ont même réussi à faire ponctuellement reculer leurs directions, comme à la Fonderie de Bretagne.

    Ces derniers jours ont également été marqués par le début d'une mobilisation historique, ici et dans le monde, contre les violences policières : des dizaines de milliers de jeunes se lèvent contre le racisme systémique, contre les violences policières, contre une forme de violence sociale aussi qui s'exprime depuis le début du confinement envers les plus pauvres, dans les quartiers populaires. Et même si le gouvernement aura assumé jusqu'au bout la brutalité de sa politique en interdisant ces rassemblements, le fait que ceux-ci aient quand même lieu est la démonstration que le nombre et la détermination peuvent venir à bout de toutes leurs mesures répressives.

    Les colères ont été déconfinées, mais pour gagner, il faut réussir à les rassembler. Partout, soyons le plus nombreux présentEs dans les mobilisations appelées contre les violences policières et le racisme. Et aux côtés des hospitalierEs, faisons du mardi 16 juin la première grande journée de mobilisation nationale du « monde d’après ».

  • Soutien à la Maison-Musée Leon Trotsky à Mexico !

    Confrontée à l’épidémie du Covid-19, la Maison-Musée Léon Trotsky a besoin d’un soutien financier.

    L’ingénieur Esteban Volkov Bronstein, petit-fils et unique survivant de la famille de Trotsky qui a vécu dans la maison de Coyoacan avec ses grands-parents Lev Davidovitch Bronstein et Natalia Sedova avant que Ramon Mercader puisse perpétrer dans ce même lieu l’ordre d’assassinat de Staline, a lancé un cri d’alarme sur la pérennité économique de la Maison-Musée Léon Trotsky.

    En raison de la pandémie du Covid-19, il n’y a pas eu de visiteurs du musée. Les entrées et les ventes étant les principales sources de revenus de l’association Institut du droit d’asile museo casa de Léon Trotsky, chargée par concession administrative des différents gouvernements mexicains de gérer le legs, la situation financière devient ingérable.

    Le musée se compose de la maison où Trotsky vivait, le jardin et les murs extérieurs avec des installations de garde. La maison a été maintenue telle qu’elle était à ce moment-là, en particulier le bureau dans laquelle Ramón Mercader a tué Trotsky.

    Sa disparition serait un coup très dur pour la mémoire historique révolutionnaire.

    Un don collectif sera effectué à partir d’Anticapitalistas, section de la IVe Internationale de l’État espagnol.

    Ceux qui souhaitent collaborer peuvent verser leur participation à :

    Titulaire : Asociacion Anticapitalistas

    IBAN : ES25 1491 0001 2221 7799 8321

    Préciser : Donacion Museo

    Nous espérons votre aide, il n’y a pas de grands ou petits dons, il y a la solidarité, quand elle est nécessaire.

  • « Pour quelques centimes de l’heure, des prisonniers fabriquent des masques pour les matons notamment, alors qu’eux en étaient privés »...

    Le confinement en prison, c’est la prison plus plus. Les moments de sortie de cellule ou de prison qui rythment la vie des prisionnierEs supprimés, cela veut dire l’enfermement total, dans la promiscuité et la suppression de tout lien avec la famille, les amis. Une situation insupportable qui a conduit à quelques révoltes et des annonces du Ministère, peu suivies d’effets.

    Nous avons rencontré un responsable de l’Envolée.

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