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  • Il y a 30 ans, la chute du Mur de Berlin...

    Le soir du 9 novembre 1989, un symbole de la Guerre froide et de l’oppression des peuples du bloc soviétique s’effondre : à Berlin, alors que des manifestations font convulser le régime est-allemand, la population s’attaque au mur érigé en août 1961 et le détruit.
    Les scènes de liesse et de fraternisation entre populations de Berlin-Ouest et de Berlin-Est font le tour du monde, annonciatrices de l’écroulement du bloc soviétique et de la fin de la Guerre froide. 
    30 ans après, retour sur cet événement, ses racines, sa signification et sa portée, sans nostalgie aucune, mais sans résignation.

    C'est en cliquant ICI...

  • Vers la crise économique et financière ?

    La situation actuelle est vraiment particulière : alors que, en général, à la veille d’une crise bourgeoisies et gouvernements relativisent les choses, cette fois-ci, ils n’ont que le mot à la bouche : « Nous ne sommes pas à l’abri d’une récession » déclarait Roux de Bézieux, le patron des patrons, à la veille de l’université d’été du MEDEF.

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  • Macron et les retraites : la « méthode » change, le but reste...

    « Je préfère qu’on trouve un accord sur la durée de cotisation plutôt que sur l’âge. ».

    Macron avait décidé de créer la surprise, lors de son interview télévisée à la fin du G7, à la veille des nouvelles négociations avec les organisations syndicales sur la réforme des retraites.
    « L’âge pivot » l’une des « préconisations » emblématiques du rapport par J.P. Delevoye, haut commissaire à la réforme des retraites, pourrait finalement ne pas être retenu.
    « Rien n’est décidé » a affirmé le chef de l’exécutif...

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  • Grèce : stop à la répression !

    En moins de 2 mois au gouvernement, la droite grecque de Mitsotakis a montré une attitude politique contraire à celle de Syriza. En effet, elle a tenu ses promesses électorales. Elle est même allée au-delà, en profitant de l’été pour s'attaquer à ce qui reste de droits pour les travailleurs/ses et les jeunes : suppression du motif de licenciement, baisse des charges sur les entreprises, abrogation de l’asile universitaire...

    Et pour accompagner tout cela, une répression spectaculaire, centrée cet été sur le quartier populaire d’Exarcheia à Athènes, insupportable au très bourgeois Mitsotakis comme centre de mobilisations jeunes, antiracistes, d'occupations solidaires. Plusieurs centaines de réfugiéEs étant ainsi logéEs dans des locaux vides. Après plusieurs descentes policières ces dernières semaines, le pouvoir a envoyé lundi matin ses prétoriens “libérer” des bâtiments occupés d’Exarcheia, avec arrestations et contrôle des permis de séjour, et donc risque d’expulsions. On le voit : l’opération policière d'hier -d'autant plus écœurante que dans le même temps le policier assassin en 2008 du jeune Alexis Grigoropoulos a été libéré, pour "bonne conduite"!- est un élément d'une politique anti-ouvrière globale, et c'est tout le mouvement ouvrier qui doit se mobiliser contre la répression à Exarcheia !

    Pour sa part, le NPA apporte toute sa solidarité aux mobilisations en cours et à venir contre la répression et toute la politique du gouvernement grec, et réaffirme le devoir de solidarité avec les réfugié-e-s, en Grèce, en France, comme partout en Europe.

    Mercredi 28 août 2019

  • Les Gilets jaunes : une mobilisation qui va marquer durablement la situation politique et sociale...

    L’irruption du mouvement des Gilets jaunes au mois de novembre a marqué, et continuera de marquer, la situation sociale et politique.
    Semaine après semaine, mois après mois, et ce malgré les pronostics d’« essoufflement », la répression policière et les manoeuvres de Macron, le mouvement des Gilets jaunes s’est en effet installé et imposé comme un fait social et politique majeur, qui a déstabilisé le bel édifice macronien… et le mouvement ouvrier.

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  • ToutEs ensemble contre le G7 et son monde !

    Du 24 au 26 août, Macron va accueillir en grande pompe les dirigeantEs des sept pays les plus riches du monde. Tout comme le G20, l’OMC ou le FMI, le G7 symbolise la domination d’une poignée de puissants qui décide sur le dos des peuples du sort de la planète entière.

    Le G7, une vitrine du capitalisme

    C’est avec un cynisme à tout épreuve que le thème central du sommet n’est autre que la « lutte contre les inégalités ». Un sommet présenté comme écoresponsable, attaché à l’égalité femmes-hommes … La politique menée par Macron est pourtant le contraire de la lutte contre les inégalités, car il dégrade toujours plus nos conditions de vies, détruit les services publics, la protection sociale, le droit du travail...

    Les prochaines attaques contre les retraites et l’assurance chômage ne laissent aucun doute sur la vaste opération de communication de ce G7. Ces réunions servent en priorité à perpétuer un système au service des plus riches, des multinationales, renforcer l’exploitation et mettre la planète à sac. Et malgré les désaccords affichés, ils seront d’accord sur l’essentiel : accentuer la guerre de classe !

