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  • Communiqué du NPA 31 : 20 ans après la catastrophe d’AZF, « Nos vies valent plus que leurs profits » !

    Il y a 20 ans, l’usine AZF explosait à Toulouse et provoquait l’une des plus grosses catastrophes industrielles de tous les temps. La ville a été littéralement « soufflée ». Le bilan est terrible : 31 mortEs et plus de 2.000 blesséEs, des centaines d’entreprises et d’infrastructures ainsi que des milliers de logements détruits, des dizaines d’écoles, plusieurs collèges et lycées endommagés, deux lycées professionnels détruits, des centaines de blesséEs parmi les élèves et personnels, un élève décédé au LP Gallieni. Les zones les plus touchées sont les quartiers populaires du Sud Est de la ville.

    Les toulousainEs victimes de cette explosion ont été tuéEs ou blesséEs par la course aux profits qui se moque de la santé et de la sécurité des travailleurs.euses et des habitanEts. L’entreprise « grande paroisse », filiale à 100% du groupe Total, a été condamnée pour cela en 2017 après des années de mensonges, de désinformation, de pression, de guérilla juridique... orchestrés par le groupe Total. Cette condamnation avait fini par donner raison aux parties civiles, riverains ou salariés, aux associations de sinistréEs qui n’ont pas cessé de dénoncer la responsabilité patronale et en particulier le recours à la sous-traitance.

    La commémoration des 20 ans de cette catastrophe ne doit pas nous faire oublier qu’aujourd’hui les risques industriels, pour les travailleurs comme pour les populations sont plus que jamais présents. Le capitalisme, c’est les profits avant nos vies. La catastrophe de Lubrizol à Rouen nous montre qu’aucune leçon n’a été tirée. Partout la sous-traitance et la précarité se développent, et bien souvent le patronat rogne sur la sécurité des installations. La suppression des CHSCT ne va rien arranger à l’affaire !

    Alors, à Toulouse comme ailleurs, nous devons continuer de lutter pour dire « plus jamais ça » et imposer au patronat d’assurer une réelle sécurité des sites dangereux. Le NPA appelle à être présent ce mardi à 10h au rassemblement prévu au rond-point du 21 septembre aux côtés des syndicats et des associations de sinistréEs.

    Toulouse, le 20 septembre 2021

  • Une candidature anticapitaliste et révolutionnaire, c’est urgent, nécessaire, possible !

    La rentrée politique est marquée par la préparation de l’élection présidentielle. Et si on mesure mal l’issue de cette dernière, on sait déjà que beaucoup veulent ancrer la campagne à droite toute et même très très à droite… Une dynamique à laquelle il convient d’opposer des réponses claires, radicales, sans compromis avec un système qui génère toujours plus de misère, d’exploitation et d’oppressions.

    Depuis la rentrée de septembre, les candidatures à la présidentielle se multiplient, du côté de la droite dite « républicaine », de l’extrême droite, mais aussi de la gauche institutionnelle. Aucun doute : l’année présidentielle s’est ouverte, et le moins que l’on puisse dire est qu’il est urgent de bousculer les choses si l’on veut éviter le pire.

    Cinquante nuances réactionnaires

    Instrumentalisation de la laïcité, loi « séparatisme », loi « sécurité globale »… le quinquennat de Macron a développé les thématiques les plus réactionnaires. L’incohérence de sa politique sanitaire et son mépris des classes populaires ont insufflé une défiance et une confusion profonde dans la société. La droite et l’extrême droite se sentent pousser des ailes.

    La candidature Zemmour, permise par la normalisation médiatique et politique des positions les plus réactionnaires, participe d’un renforcement de l’influence de l’extrême droite, son autoritarisme et son racisme, l’ordre moral... Et ce n’est pas l’utilisation à toutes les sauces par Le Pen ou Philippot du terme « liberté » qui va cacher la démagogie nationaliste, la volonté de restaurer la prétendue « civilisation française », et la promesse de nouvelles réductions des droits et des libertés pour l’ensemble de la société, à commencer pour les personnes raciséEs.

