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  • Aéronautique et automobile : faire face aux grandes manœuvres patronales...

    Dans le monde macronien du « en même temps », la pandémie et ses conséquences économiques fournissent opportunité et prétexte à l’amplification des mesures antisociales et répressives. À quelques jours de la mise en œuvre d’une réforme de l’assurance chômage particulièrement inégalitaire que seule la décision en attente du Conseil d’État semble pouvoir à minima retarder, les attaques sur l’emploi, les conditions de travail se multiplient. Deux secteurs sont particulièrement visés par les projets patronaux de restructuration : l’automobile et l’aéronautique. Deux secteurs clefs pour les transports et déplacements, industriels et personnels, pour lesquels les conséquences de la pandémie pourraient laisser penser que se trouvait l’occasion de changements profonds autour des questions de transports collectifs, d’organisation des territoires, réduisant drastiquement les obligations de déplacements et de transports. En fait le monde d’après que met en œuvre le gouvernement risque de ressembler au monde d’avant, en pire, si les mobilisations ne se développent pas.

    Des mobilisations qui doivent s’organiser autour de l’interdiction des licenciements, de la réduction massive du temps de travail, pour des emplois qualifiés pour tous et toutes, loin de l’univers robotisé et informatisé que nous promettent les patrons et leurs actionnaires. Des revendications qui passent par la construction d’un vrai service de transport sécurisé, écologique et humaniste libéré des diktats du profit par l’expropriation et la gestion par les salariéEs et les usagerEs et renvoient à une confrontation politique globale.

    Des résistances existent, plombées par des décennies de reculs sociaux et des orientations d’organisations syndicales complices, timorées ou tournées vers de impasses. Cet état des lieux dans deux secteurs devra s’enrichir de ceux d’autres secteurs, notamment à l’occasion des prochaines mobilisations.

    Dossier coordonné par Robert Pelletier.

  • Contre la violence de l'épidémie capitaliste sur l’emploi… Mobilisons-nous !

    Les thématiques sécuritaires, qui dominent la séquence politique, sont au cœur de la campagne des régionales en vue de la présidentielle. La surenchère autoritaire, parfaitement orchestrée par Macron et son gouvernement, est abondamment relayée médiatiquement. Ce dévoiement des colères n'a d'autre but que de continuer de mener sans entraves une politique de destruction sociale afin d'imposer de nouvelles contre-réformes, alors que des dizaines de milliers de travailleurEs ont déjà sombré dans la précarité depuis le début de la pandémie.

    Pas de confinement de l'offensive des patrons

    Pas de trêve pour les capitalistes qui ont profité de la crise sanitaire pour mener une guerre de classe de haute intensité. Réorganisation de l'économie, de la production, licenciements en masse… La crise du Covid-19 a approfondi les inégalités... et a considérablement enrichi les patrons du CAC 40. Ce dernier a retrouvé son niveau de 2007, alors que l'épidémie des licenciements continue, elle, de faire des ravages. Du 1er mars 2020 au 21 mars 2021, 928 plans de licenciements cumulés ont été recensés, auxquels viennent s'ajouter d'autres milliers touchant les structures de moins de 10 salariéEs

    C'est dans ce contexte dégradé et avec un cynisme qui n'a d'égal que la soif du profit que la réforme des retraites refait surface. Toujours dans l'esprit du « travailler plus pour gagner moins », elle prévoirait l’allongement du temps de cotisation et le recul de l'âge de départ de deux ans. Quand à l’odieuse réforme de l'assurance chômage dont la deuxième phase débute début juillet, elle devrait affecter les pensions d'environ 1,15 million de chômeurEs (selon l'Unedic).

    C'est aux capitalistes de payer leur crise

    Hollande et son ministre de l’époque Macron avaient déjà porté les aides de l’État aux entreprises à 150 milliards, alors qu'elles n'étaient « que » de 65 milliards avant la crise de 2008. Le « quoi qu'il en coûte » de Macron s'est traduit par des aides de 155 milliards d'euros sur la seule anné2020. Cette politique perpétue un système inégalitaire dans lequel les dominants utilisent tous les moyens pour renforcer leurs avantages. Les capitalistes doivent payer leur crise. Il est urgent de mettre un terme à la captation des fruits de notre travail, et de faire tourner l'économie pour notre propre compte.

