Transcription d’un exposé d’Au Loong Yu, traduit de l’anglais par Dominique Lerouge (18 août 2019).
Le mouvement à Hong Kong est passé par trois étapes, le faisant passer d’une réaction populaire à un mouvement social de masse et radical.
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Algérie : la rue répond à la tentative de coup de force de Gaïd Salah !
La mobilisation a été extrêmement massive ce vendredi 13 septembre, on retrouve l’ambiance des manifestations de mars. La confrontation avec le pouvoir s’annonce donc possible en cette rentrée.
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Instabilité chronique en Grande-Bretagne autour du Brexit...
Boris Johnson est Premier ministre du Royaume-Uni depuis fin juillet.
Choisi par quelques dizaines de milliers de membres du Parti conservateur, il a succédé à Theresa May qui avait repris le poste de David Cameron, démissionnaire suite au référendum en 2016.
Encore fort, alors, d’une majorité d’une voix à la Chambre des communes, Johnson a annoncé fin août une fermeture du Parlement pendant cinq semaines afin d’assurer une sortie de l’UE, quoi qu’il arrive, le 31 octobre prochain. Scandale général jusque dans les rangs des conservateurs. -
Le « droit d’être islamophobe » ?
« On a le droit d’être islamophobe ».
La « petite phrase » du philosophe Henri Peña-Ruiz, invité lors des Amfis d’été de la FI, fin août à Toulouse, n’a pas manqué de faire réagir nombre de militantEs et collectifs antiracistes.
À juste titre. On se demande en effet comment il est encore possible, en 2019, de tenir de pareils propos, a fortiori lorsqu’on se revendique « de gauche ». -
Nouvelle saignée aux finances publiques...
Le 3 septembre, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, a annoncé 5 800 nouvelles suppressions d’emploi dans son ministère d’ici la fin du quinquennat.
La saignée sera en particulier très vive pour la Direction générale des Finances publiques (DGFIP). -
Grève générale de la jeunesse pour le climat...
vendredi 20 septembre 2019
Nice
place Garibaldi
15h00... 18h00 -
L'Anticapitaliste, le journal : numéro 488...
Un clic sur l'image...
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Pour nos retraites, contre Macron, construisons une mobilisation unie...
Les révélations sur la réforme des retraites de Macron sont éclairantes : si elle passe, on perdra, 5 à 20% sur nos pensions, selon les cas. C’est une véritable saignée. C’est la conséquence des trois mesures fondamentales prévues par le gouvernement : la fin de tous les régimes assis sur un nombre d’annuités, y compris les régimes dits « spéciaux », pour les remplacer par un système par points, individualisé, où chacun se retrouve seul face aux difficultés de son parcours professionnel ; la limitation à 14% du PIB des richesses consacrées aux retraites alors que la population vieillit ; la fin du calcul de la pension sur la base des meilleures (privé) ou des dernières années (public). Et, de fait, ce serait aussi la fin de l’âge de départ légal à 62 ans, 67 ans pour une retraite complète.
Arrêter cette réforme par tous les moyens nécessaires
Il est fondamental pour le monde du travail d’empêcher Macron et le patronat de mener à bien cette réforme. Le mouvement des Gilets jaunes a mis en lumière le développement de la pauvreté en France, chez les salariéEs comme chez les retraitéEs. L’objectif du gouvernement est de réduire les dépenses de la protection sociale et de nous pousser à payer, toujours plus, des complémentaires retraites privées.
C’est aussi une façon pour lui de ponctionner la plus grande partie des cotisations sociales au bénéfice de sociétés privées dans une période de crise économique. Nous ne pouvons pas laisser faire.
Chiffres et graphismes : reformedesretraites.fr
Une mobilisation de masse est possible
Les grandes mobilisations de 1995, 2003, 2010 pour la protection sociale, comme le mouvement des Gilets jaunes, ont montré les capacités de résistances des travailleurs/ses, malgré les reculs sociaux. En cette rentrée, entre les privatisations, les suppressions de postes, les retraites, la casse des services publics notamment dans les hôpitaux et l’éducation, beaucoup de salariéEs ont des raisons de manifester ou faire grève. Mais ce n’est pas par une succession de journées de lutte sans lendemain que l’on gagnera. Pour faire reculer ce gouvernement, il faut un grand mouvement de grève, unitaire, massif. La première étape est bien sûr d’être touTEs en grève pour les grandes journées de lutte, en particulier le 24 septembre. Ce jour-là sera un moment important pour mesurer notre capacité d’action face au gouvernement.
Finissons-en avec Macron et son monde
Les attaques contre les classes populaires menées ces dernières décennies ont considérablement dégradé la réalité de la protection sociale. Nous revendiquons une amélioration des retraites avec un taux plein à 60 ans (55 pour les métiers pénibles), le partage du temps de travail entre touTEs pour supprimer le chômage, sans perte de salaire. Au-delà, il faut en finir avec ce gouvernement, dont l’objectif est de remplir les coffres du grand patronat et des plus riches.
Mardi 10 septembre 2019
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Sur les violences policières...
vendredi 20 septembre à 18H30
salle des associations rue Louis Braille à Cannes
Conférence débat sur les violences policières
avec l'avocate pénaliste Françoise Cotta.
Soirée organisée par les Gilets Jaunes. -
Pour la liberté d'expression...
samedi 14 septembre à 13h30
devant la gare de Nice
rassemblement pour la liberté d'expression