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  • Le NPA fait évoluer son nom et son logo...

    Lors de son 5e Congrès en décembre 2022, le NPA a connu une séparation entre une majorité et une minorité. La première représente la continuité politique et organisationnelle du NPA, dans le respect de ses principes fondateurs. En font partie les anciens candidats à l’élection présidentielle Olivier Besancenot et Philippe Poutou, ainsi que ses deux porte-parole Christine Poupin et Pauline Salingue. La seconde est composée de plusieurs fractions avec lesquelles des désaccords nombreux et profonds ont rendu cette séparation inévitable et même nécessaire afin de préserver l’essence du projet du NPA : nécessité de l’unité du mouvement ouvrier, soutien inconditionnel à la résistance des peuples opprimés, visions très différentes de la lutte contre les oppressions.

    Après 18 mois de négociations, un accord a été signé, entérinant la fin du processus de séparation. C’est ainsi que, en référence au nom de son hebdomadaire, le NPA devient le NPA l’Anticapitaliste et adopte le nouveau logo ci-dessus. De son côté, la nouvelle organisation fondée par les fractions minoritaires devient le NPA Révolutionnaires et adopte son propre nouveau logo.

    Ces changements de dénomination et d’identité visuelle permettront la fin d’une confusion préjudiciable pour nos deux organisations mais aussi pour la presse, les militantEs et les électeurs/rices.

    Sur ce dernier aspect, le NPA l’Anticapitaliste, qui ne présente pas de liste aux prochaines élections européennes, précisera ses positions en début de semaine.

     

  • MeToo hôpital : Ensemble, soignantes et patientes, faire cesser le sexisme dans les soins...

    La parole se libère sur les violences sexistes et sexuelles dans la santé, et en particulier au sein de l’hôpital, au point que Frédéric Valletoux, ministre déléguée à la Prévention et à la Santé, a décidé de prendre des mesures. La mobilisation de toutes et tous est nécessaire.

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  • Leur Europe doit mourir…

    «Nous devons être lucides sur le fait que notre Europe est mortelle — elle peut mourir —, elle dépend de nos choix »… En prononçant ces mots le 25 avril lors de son discours à la Sorbonne, Macron met — bien malgré lui — en perspective là où en est le projet des classes dirigeantes européennes. Sept années après un premier discours du nouveau président de la République alors fraîchement élu, le tableau est à charge pour Macron et ses amis. 

    Directives austéritaires laissant les coudées franches à la Banque centrale européenne pour gérer l’inflation ; nouveaux barbelés dressés à la face des migrantEs, comme tout récemment le nouveau pacte migratoire adopté à Bruxelles ; opposition frontale à toute mesure — même limitée — de progrès social ou environnemental (à l’instar d’un « devoir de vigilance » imposé aux entreprises ou de la défense des travailleurEs ubérisés qui pourraient être reconnus comme salariéEs des plateformes numériques) ; perspective d’une « défense crédible » européenne s’appuyant sur un bouclier antimissiles et peut-être même le développement de la dite dissuasion nucléaire… L’Europe de Macron ne vend pas du rêve, elle est le cauchemar sorti des têtes des ultralibéraux qui gouvernent l’ensemble des pays européens, au-delà des étiquettes politiques qui les labellisent à gauche, à droite, voire à l’extrême droite comme en Italie… 

    Dès lors, le danger est majeur. On peut en prendre la mesure à quelques semaines des élections européennes. À défaut de l’émergence d’un projet européen alternatif — une Europe écosocialiste qui harmoniserait par le haut les législations protectrices pour la majorité, qui s’appuierait sur les solidarités pour accueillir les migrantEs, et romprait avec les traités antidémocratiques — le rejet de l’Europe des banques et des multinationales peut nourrir les pires projets de l’extrême droite : exacerbation des frontières et du repli national, législations toujours plus antisociales et racistes, exacerbation des concurrences internationales… Jusqu’où ?

    Il devient urgent de mener les batailles internationalistes pour que meure leur Europe des inégalités, pour changer radicalement d’Europe.

    Manu Bichindaritz

  • Palestine : la liberté des peuples !

    L’État français et ses commissaires médiatiques sont en train de dévaler la pente de l’autoritarisme en accéléré. En l’espace de quelques mois, on a vu l’État interdire des dizaines de rassemblements, de manifestations, mais aussi de réunions publiques, des projections cinématographiques, jusque dans les universités.

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