    Des mesures d'urgences pour protéger le monde du travail sont indispensables. Cela passe par linterdiction des licenciements, lembauche des précaires, la réduction massive du temps de travail et son partage entre touTEs sans perte de salaire, laugmentation des salaires et des minima sociaux, ainsi que le recrutement massif dans les services publics.

    Des batailles à préparer pour rompre avec ce système

    Samedi dernier, des dizaines de milliers de personnes battaient le pavé à Paris et dans tout le pays pour dire non à l’extrême droite, à ses idées nauséabondes qui se répandent jusquau pouvoir, pour défendre les libertés. Les colères contre la violence sociale du patronat se déconfinent aussi, et des grèves pour l'emploi, les salaires, offrent de nouvelles perspectives.

    Les salariés de la Fonderie de Bretagne à Caudan, qui se battent depuis plusieurs semaines pour le maintien de leur unité de production et contre 350 licenciements, montrent la voie. Samedi 19 juin à l'initiative des salariéEs du voyagiste TUI, nous serons à nouveau dans la rue pour l'interdiction des licenciements, contre les suppressions de postes et la réforme de l'assurance chômage, dans le cadre d'un appel à la convergence.

    Ces résistances sont des points d'appui pour faire reculer la politique du patronat et du gouvernement. C'est maintenant que se prépare une rentrée sociale qui doit être à la hauteur des enjeux : reprendre nos affaires en mains et frapper touTEs ensemble sans attendre les échéances électorales, pour en finir avec la mainmise des capitalistes sur nos vies.

  • Personne n’a été exclu du NPA, qui prendra ses décisions sur la présidentielle fin juin...

    Dans un texte rendu public jeudi 10 juin, le groupe CCR-Révolution permanente a annoncé son départ du NPA. Le NPA prend acte de cette décision, et ne renonce pas à son projet de s’adresser à toutes celles et tous ceux qui subissent un ordre social de plus en plus violent et injuste, et veulent se regrouper pour agir, collectivement, afin de le renverser. 

    Concernant le départ du CCR-Révolution permanente, certaines précisions s’imposent. Contrairement à ce qui est affirmé dans leur texte, personne n’a été exclu du NPA, ni individuellement, ni collectivement. Il s’agit bel et bien d’un départ : jusqu’à la publication de ce texte de rupture, les membres du CCR-Révolution permanente cotisant au NPA avaient le même statut que les autres militantEs du NPA, pouvaient participer au processus démocratique en cours pour décider de notre orientation à l'élection présidentielle, et leurs représentantEs dans les instances de direction nationale pouvaient se joindre à l’ensemble des réunions et participer aux prises de décision.

    Le départ du CCR-Révolution permanente est en réalité la conséquence de l’échec de ce groupe à imposer au NPA la candidature présidentielle d’Anasse Kazib. Cette « pré-candidature », annoncée publiquement le 4 avril dernier sur les réseaux sociaux et dans quelques articles, s'est faite en rupture avec le fonctionnement du NPA et ses modalités de prise de décision concernant nos candidatures à la présidentielle. Celles-ci ont toujours été le fruit de discussions démocratiques au sein du NPA, organisées autour des questions d’orientation et de profil politiques, et non de « pré-campagnes » personnalisées — et a fortiori menées à l’extérieur de l’organisation. 

    Cette « pré-candidature », articulée au projet de lancement d’un « Parti révolutionnaire des travailleurs », n’a convaincu personne dans le NPA, à l’exception des membres du CCR-Révolution permanente. En mettant en scène aujourd'hui leur prétendue « exclusion », ils et elles veulent jeter la suspicion sur le NPA et délégitimer préventivement ses choix pour 2022.

