LE JEUDI 17 SEPTEMBRE À 10H00
PLACE MASSENA À NICE
Le NPA 06 06 appelle à participer massivement
aux actions interprofessionnelles (manifestations et grèves)
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Le NPA 06 06 appelle à participer massivement
aux actions interprofessionnelles (manifestations et grèves)
Ce mardi 1er septembre sur le campus niçois Carlone, des étudiants du syndicat « Solidaires Etudiant·es » ont été pris à partie par des membres d’un groupuscule raciste d’extrême-droite niçois étranger à l’Université. L’un des étudiants a dû être hospitalisé. Heureusement son pronostic vital n’est pas engagé.
Nous apportons tout notre soutien à Solidaires Etudiant·es.
Nous appelons l’Université et la justice à prendre toutes les dispositions nécessaires contre les agissements des groupuscules violents sur les campus niçois et à défendre l’intégrité physique des étudiants ainsi que leur liberté syndicale. De toute évidence les mesures prises depuis plusieurs années sont contre-productives : elles contraignent les libertés de circulation et de débat de la communauté universitaire, crée un climat de suspicion et n’empêchent en rien les exactions des racailles violentes d’extrême-droite.
Nous appelons la communauté universitaire à se mobiliser pour ne pas laisser se banaliser les violences, d’où qu’elles viennent.
Nous rappelons que l’université est un lieu d’émancipation, d’échanges, et que la violence n’y a pas sa place.
Nous ne tolérerons pas de revivre les violences des groupuscules d’extrême-droite (GUD, Unité-Radicale, Identitaires) des années 1990/2000 sur les campus niçois.
CGT (FERCSUP / SNTRS) – FSU (SNASUB / SNCS / SNESUP ) – SUD Education
Nous ne pouvons accepter et tolérer ces agressions et menaces !
Le NPA 06 appelle l’ensemble de ses militant·es et sympathisant·es à se mobiliser.
https://www.facebook.com/events/276600723576616/
Jeudi 9 mai 2019 à Nice, à la fin d’une manifestation syndicale contre la casse des services publics qui s’était déroulée de manière très calme, 4 militant·es (Solidaires, FSU) ont été violemment interpellé·es et mis·es en garde à vue pendant 24h sans raison.
Alec, Dany (Solidaires étudiant.e.s), Delphine et Olivier (professeur d’histoire géographie au lycée Calmette) sont alors accusé·e·s de violence, outrage et/ou rébellion.
Les témoignages concordants ainsi que les images et vidéos prises ce jour là montrent pourtant à quel point ces accusions sont sans fondements.
Alors pourquoi ? Parce que des policier·es du syndicat Alliance n’ont pas apprécié de se voir signifier qu’elles·ils n’étaient pas les bienvenu·es dans la manifestation. Personne n’ignore, en effet, que les positions de ce syndicat le rapprochent plus de l’extrême-droite que du mouvement syndical…
Ces policier·es, qui n’étaient pas en service, sont alors venu·es provoquer à l’intérieur du cortège sans succès puis ont sollicité leurs collègues en service pour procéder à ces arrestations brutales et injustifiées en fin de manifestation.
Cette pratique a été observée dans d’autres villes où le syndicat Alliance, en infiltrant les cortèges, a provoqué le désordre et guidé des interpellations.
En plus d’être convoqué.e.s devant le tribunal correctionnel, nos camarades ne sont pas sorti·es indemnes de ce séjour injustifiable en geôle ni de la violence de leur arrestation : elles·ils portent des séquelles physiques et psychologiques importantes. Olivier a subi de la part des policier·es plaquage ventral et étranglement qui lui ont valu 10 jours d’ITT !
Ces violences s’inscrivent dans le cadre d’une politique délibérée des autorités d’atteinte au droit de manifester, droit pourtant garanti par la déclaration des droits de l’homme et du citoyen mais qui, depuis quelques temps, est régulièrement bafoué par le gouvernement, qui cautionne l’usage de la force illégitime, afin de décourager le peuple d’occuper la rue pour protester contre une politique anti-sociale et de dynamitage des services publics.
Le secrétaire générale de l’UD, Gérard Ré est appelé à témoigner de l’attitude provocante d’Alliance Police lors de la manifestation du 09 MAI 2020 à Nice, jour de l’interpellation d’Olivier, en fin de manifestation.
Le NPA 06 appelle toutes et tous à être présent·es devant le Palais de Justice le 07 Septembre 2020 à Nice, jour du procès de nos camarades, afin de leur apporter notre soutien.