    Chronique d’une répression annoncée

    Et c’est précisément parce que les politiques d’austérité sont de moins en moins légitimes, de plus en plus contestée que les capitalistes optent pour une gouvernance de plus en plus autoritaire et brutale. La répression leur est nécessaire pour imposer un monde toujours plus injuste. Cessommets sont particulièrement symboliques de cette fuite en avant sécuritaire. Des villes en état de siège, des lieux de réunions bunkerisés pour des huis clos toujours plus à distance des populations. Pour ce G7, pas moins de 10 000 policiers  et gendarmes sont mobilisés à Biarritz. Des dispositifs terrestres, maritimes et aériens qualifiés d’« inédits » et « extrêmement lourd » par les autorités elles-mêmes.

    La récente lutte des Gilets jaunes a montré un saut qualitatif dans la violence d’État, y compris dans la façon d’assumer les exactions commises. Ce G7 s’annonce dans la continuité de ce scénario, avec une répression policière et judiciaire annoncée.

    Le Centre de rétention administrative d’Hendaye, qui sera en fait transformé en centre de détention, indique la logique à l’œuvre. Interdiction de paraître, renfort au tribunal de Bayonne, tout est fait pour créer un climat de tension et de peur et criminaliser les résistances.

    L’acharnement judiciaire contre le militant Vencezo Vecchi, condamné à 13 ans de prison pour sa participation à une manifestation contre le sommet du G8 à Gênes en 2001 illustre bien le niveau de répression inhérent à ces sommets.

    G7 dégage !

    Il y a près de 20 ans à Seattle, des milliers de personnes réussissaient à bloquer le sommet de l’OMC, un acte fondateur du mouvement altermondialiste. Depuis le 19 août, militantEs associatifs/ves, politiques, syndicalistes sont réuniEs à Hendaye et Irun contre le G7 et son monde.

    Le capitalisme n’a pas besoin du G7 pour fonctionner. Mais cependant, la contestation des sommets capitalistes est essentielle car elle montre qu’ils ne sont pas légitimes, que nous n’acceptons pas leur domination. C’est tout l’enjeu du contre-sommet, contester la légitimité d’une minorité à décider et opposer l’urgence sociale, démocratique, écologique et féministe pour le plus grand nombre. C’est également une échéance importante pour la construction des résistances et des convergences.

    Le NPA participe à ce combat contre les saigneurs du monde, pour en finir avec le capitalisme !

  • Soutien aux hongkongais.es en lutte pour leurs droits démocratiques...

    C’est bien Pékin et la cheffe de l'Exécutif du gouvernement local, Carrie Lam, qui ont pris la responsabilité, voilà bientôt quatre mois, d’ouvrir cette crise en remettant frontalement en cause le statut dont bénéficie ce territoire au titre de Région administrative spéciale.
    Un statut qui découle des accords de rétrocession de l’ancienne colonie britannique, et qui lui assure un degré important d’autonomie sur de nombreux terrains.
    Ce statut devait rester valable jusqu’en 2047 au moins.

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  • L'Université d'été du NPA...

    La onzième Université d’été du NPA se déroulera du dimanche 25 août au mercredi 28 août à Port-Leucate, près de Perpignan. Comme chaque année, militantEs et sympathisantEs du NPA se retrouveront pour quatre jours d’ateliers, discussions, projections-débats… dans un cadre convivial, à deux pas de la plage. Un succès annoncé, puisque notre université d’été affiche complet.

    Cette onzième édition sera l’occasion de revenir sur une année chargée d’actualité, en France et à l’international, des mobilisations des Gilets jaunes aux grands thèmes internationaux, de la Chine à l’Algérie en passant par l’Amérique latine et le Soudan. Autant de sujets dont nous discuterons lors de cette Université d’été, en compagnie d’invitéEs qui viendront nous apporter leur expertise sur de nombreux thèmes d’actualité, mais aussi les éclairages historiques indispensables à la compréhension d’un monde en plein bouleversement. 

    Parmi les invitéEs, le journaliste et fondateur de Mediapart Edwy Plenel ; Gérard Noiriel, historien ; Antoine Boudinet, membre du collectif « Mutilés pour l’exemple » ; les historiennes « tout-terrain » Laurence de Cock, Mathilde Larrère et Ludivine Bantigny ; la blogueuse-auteure-féministe Emma ; la linguiste Laélia Véron ; l’universitaire Olivier Neveux ; ainsi que nos camarades Ugo Palheta, Michael Löwy, Catherine Samary, Julien Salingue, et bien d’autres. 

    L’université d’été sera aussi un moment de préparation de la rentrée sociale et de la construction de la nécessaire riposte d’ensemble aux contre-réformes du gouvernement, entre autres et notamment l’offensive contre les retraites. Ainsi, dimanche 25 août à 17h, une table ronde autour de la défense de l'emploi et de la lutte contre les licenciements, réunira Philippe Poutou et des militantEs syndicaux, dont les secrétaires des fédérations Sud Commerce et CGT Commerce et Services, ainsi que la porte-parole de Solidaires Finances publiques. Lundi 26 août à 17h, un débat aura lieu avec des représentantEs d’organisations politiques et de collectifs, de Lutte ouvrière à La France insoumise en passant par l’Union communiste libertaire et l’AG Ile-de-France éducation nationale… 

    Le meeting de rentrée du NPA se tiendra le dimanche 25 août au soir, autour de ses porte-parole Olivier Besancenot et Christine Poupin et de différentEs acteurEs des luttes sociales (Gaël Quirante, Pauline Salingue, unE camarade du PST algérien…). 

    Montreuil, le 23 août 2019