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Actualités nationales... - Page 189

  • Contre le crime industriel de Lubrizol ! Liberté de manifester !

    Hier soir, mercredi 30 octobre, Emmanuel Macron était de sortie à Rouen. Plus d'un mois après l'incendie de l'usine Lubrizol classée Seveso-niveau haut, le président de la République s'est « osé » à ce déplacement, après avoir fait défiler un à un ses garde-chiourmes, de Philippe à Buzin, pour assurer tout le monde que les odeurs provoquées par l'incendie étaient « gênantes » mais « pas nocives » ou encore que « les produits peuvent être irritants sur le moment ».

    Forts du rapport de ces « experts », il aurait donc fallu conclure que la quantité totale de produits brûlés qui s’élève à 9505 tonnes, dont 5253 tonnes de produits chimiques sur le site de Lubrizol et 4252 tonnes de produits sur le site de Normandie Logistique (parmi lesquels 1691 tonnes de produits Lubrizol) ainsi que le panache de fumée noire de 22 kilomètres étaient polluants... mais pas trop !

    C'est pour dénoncer ce mensonge d'État, cette catastrophe sanitaire, sociale et industrielle, que plusieurs dizaines de personnes ont manifesté hier soir à l'occasion de la venue de Macron pour avoir la vérité sur Lubrizol dont la non sécurisation des lieux avait déjà été pointée.

    Mais la vérité n'est pas dans l'agenda présidentiel: non seulement le déploiement policier était énorme et à l'image de la colère que soulève de plus en plus chaque déplacement de Macron mais surtout, les manifestantEs ont été nassés un peu plus de deux heures, l'un d'eux a même été arrêté. Aucune explication, aucun interlocuteur du côté de la police et un face-à-face avec des forces « de l'ordre » sans matricule. D'ores et déjà des structures syndicales comptent porter plainte. Mais surtout, que Macron le sache : les vies brisées, la santé en danger, ça suffit ! Il est plus que temps d'en finir avec les patrons pollueurs et voyous et les gouvernements à leur solde !

    Rouen et Montreuil, le 31 octobre 2019. 

  • Communiqué du NPA Montreuil : 200 travailleurs immigrés jetés à la rue...

    Le NPA Montreuil s'insurge après l'expulsion de 200 (ou 100 selon certaines sources) travailleurs des locaux de l'Afpa.
    La préfecture fait dans le cynisme le plus total, car c'est à deux jours de la trêve hivernale qu'elle a décidé de jeter ces travailleurs à la rue, sans aucun relogement, dans le froid de l'hiver qui s'installe.

    Pourtant, c'est dans 5 ans que doivent être inaugurés sur ce site ex-Afpa, le nouveau tribunal administratif de Montreuil et la Cour nationale du droit d'asile. Il n'y avait donc aucune urgence sauf celle de coller aux discours racistes et anti-immigrés qui sévissent en France et que relaie le gouvernement.

    Le maire, Patrice Bessac, avait réquisitionné ces bâtiments, il y a 13 mois. Et dans les heures qui ont suivi, le préfet a tout essayé pour le faire fermer. Après avoir relogé dans un nouveau foyer les travailleurs « légaux », il ne restait plus dans les bâtiments de l'Afpa que ceux qui n'avaient pas de bail dans l'ancien foyer Bara.

    N' y a-t-il pas à Montreuil des bâtiments vides à réquisitionner, dans le parc public ou privé, et qui pourraient accueillir temporairement les expulsés de l'Afpa ? Bien sûr qu'il y en a ! Mais la préfecture fait le choix inhumain de pourrir un peu plus l'existence de 200 travailleurs qui ont fui des pays en guerre ou plongés dans la misère, le plus souvent à cause des gouvernements français.

    Le NPA exige la réouverture de l'afpa ou à défaut la réquisition de bâtiments inoccupés appartenant à l'Etat ou à des bailleurs privés. Nous refusons de vivre dans une société où des bâtiments restent vides alors que des êtres humains dorment dehors.