    Quant à Macron, le président des riches, il a lancé sa campagne sur le terrain de la « sécurité » qu’il pense électoralement payant, sans un mot pour répondre à la véritable insécurité sociale que sa politique amplifie.

    La « gauche » du capital

    Face à cette offensive libérale et autoritaire, il faut une réponse radicale. Mais cette bataille politique, les partis de la gauche réformiste, du PCF à EÉLV, ne veulent pas la mener jusqu’au bout car elle exige de rompre avec le capitalisme et ses institutions, ainsi qu’avec les positions et les rétributions que celles-ci peuvent offrir.

    La participation de candidats du PCF ou d’EÉLV à la manifestation des syndicats de policiers en mai dernier en est l’illustration. La gauche réformiste est également gangrenée par les options souverainistes, avec des nuances, de Montebourg à La France insoumise en passant par le PCF. Cette volonté de retour aux frontières nationales, prétendument protectrices, sème des illusions et participe à la confusion ambiante : les frontières entre les travailleurEs protègent en réalité les intérêts des privilégiés et nous divisent. Et les frontières tuent, chaque année, des milliers, voire des dizaines de milliers de migrantEs.

    EÉLV et le PS assument clairement une logique pro-capitaliste et libérale. Il n’y a rien à attendre d’un Yannick Jadot, fervent défenseur de l’économie de marché et du capitalisme vert, pas plus que d’une Anne Hidalgo qui a fait le choix de mettre au premier plan le Paris des riches, au détriment des mal-logéEs, des précaires et des services publics, avec le soutien municipal du PCF, membre de la majorité.

    Vite une candidature de rupture !

    Crises sociale, écologique, sanitaire et démocratique : les capitalistes nous mènent toujours plus vers la barbarie. Ces dernières années ont aussi été marquées par de nouvelles régressions sociales, notamment des licenciements de masse, alors que les profits du CAC40 ont littéralement flambé (les dividendes versés aux actionnaires sont estimés à 51 milliards d’euros pour cette année). Et les politiciens au service de la bourgeoisie n’entendent pas s’arrêter là : Macron et les siens tiennent ainsi à faire passer, à tout prix, leur contre-réforme de l’assurance chômage.

    Mais ces derniers temps ont aussi été marqués par des résistances aux mesures pro-patrons, au racisme d’État, à la répression, aux lois liberticides, pour la défense du climat ou contre les violences sexistes. C’est pourquoi notre camp social doit aussi exprimer dans ces élections sa volonté de s’affronter au système. De la rue aux urnes, la candidature de Philippe Poutou veut, modestement mais fermement, être un porte-voix des oppriméEs et des exploitéEs. Une candidature anticapitaliste et révolutionnaire répondant aux urgences de la situation, sans demi-mesure. Une campagne pour prendre nos affaires en main et nous organiser, garantir une vie et un salaire décents pour toutes et tous, contrôler et étendre les services publics et les biens communs, en finir avec un régime autoritaire, raciste, sexiste et inégalitaire. C’est plus que jamais urgent !

  • Leurs « Écoles d’après » et les nôtres...

    L’idée d’un « monde d’après » a surgi dès le début de la crise sanitaire. Et même si « l’après » ne cesse d’être repoussé, la question demeure : à quoi ressemblera le monde après le Covid ? Et quelle forme, pour le meilleur ou pour le pire, y prendra une éventuelle « École d’après » ?

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  • Une candidature anticapitaliste et révolutionnaire, c’est urgent, nécessaire, possible !

    Cette rentrée politique est marquée par la préparation de l’élection présidentielle. On en mesure mal l’issue, mais on sait déjà que beaucoup veulent l’ancrer à droite toute...