    Conscient de son isolement interne et de son échec à imposer son projet de parti et son candidat, le CCR-Révolution permanente a choisi de se retirer du NPA avant même que la consultation démocratique interne ait lieu. Dont acte. 

    Le NPA prendra, comme prévu, ses décisions concernant la présidentielle lors d’une conférence nationale les 26 et 27 juin. D’ici là, l’ensemble de ses membres sont invités à se prononcer, dans le cadre de discussions et de votes démocratiques, sur l’orientation et le profil de notre organisation pour 2022.

    À l'issue de ce processus de discussion/décision, le NPA annoncera, après le week-end des 26 et 27 juin, ses choix pour la présidentielle, à l’occasion de laquelle nous entendons bien défendre un programme d’urgence sociale, écologique et démocratique, et porter la perspective d’une rupture révolutionnaire avec le système capitaliste.

  • Nice, samedi 12 juin 2021...

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    CONTRE LE RACISME ET LES IDÉES

    D'EXTRÊME DROITE,

    POUR L'ÉGALITÉ

     ET LES LIBERTÉS ! 

    Comme partout en France,

    manif unitaire

    samedi 12 juin à Nice,

    départ 14h Gare SNCF

             Depuis maintenant plusieurs mois nous constatons un climat politique et social alarmant. Les idées d'extrême droite se développent. S’allier avec l’extrême droite ou reprendre ses idées ne constituent plus un interdit.

             Ces idées préparent les esprits à une société antidémocratique, inégalitaire, raciste, sexiste et discriminatoire. Nous ne l'acceptons pas !

             Déjà, les propos et actes racistes et sexistes au travail et dans la vie se propagent. Les attaques contre les libertés et les droits sociaux s’accentuent gravement. Dans ce contexte politique, économique, social et sanitaire les injustices explosent et génèrent une forte misère sociale.

             Sous influence et sous pression de l'extrême droite, plusieurs lois liberticides organisent une société autoritaire de surveillance et de contrôle qui empêcheraient d’informer sur des violences policières, déjà trop importantes. De plus, si certaines de ces lois stigmatisent une partie de la population en raison de sa religion, d’autres en ciblent en raison de leur activité militante.

             Récemment, les tribunes des militaires factieux appelant à renverser le gouvernement sur des bases fascisantes et la manifestation organisée par une majorité de syndicats de la police souhaitant en toute impunité -et avec le soutien de plusieurs responsables politiques- « faire tomber les digues de la constitution » illustrent bien la menace des idées d'extrême droite sur toute la société.

             Comme les signataires de l’appel pour les libertés et contre les idées mortifères de l’extrême droite, nous ressentons toutes et tous l’urgence de construire une réponse forte et unitaire qui dessine l’alliance de l'égalité des droits, des libertés, du travail et d’un avenir durable.

             Face à ce climat de haine, raciste et attentatoire aux libertés individuelles et collectives, et un an après la mobilisation antiraciste mondiale contre l'assassinat de George Floyd, et en solidarité avec le mouvement Black Lives Matter, nous appelons à une riposte forte, unitaire, citoyenne et rassembleuse, pour réaffirmer notre combat commun contre l'extrême droite, ses idées, et toutes celles et tous ceux qui participent à sa propagation.

             Nous avons décidé collectivement d’organiser le samedi 12 juin une première grande journée nationale de manifestation et de mobilisations qui se déclinera localement.

             Cette journée fait partie des initiatives unitaires qui se multiplient. D’ores et déjà, nos organisations syndicales, politiques, associations, collectifs, signataires de l’appel, ont décidé de co-construire ce combat dans la durée.

    Premières signatures : ADN06 ; AFPS ; Alternatiba06 ; Amnesty international 06 ; Attac06 ; Collectif Droits des Femmes 06 ; Collectif Uni·es Nice ; DAL06 ; Ensemble!06 ; FCPE06 ; FSU06 ; Génération.S 06 ; Habitat et citoyenneté ; JC06 ; La France Insoumise 06 ; LDH06 ; MRAP06 ; Nice au Cœur, NPA06 ; Oui la Provence! ; PCF06 ; Association PRALES ; RESF06 ; Roya Citoyenne ; SUD-Solidaires 06 ; Syndicat des Avocats de France ; Syndicat de la Magistrature ; Tous Citoyens ; UD-CGT 06 ; UNL06 ; Verts l’Avenir ; Rassemblement citoyen ViVA!