    Le NPA Montreuil appelle toutes les personnes disponibles à se rendre devant les locaux de l'Afpa pour soutenir les expulsés.

  • Attentat islamophobe à Bayonne : un criminel, des responsables...

    Un homme de 84 ans a tenté d’incendier la mosquée de Bayonne et tiré sur les deux hommes qui essaient de l’en empêcher, les blessant grièvement.
    Une « attaque odieuse » (Macron), des « faits […] qui émeuvent et indignent » (Castaner)…
    Les périphrases gouvernementales se multiplient pour ne pas prononcer le mot qui qualifie ce qui a été commis : attentat.
    Et aussi pour se dégager immédiatement de toute forme de responsabilité.

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  • Les « travaux » de Jupiter Macron, et comment y riposter...

    Hercule avait accompli douze travaux, Jupiter-Macron se contentera de trois d’ici la fin de son quinquennat. Il les a présentés lors d’une interview le 28 octobre sur RTL.

    Outre la poursuite de sa croisade islamophobe au nom de la « laïcité », censée lui attirer le soutien de l’électorat populaire de Marine Le Pen, Jupiter entend s’attaquer à deux chantiers : répondre à la crise du système de santé, et mener à bien la réforme des retraites.

    Un an après le début du mouvement des Gilets Jaunes, l’exécutif sent monter la colère sociale dans le pays, avec les mobilisations des urgences, des services hospitaliers et des EHPAD, des cheminots, des enseignants, des salariéEs du secteur privé qui luttent contre les fermetures d’usine et les plans de licenciements, des jeunes qui lui renvoient son inaction face à la crise écologique.

    L’annonce d’une mobilisation interprofessionelle le 5 décembre, avec des préavis de grève reconductible dans plusieurs secteurs, provoquent une fébrilité de l’exécutif et contraignent le président des riches à tenter de déminer le terrain.

    Un nouveau plan pour la santé ?

    Il y a un an, Macron en personne lançait son plan « ma santé 2022 » censé répondre à la crise du système de santé. Il doit aujourd’hui faire face à une situation qui s’est encore dégradée, avec la grève des urgences et de nombreux services hospitaliers qui vont se mobiliser le 17 octobre, à la colère des gilets jaunes et des comités de défense des hôpitaux, qui refusent la disparition programmée des services de proximité. Il est contraint d’annoncer : « il va falloir qu’on remette des moyens ».

    Mais comment le pourrait-il alors que demain, le Parlement va entériner la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2020 qui impose une nouvelle ponction de près d’un milliard d’€ à l’hôpital public : Les quelques gestes qui seront faits pour les uns, se feront sur le dos des autres. Les fermetures de lits, de services, d’établissements de proximité continueront. 

    Le même budget prévoit la création de 5000 postes en EHPAD, quand il en faudrait 200 000 pour atteindre la norme jugée indispensable de 1 salarié pour 1 résident ! A ce rythme 40 ans seront nécessaires pour y parvenir ! 

    Quant au deuxième chantier Jupitérien, celui des retraites, Macron tente de déminer le terrain en assurant aux salariéEs d’aujourd’hui qu’ils ne seront pas concernéEs et que seuls les générations qui vont entrer sur le marché du travail les subiront. Une manière d’avouer à mi mots que cette contre-réforme sera un nouveau recul social. Comment là encore peut-il en être autrement, alors que cette réforme impose une « règle d’or » : maintenir fixe le niveau des dépenses de retraites, alors que le nombre de retraitéEs augmente ? 

    Aussi, après avoir manié la carotte, Macron annonce-t-il le gros bâton pour celles et ceux qui ne croiront pas son numéro d’illusionniste. S’il veut bien "donner du temps à la transition" , il fera tout « éviter les blocages » et n’aura« aucune forme de faiblesse ou de complaisance » « quitte à se rendre impopulaire » (rassurons-le sur ce point, le travail est déjà fait).

