un clic sur l'image...
Nice, place Garibaldi, 11h00,
samedi 07 septembre 2019.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
un clic sur l'image...
Nice, place Garibaldi, 11h00,
samedi 07 septembre 2019.
mardi 03 septembre 2019
place Garibaldi
18h30... 19h00
En savoir plus ? Un clic ICI...
Par Ugo Palheta, publié par Contretemps.eu.
Les propos tenus il y a quelques jours lors de l’université d’été de France insoumise par Henri Peña-Ruiz, selon lequel « on a le droit d’être islamophobe » au nom de la critique légitime de la religion, ont ouvert une nouvelle polémique à gauche autour de cette question.
Un guide à avoir.
Un guide à diffuser.
Un clic sur l'image...
Téléchargement : ICI...
Le soir du 9 novembre 1989, un symbole de la Guerre froide et de l’oppression des peuples du bloc soviétique s’effondre : à Berlin, alors que des manifestations font convulser le régime est-allemand, la population s’attaque au mur érigé en août 1961 et le détruit.
Les scènes de liesse et de fraternisation entre populations de Berlin-Ouest et de Berlin-Est font le tour du monde, annonciatrices de l’écroulement du bloc soviétique et de la fin de la Guerre froide. 30 ans après, retour sur cet événement, ses racines, sa signification et sa portée, sans nostalgie aucune, mais sans résignation.
C'est en cliquant ICI...
La situation actuelle est vraiment particulière : alors que, en général, à la veille d’une crise bourgeoisies et gouvernements relativisent les choses, cette fois-ci, ils n’ont que le mot à la bouche : « Nous ne sommes pas à l’abri d’une récession » déclarait Roux de Bézieux, le patron des patrons, à la veille de l’université d’été du MEDEF.
« Je préfère qu’on trouve un accord sur la durée de cotisation plutôt que sur l’âge. ».
Macron avait décidé de créer la surprise, lors de son interview télévisée à la fin du G7, à la veille des nouvelles négociations avec les organisations syndicales sur la réforme des retraites.
« L’âge pivot » l’une des « préconisations » emblématiques du rapport par J.P. Delevoye, haut commissaire à la réforme des retraites, pourrait finalement ne pas être retenu.
« Rien n’est décidé » a affirmé le chef de l’exécutif...
En moins de 2 mois au gouvernement, la droite grecque de Mitsotakis a montré une attitude politique contraire à celle de Syriza. En effet, elle a tenu ses promesses électorales. Elle est même allée au-delà, en profitant de l’été pour s'attaquer à ce qui reste de droits pour les travailleurs/ses et les jeunes : suppression du motif de licenciement, baisse des charges sur les entreprises, abrogation de l’asile universitaire...
Et pour accompagner tout cela, une répression spectaculaire, centrée cet été sur le quartier populaire d’Exarcheia à Athènes, insupportable au très bourgeois Mitsotakis comme centre de mobilisations jeunes, antiracistes, d'occupations solidaires. Plusieurs centaines de réfugiéEs étant ainsi logéEs dans des locaux vides. Après plusieurs descentes policières ces dernières semaines, le pouvoir a envoyé lundi matin ses prétoriens “libérer” des bâtiments occupés d’Exarcheia, avec arrestations et contrôle des permis de séjour, et donc risque d’expulsions. On le voit : l’opération policière d'hier -d'autant plus écœurante que dans le même temps le policier assassin en 2008 du jeune Alexis Grigoropoulos a été libéré, pour "bonne conduite"!- est un élément d'une politique anti-ouvrière globale, et c'est tout le mouvement ouvrier qui doit se mobiliser contre la répression à Exarcheia !
Pour sa part, le NPA apporte toute sa solidarité aux mobilisations en cours et à venir contre la répression et toute la politique du gouvernement grec, et réaffirme le devoir de solidarité avec les réfugié-e-s, en Grèce, en France, comme partout en Europe.
Mercredi 28 août 2019
L’irruption du mouvement des Gilets jaunes au mois de novembre a marqué, et continuera de marquer, la situation sociale et politique.
Semaine après semaine, mois après mois, et ce malgré les pronostics d’« essoufflement », la répression policière et les manoeuvres de Macron, le mouvement des Gilets jaunes s’est en effet installé et imposé comme un fait social et politique majeur, qui a déstabilisé le bel édifice macronien… et le mouvement ouvrier.