    Cinquante nuances réactionnaires

    Instrumentalisation de la laïcité, loi séparatiste, loi sécurité globale… le quinquennat de Macron a développé les thématiques les plus réactionnaires. L’incohérence de sa politique sanitaire et son mépris des classes populaires ont insufflé une défiance et une confusion profonde dans la société. La droite et l’extrême droite se sentent pousser des ailes.

    La candidature Zemmour renforce l’influence de l’extrême droite, son autoritarisme et son racisme, l’ordre moral... Et ce n’est pas l’utilisation à toutes les sauces par Le Pen ou Philippot du terme « liberté » qui va cacher la démagogie nationaliste, la volonté de restaurer la prétendue « civilisation française », et la promesse de nouvelles interdictions pour l’ensemble de la société, à commencer pour les personnes raciséEs.

    Quant à Macron, le président des riches, il a lancé sa campagne sur le terrain de la « sécurité » qu’il pense électoralement payant, sans un mot pour répondre à la véritable insécurité sociale que sa politique amplifie.

    La « gauche » du capital

    Face à cette offensive libérale et autoritaire, il faut une réponse radicale. Mais cette bataille politique, les partis de la gauche réformiste, du PCF à EELV, ne veulent la mener jusqu’au bout car elle exige de rompre avec le capitalisme et ses institutions.

    La participation de candidats du PCF ou d’EELV à la manifestation des syndicats de policiers en mai dernier en est l’illustration. La gauche réformiste est également gangrenée par les options souverainistes, avec des nuances, de Montebourg à La France insoumise en passant par le PCF. Cette volonté de retour aux frontières nationales prétendument protectrices, sème des illusions et participe à la confusion ambiante : les frontières entre les travailleurEs protègent en réalité les intérêts des privilégiés et nous divisent.

    Quant à EELV et le PS, ils assument une logique pro-capitaliste et libérale. Il n’y a rien à attendre d’un Yannick Jadot, fervent défenseur de l’économie de marché et du capitalisme vert, pas plus que d’une Anne Hidalgo qui a fait le choix de mettre au premier plan le Paris des riches, au détriment des mal logéEs, des précaires et des services publics.

    Vite une candidature de rupture !

    Crises sociale, écologique, sanitaire et démocratique... les capitalistes nous mènent toujours plus vers la barbarie. Ces dernières années ont aussi été marquées par de nouvelles régressions sociales, notamment des licenciements de masse, alors que les profits du CAC40 ont littéralement flambé (les dividendes versés aux actionnaires estimées à 51 milliards d’euros pour cette année).

    Mais ces derniers temps ont aussi été marqués par des résistances au racisme d’État, à la répression, aux lois liberticides, pour la défense du climat ou contre les violences sexistes. C’est pourquoi notre camp social doit aussi exprimer dans ces élections sa volonté de s’affronter au système. De la rue aux urnes, la candidature de Philippe Poutou veut, modestement mais fermement, être un porte-voix des oppriméEs et des exploitéEs. Une candidature anticapitaliste et révolutionnaire répondant aux urgences de la situation, sans demi-mesure. Une campagne pour prendre nos affaires en main et nous organiser, garantir une vie et un salaire décent pour toutes et tous, contrôler et étendre les services publics et les biens communs, en finir avec un régime autoritaire, raciste, sexiste et inégalitaire. C’est plus que jamais urgent !

  • En finir avec la barbarie de la « guerre contre le terrorisme »...

    Il est des télescopages de calendrier qui dépassent le simple symbole et semblent cristalliser toute une période historique à l'échelle mondiale. Ainsi, et à quelques jours de distance seulement, le retrait calamiteux de l'armée US d'Afghanistan, le 20e anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 et l'ouverture, en France, du procès fleuve des attentats du 13 novembre 2015, apparaissent comme un concentré de bien des phénomènes — et bien des drames — qui ont cours depuis deux décennies.