    Il situe ainsi clairement le niveau de l’affrontement qui se prépare et la nécessité de bloquer par la grève et les mobilisations pour le faire céder.

  • Antonin Bernanos : « Une volonté de cibler des personnes, de faire des exemples, pour faire peur aux gens qui luttent »...

    Incarcéré depuis le 18 avril suite à une plainte de militants fascistes, Antonin Bernanos est sorti de prison le vendredi 25 octobre, sous contrôle judiciaire, après une décision du juge des libertés et de la détention. Mais le parquet a fait appel et une audience est prévue le mardi 29 octobre au matin, au terme de laquelle Antonin pourrait malheureusement être remis en prison. 

    Un rassemblement est organisé mardi à partir de 8h au Palais de Justice (métro Cité), auquel le NPA appelle à participer pour faire entendre le soutien à Antonin (https://www.facebook.com/events/2752644704796117/), de même qu’il appelle à participer à l’indispensable solidarité financière avec Antonin et les autres militantEs antifascistes inculpés (https://www.lepotcommun.fr/pot/mz9rjmn6). 

    Nous nous sommes entretenus ce dimanche avec Antonin pour faire le point sur « l’affaire » et ses implications politiques, mais aussi pour discuter de l’État, de la police, de la gouvernance autoritaire de Macron, du danger de l’extrême droite et… de la prison.

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  • Les propositions du NPA pour la Sécu, des ingrédients d’un projet de société...

    Au sortir de la guerre dans une période de fortes pénuries, l’ordonnance du 4 octobre 1945 posait les fondements de la Sécurité sociale : « protéger les travailleurs et leurs familles contre les aléas de la vie ».
    Elle avait pour objectif de couvrir à terme « des risques de toutes natures ». Elle énonçait un principe fondamental : « chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins », un principe incompatible avec la logique du capitalisme où domine la règle du profit.
    L’application de ce principe a permis la solidarité entre bien portants et malades, entre les salariéEs et les retraitéEs, avec les familles nombreuses, et plus tard dans le cadre de l’Unédic entre salariéEs et privéEs d’emplois. Les créateurs de la Sécurité sociale voulaient la démocratie sociale.
    L’outil de cette solidarité était la cotisation sociale, prélevée sur la richesse produite et donc amputant le profit patronal.
    Un peu plus de deux ans après, on pouvait déjà lire dans le Monde que « la Sécurité sociale est devenue pour l’économie une charge considérable1 », un refrain continuellement répété.
    Les bienfaits de la Sécu ont été nombreux pour la santé et l’espérance de vie, pour l’aide apportée aux familles, pour les retraitéEs…
    Mais la bourgeoisie, ne voulant pas accepter la Sécu, a multiplié les attaques depuis plus de cinquante ans en s’attaquant aux fondements de la Sécu, notamment à son financement.
    Il est donc nécessaire de reconquérir la Sécu, de la développer en tenant compte des besoins sociaux  actuels.
    Les principes édictés en 1945 restent d’actualité et doivent être adaptés à une société où la richesse produite est infiniment plus importante que dans l’immédiat après-guerre. 

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  • PLFSS 2020 : la liquidation de la Sécu est « en marche »...

    Les députés viennent d'achever l’examen et le vote du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2020, il sera ensuite débattu au Sénat.
    Malgré les états d’âme d’une partie de sa majorité qui, en commission, avait contribué au rejet du texte, le gouvernement a réussi à le faire adopter sans modification significative.
    Il confirme ainsi la détermination du pouvoir à ne rien lâcher sur sa politique d'austérité à préparer le big bang de la Sécurité sociale voulu par Macron.

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  • Jean-Michel Blanquer doit partir (1)...

    JEAN-MICHEL BLANQUER DOIT PARTIR 

    Des intellectuels et des professeurs estiment que la politique du ministre menace la mission des enseignants et la réussite des élèves.
    Texte collectif 

    Le ministre Blanquer détruit les valeurs de l’École, brise le métier d’enseignant, bloque la réussite des jeunes issus de milieux populaires. Cela peut-il continuer ?