Le 9 mai 2019, lors d’une manifestation syndicale unitaire de la Fonction Publique, des militant-es du syndicat de police Alliance se sont imposé-es dans une manifestation où ils/elles n’étaient pas désiré-es, compte tenu de leur positionnement à l’extrême droite.
Au début de la manifestation les organisateurs de la manifestation leur ont interdit de déployer leur drapeau et de prendre la parole. Dès lors, ces policiers, qui n’étaient pas en service et donc sans brassard réglementaire, collèrent au sein du cortège aux syndicalistes de Solidaires Étudiant-es et de la FSU, ne respectant pas ainsi l'ordre précis établi par les Organisations Syndicales . (La CGC auquel est affilié Alliance devant manifester en queue de cortège).
Comme habituellement à Nice, aucun incident à déclarer au cours de la manif.
Cependant la pression d’Alliance sur le cortège FSU a amené, brièvement des militant-es Fsu et Solidaires a lancé deux slogans : « Police partout, justice nulle part » (ce qui n’est qu’une citation de Victor Hugo parlant du gouvernement de Louis-Napoléon Bonaparte) et « Ils tirent au LBD, à bas les condés, ils tuent, ils blessent, à bas les CRS » (slogan entendu dans de nombreuses manifs en France durant le mouvement des Gilets Jaunes). Discrètement, des policier-es en service de la BAC se sont également aussi rapproché-es des militant-es.
À la fin de la manifestation, deux jeunes de Solidaires Étudiant-es, Dany et Alec, sont arrêtés discrètement par ces mêmes policier-es de la BAC, qui interpellent ensuite Olivier, militant de la FSU, pour « outrage ». En réponse à une demande d'explication, Olivier se voit violemment plaqué au sol avec clé d’étranglement avec trois policiers sur son dos (plaquage ventral).
Dans le fourgon, il retrouve Delphine qui avait essayé de lui venir en aide.
Durant les 24h de garde à vue, il ont essayé de coller à Olivier des « menaces de mort » en disant que « À bas » venait du verbe abattre ! Il est poursuivi pour « outrage, rébellion et violence ». Alec et Dany sont poursuivis pour « outrage », Delphine pour « violence ».
Suite à cette interpellation , Olivier a déposé plainte contre X pour « violences par personnes dépositaires de l’autorité », plainte qui sera en définitive classée. Aurait-il fallu qu'il décède sous le poids de trois policiers , pour que celle-ci soit prise en compte ?
Cet épisode répressif illustre bien la volonté de répression et d'intimidation du gouvernement envers les militants syndicaux et politiques.
Le 7 septembre, soyons nombreux à Nice pour soutenir nos camarades.
Rendez-vous à 13h devant le Palais de Justice.
Utilisons ce procès pour dénoncer à nouveau l'usage du pouvoir contre le mouvement social ainsi que l'offensive idéologique du syndicat « Alliance » au sein de la police.
Nice, dimanche 28 juin à partir de 12h00, place Garibaldi...
L’urgence sanitaire a monopolisé notre attention et celle des médias.
Pour autant, nous ne devons pas oublier les victimes des discriminations et nos combats contre les inégalités.
Le mois de juin est traditionnellement le mois des Prides.
Il y a 50 ans, à Stonewall, un bar new-yorkais, ce sont nos ami.e.s trav et trans racisé.e.s qui, à coup de talon, ont bravé la police et dressé des barricades face à la répression étatique.
Partout dans le monde, être femme, trans, bi, lesbienne, gay, dégenré.e, racisé.e, ou aimer simplement et différemment, sont des raisons d'avoir peur.
La société patriarcale et consumériste exclut une majorité d'entre nous, en nous imposant des valeurs conservatrices.
Nos luttes sont nécessairement solidaires des mouvements émancipateurs #MeToo, Black Lives Matter et No Border.
Rendez-vous le dimanche 28 juin à partir de 12h, place Garibaldi (repas partagé, stands, musique, expo...)
Nous soutiennent : Punk&Paillettes, Aides, Full Girlz, ADN, Le Planning Familial, Le Graf, Solidaires 06, ATTAC 06, C.A.C.A, etc.
Un clic sur l'image...
mardi 16 juin 19h00
Nice, place Masséna
Le syndicat HCR de CANNES, l’Union Locale de CANNES et l’Union Départementale CGT des Alpes-Maritimes organisent « la Nuit des Petites Flammes », pour contester la réforme de l’assurance chômage initiée par le gouvernement et soutenir toutes et tous les salarié-es de la branche professionnelle des Hôtels, Cafés, Restaurants (HCR), les personnels précaires, saisonniers et extras, travailleurs sans papiers, CDD et CDI. Toutes et Tous ces travailleurs qui risquent de perdre leur emploi suite à la pandémie.