    Deux décennies de guerre et de chaos

    Le bilan des 20 ans de la « guerre contre le terrorisme » est aussi catastrophique que ses conséquences sont incommensurables. Et la leçon, connue depuis le début mais désormais indéniable par le fait du temps, est cuisante : la guerre n’apporte pas la démocratie, ni le bonheur des peuples, et le recours à la force brutale et la violence militaire ne fait qu’engendrer toujours plus de violences et de chaos.

    On trouvera difficilement une facette de la vie (inter)nationale de cette planète qui n'ait pas été, à un titre ou un autre, largement déterminée par la « guerre contre le terrorisme » depuis 20 ans : une interminable guerre en Afghanistan, sanctionnée par un retour des Talibans au pouvoir ; un chaos absolu et inédit dans la zone irako-syrienne, culminant dans l’effondrement de l’Irak et l'émergence du monstre Daech ; des dépenses militaires qui se comptent en milliers de milliards de dollars, pour le plus grand bonheur des complexes militaro-industriels ; l'instrumentalisation jusqu'à l'absurde de la rhétorique anti-terroriste à des fins internes et externes par la quasi-totalité des régimes du globe, niant progressivement toute forme d'opposition politique légitime ; le développement de la société de surveillance et sa militarisation à coup d'état d'urgence devenu norme quotidienne, en réalité destinée à mater toute résistance sociale contre le néo-libéralisme décadent ; l’avènement de l'islamophobie comme nouvelle forme dominante du racisme et ciment du suprématisme blanc par delà des différences nationales ; la recrudescence en boomerang d'attentats dans les pays « occidentaux », commis avant tout par des jeunes des pays concernés, symptôme d'un désespoir et d’une marginalisation extrêmes, dont les racines sont à trouver dans des décennies de racisme structurel…

    Leurs guerres, nos morts

    « Leurs guerres, nos morts », avions-nous affirmé lors des attentats du 13 Novembre, parce que nous n’étions pas de ceux qui refusaient de faire le lien entre ces attentats et les politiques racistes, coloniales et impérialistes de la France et de ses alliés. Des politiques menées au nom de prétentions civilisationnelles, synonymes de guerres, de misère, de chaos, et véritable carburant pour les groupes jihadistes, au premier rang desquels, à l’époque, le sinistre « État islamique ». Six ans plus tard, nous navons rien oublié, et nous ne céderons pas plus aujourdhui que nous navions alors cédé aux sirènes du chauvinisme, de « l’union nationale » et de la fuite en avant liberticide et islamophobe.

    Le procès des attentats perpétrés par des fanatiques de Daech est donc l’occasion tout à la fois de rappeler notre soutien aux familles et aux proches des victimes, ainsi qu’aux survivantEs traumatisés, mais aussi de réitérer notre refus de dédouaner la France et ses dirigeants de leurs responsabilités dans la tragédie du 13 Novembre et dans les futures tragédies qui pourraient survenir. À l’heure où les infâmes talibans sont revenus au pouvoir à Kaboul avec la complicité des USA, démonstration éclatante du cynisme des artisans de la « guerre contre le terrorisme » et des dangers que celle-ci continue de faire peser sur les peuples, nous le réaffirmons, a fortiori à l'aune d'une crise climatique qui renforce encore notre conviction : les politiques racistes et impérialistes nont apporté, aux quatre coins du monde, que davantage de guerres, doppression, de misère, de discriminations et de violences. Plus que jamais : écosocialisme ou barbarie !

  • Les frontières tuent...


    Le 29 août à Vintimille, un jeune homme de 17 ans a trouvé la mort en essayant d’entrer en France sur le toit d’un train.
    Nous savons tous que ce n'est pas le premier et que ce ne sera pas le dernier si tout le système ici ne change pas bientôt ! Tout se passe dans l'invisibilité, personne ne dit rien, les journaux n'en parlent plus.
    Pour cette raison, nous voulons organiser une action qui aura lieu samedi à 12h à la gare de Vintimille, et nous aurons besoin de tout le soutien possible.