    La réforme Blanquer du lycée général sépare les élèves entre de multiples spécialités. Cela casse le « groupe classe » qui perd toute stabilité, alors qu’il permettait entraide et dynamiques d’apprentissage. Cela casse l’égalité : seuls les parents les plus informés, c’est-à-dire les plus socialement favorisés, repèrent l’articulation des spécialités qui font les parcours d’excellence. Jusqu’à 30 enseignants peuvent désormais intervenir devant les élèves d’une même classe. Résultat d’un tel fractionnement : chaque enseignant a de plus en plus de mal à connaître ses élèves et à aider les plus fragiles à progresser.

    C’est ainsi la mission même des enseignants qui est sabordée. Les enseignants s’étaient engagés par vocation : faire acquérir des savoirs, favoriser l’examen critique, faire patiemment progresser leurs élèves. Le bac en contrôle continu n’en laisse plus le temps. Ils doivent noter, noter, hiérarchiser, sélectionner le plus tôt possible. Quels élèves y gagnent ? Plus qu’hier, ceux qui héritent des capitaux culturels de leur famille, ou qui bénéficient d’un soutien scolaire privé onéreux. Le métier d’enseignant, dont la charge de travail s’intensifie, perd tout sens.

    Mais l’école façon Blanquer n’est pas faite pour aider tous les enfants. Le budget par lequel les établissements soutiennent les familles en forte difficulté (pour les transports, le matériel scolaire, les lunettes, l’audition) va baisser de 59 millions d’euros à 30 millions.

    Dans les beaux quartiers, les mamans en foulard Hermès accompagnent à loisir, et par loisir, les sorties scolaires. Dans les quartiers pauvres, pas de sortie scolaire si une maman affiche une identité culturelle qui déplaît à J.-M. Blanquer, ancien de l’école privée catholique ­Stanislas. Souci des femmes ? Non. J.-M Blanquer, à la direction de l’enseignement scolaire de 2009 à 2012, participa à la suppression de dizaines de milliers de postes stables dans l’éducation, très majoritairement occupés par des femmes. Depuis 2017, il poursuit la saignée dans l’enseignement primaire très féminisé et dans les disciplines des lycées professionnel ou général, où les femmes sont légion.

    En fait, J-M. Blanquer, ex-patron de l’Essec, un temps recteur, aime l’ordre, le contrôle, la hiérarchie et les économies budgétaires. Les enseignants sont sous-payés, les postes ouverts aux concours réduits, mais en dix ans, le personnel d’enseignement précaire (en CDD, renouvelable six fois) a doublé. Et les inspections des enseignants deviennent des réquisitoires : la liberté pédagogique, l’autonomie des enseignants, est de moins en moins tolérée. Une directrice d’école, absolument dévouée, croule sous la charge de travail maintenant imposée, et se suicide. Nulle compassion mais par contre, en réponse, le ministre envisage que les directeurs dans le primaire deviennent les supérieurs hiérarchiques de leurs pairs, professeurs des écoles. Tout est dit.

    J.-M. Blanquer n’a qu’une obsession : dociliser. Les rapports de pouvoir, d’exploitation ne doivent plus être questionnés. L’école doit produire une main-d’œuvre docile. En lycée professionnel, nombre d’heures de lettres et d’histoire ont été supprimées. Les jeunes des classes populaires sont, de la sorte, privés du droit d’accéder à la « science de leur malheur ». En lycée général, les sciences économiques et sociales, comme l’observe le Manuel indocile de sciences sociales, célèbrent maintenant l’entreprise privée, le marché, le « choix rationnel » d’individus soi-disant libres, négociant entre eux à égalité, et sans inégalités sociales préalables. Silence sur l’extorsion de la plus-value, les profits, la reproduction sociale. Exit les comparaisons ethnologiques montrant que d’autres mondes sont possibles. Rien sur les ségrégations urbaines et si peu sur le chômage, la précarité, qui structurent pourtant les rapports à l’emploi des moins dotés, et singulièrement des femmes et des jeunes.

    On l’a compris, J.-M. Blanquer et son monde n’aiment ni l’école publique, ni ses valeurs, ni celles et ceux qui les font vivre. Ce ministre répand la défiance, la discorde dans l’institution scolaire. Formé par et pour les grands intérêts privés, venu de l’Institut Montaigne financé par AXA, il fait carrière contre le service public, divise, stigmatise, précarise, vide l’Éducation nationale de sa raison d’être. Dans la guerre du privé menée contre l’école, il est ce général au service de l’ennemi qui décourage et décime ses propres troupes.

    Le monde de l’école n’en peut plus. Le monde de l’école n’en veut plus. Discrédité par ses propos et ses actes, J.-M. Blanquer doit partir.

    Premières et premiers signataires : 

    Christian Baudelot, sociologue, Eric Berr, économiste, Jacques Bidet, philosophe, Philippe Boursier, professeur de sciences économiques et sociales, Philippe Chailan, professeur de lettres modernes, Alexis Cukier, philosophe, Clément Cordier, professeur de sciences économiques et sociales, Pascal Binet, professeur de sciences économiques et sociales, Christine Delphy, sociologue, Mathias Delori, sociologue, Clara Da Silva, professeure de philosophie, Christian de Montlibert, sociologue, Marianne Fischman, professeure de sciences économiques et sociales, Isabelle Garo, professeure de philosophie, Anthony Geffrault, professeur de sciences économiques et sociales, Jean-Marie Harribey, économiste, Rose-Marie Lagrave, sociologue, Dany Lang, économiste, Olivier Lecour Grandmaison, historien, Alain Leveneur, professeur de mathématiques, François Lopez, professeur de lettres-histoire, Frédéric Lordon, philosophe, Jean Malifaud, mathématicien, Morgan Marc, professeur d’histoire-géographie, Gérard Mauger, sociologue, Gérard Moreau, secrétaire général d’académie honoraire, Ugo Palheta, sociologue, Irène Pereira, philosophe, Willy Pelletier, sociologue, Fondation Copernic, Louis Pinto, sociologue, Dominique Plihon, économiste, Bernard Pudal, politiste, Régis Roussillon, professeur de sciences économiques et sociales, Nadia Taïbi, professeure de philosophie, Christian Topalov, historien, Sandrine Troquet, professeure de mathématiques

  • Jean-Michel Blanquer doit partir (2)...

    Le mouvement social qui vient peut être à la hauteur de ce que nous fait subir un libéralisme autoritaire, inégalitaire, arrogant, islamophobe, et qui réprime dur, isole, multiplie la souffrance sociale pour toutes et tous. Tous ces adjectifs peuvent se résumer en plusieurs noms, bien sûr. Mais aussi, et peut-être surtout, dans ce nom qui vaut politique de classe affichée : Blanquer. Le monde de l’École n’en veut plus, mais au-delà, toutes celles et tous ceux qui refusent que la vie soit docile, interdite, méprisée, dès l’école et ensuite, peuvent se grouper pour stopper ce symbole effarant du marcionisme décomplexé : « Blanquer doit partir ! ».
    Une pétition à l’initiative de la Fondation Copernic et relayée déjà par de nombreuses équipes syndicales : STOP réformes Blanquer (Coordination nationale des collectifs et AG en lutte contre les réformes Blanquer - La Chaîne des Bahuts), Le collectif Bloquons Blanquer, Les stylos rouges, Touche pas ma ZEP, Profs & Co gilets jaunes, Snes FSU académie de Créteil, Snuipp FSU 93, Collectif Education 94 - S'informer, Agir en 2019!, Réseau école PCF, Institut Iresmo, CGT Educ Action 82.

    Signons toutes et tous pour arrêter Blanquer, l’islamophobie et le libéralisme autoritaire à l’Ecole. Ce sera une première victoire !

    Fondation Copernic