    Il est temps d'élever la voix, il est temps de dire encore et encore que ces morts sont causées par des institutions qui ne se soucient pas de la vie individuelle, et qui déshumanisent les gens juste parce qu'ils sont accusés d'être "illégaux".
    Il est temps de faire comprendre que les frontières tuent.


    CRIONS-LE POUR TOUSTES LES SANS-VOIX.


    RENDEZ-VOUS SAMEDI PROCHAIN 4 SEPTEMBRE À 12H
    À LA GARE DE VINTIMILLE

    N’hésitez pas à apporter votre matériel, banderoles, flyers, instruments de musique, bougies...

  • Solidarité avec les peuples d’Afghanistan ! Accueil inconditionnel de tou·te·s les réfugié·e·s !

    Il n’aura fallu que quelques semaines aux Talibans pour prendre le contrôle des principales villes d’Afghanistan avant de pénétrer dans la capitale Kaboul et de faire tomber le gouvernement. 20 ans après le déclenchement de la guerre par les États-Unis et leurs alliés, l’échec de l’intervention impérialiste est patent, avec le retour au pouvoir de ceux que George W. Bush et consorts prétendaient avoir éliminés.

    Contrairement aux affirmations occidentales, les Talibans n’ont jamais disparu, et ont pu se réorganiser et prospérer sur fond de pauvreté, d’inégalités, d’État failli, de trafic d’opium, de corruption et de rejet de la présence militaire étrangère. L’Afghanistan est demeuré l’un des pays les plus pauvres de la planète (avec le 7e plus faible PIB par habitant au monde), et l’un des plus corrompus (parmi les dix derniers au classement de l’ONG Transparency International).

    20 ans de guerre en Afghanistan, c’est plus de 160.000 morts côté afghan, des centaines de milliers de blesséEs et d’exiléEs, et près de 4000 soldats occidentaux (majoritairement étatsuniens) tués. Les 2200 milliards de dollars dépensés en 20 ans par les États-Unis — soit plus de 300 millions par jour — pour assurer leur présence sur place et « former » les forces de sécurité du gouvernement afghan n’y auront rien changé : le président afghan est en fuite, la police et l’armée afghanes se sont effondrées et les Talibans règnent en maîtres à Kaboul. Une énième démonstration du fait que les interventions militaires impérialistes ne se font jamais dans l’intérêt des peuples, et que pour ces derniers elles font partie du problème et non de la solution.

    Les images de chaos et d’évacuation précipitée des ressortissants occidentaux donnent une idée des menaces qui pèsent aujourd’hui sur des centaines de milliers, voire des millions d’Afghan·e·s. Nous exprimons notre solidarité avec toute la population afghane, qui risque de vivre encore des années de guerre civile, et notamment avec toutes celles et tous ceux qui sont aujourd’hui dans le viseur du pouvoir ultra-réactionnaire des Talibans : journalistes, militant·e·s associatifs, syndicaux ou des droits humains, ainsi que toutes les femmes et les personnes LGBTI, dont la situation déjà dramatique risque de se dégrader encore un peu plus.

    Les pays occidentaux, dont la France qui fut présente militairement pendant 13 ans en Afghanistan, portent une lourde responsabilité dans la situation actuelle. Il est dès lors particulièrement insupportable d’entendre Macron évoquer les « flux migratoires » face auxquels il faudrait « se protéger » : un discours emprunté à l’extrême droite, qui souffle sur les braises du racisme et vise à transformer en menace des réfugié·e·s cherchant à fuir la guerre et la misère.

    La mise en scène, ces derniers jours, de l’accueil de quelques dizaines d’exilé·e·s afghans ne fait guère illusion : les frontières doivent être ouvertes, l’accueil doit être inconditionnel et la traque aux réfugié·e·s déjà présents sur le territoire doit cesser. Solidarité avec les peuples d’Afghanistan ! De l’air, ouvrez les frontières !