  • Toutes aux frontières ! : manifestation féministe et internationaliste réussie malgré l’indifférence et la répression...

    Environ 5 000 personnes sont venues manifester à Nice samedi 5 juin pour une Europe sans murailles. Il s’agissait de porter des revendications concernant spécifiquement les femmes, les lesbiennes, les trans qui subissent des violences insupportables sur le chemin de l’exil : pour la liberté de circulation, pour un accueil digne, contre toutes les frontières…

    Cette mobilisation a été l’œuvre de militantEs organiséEs dans des collectifs locaux : transports, hébergements, chorales, batucada… L’auto-organisation était de mise à toutes les étapes. Des bus sont venus de Bordeaux, Toulouse, Grenoble… Des prises de paroles d’exilées et des performances d’artistes ont rythmé la manifestation et les cerfs-volants ont porté notre message de liberté. Des lectures et des concerts ont eu lieu dans la foulée de la marche avec malheureusement une jauge très limitée à cause de la situation sanitaire.

    Force, inventivité, subversion

    Cette mobilisation montre la vitalité d’un mouvement féministe pluriel, capable de se rassembler pour défendre les plus fragilisées d’entre nous, les exilées fuyant guerres et persécutions. Il faut en particulier noter la présence de groupes et d’associations de femmes migrantes ou de solidarité. Cependant, bien que soutenu par un grand nombre d’associations, de syndicats et de mouvements politiques, l’événement aurait gagné en force avec un investissement plus important des organisations traditionnelles. La dimension internationaliste, initialement au cœur de la construction de l’événement, a été minorée par la situation sanitaire et la politique répressive. En particulier, des camarades italiennes ont été illégalement et violemment refoulées à la frontière.
    Sur place, la répression a été conséquente aussi puisque, dès le matin, cinq militantes effectuant un collage ont été arrêtées et mises en garde à vue toute la journée, les empêchant ainsi de participer à la manifestation. Puis une personne a été arrêtée à mi-parcours pour dégradation de mobilier urbain et encore quatre en terrasse après le défilé. Toutes ont finalement été relâchées, certaines risquent des amendes et sont convoquées à la rentrée. En outre, le cortège a, à deux reprises, subi les provocations et attaques de militants identitaires. Ces entraves au droit de manifester s’inscrivent dans une situation locale particulièrement répressive et violente envers les militantEs politiques et les réseaux d’aide aux migrantEs.
    Cette journée aura été une démonstration de la force, de l’inventivité et du caractère subversif du mouvement féministe. La fin de l’oppression de genre n’est pas encore pour demain mais cette dynamique internationale est un mouvement de fond qui nous fait avancer sur le chemin de l’émancipation des femmes et des minoriséEs de genre. Cette manifestation est une précieuse étape dans la création d’espaces plus nombreux de résistance solidaire et de convergence européenne dans les luttes féministes et antiracistes, alliant exigence de régularisations massives inconditionnelles, ouverture des frontières et luttes contre toutes les oppressions.

  • 13e université d’été du NPA...

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    13e université d’été du NPA

    Du dimanche 22 au mercredi 25 août 2021

    Accueil à partir du samedi 21 après-midi, départ le jeudi 26 après le petit déjeuner

    dans le village vacances de Rives des Corbières

    à Port-Leucate, près de Perpignan

    Inscription(s) en ligne (paiement par carte bancaire)

    Plaquette d'inscription en PDF

    Et bientôt le programme...

    EN FINIR AVEC LE MACRONAVIRUS ANTISOCIAL ET AUTORITAIRE, VITE, UNE ALTERNATIVE ANTICAPITALISTE !

    Depuis notre précédente université d’été, la poursuite de la pandémie de Covid-19, ici et à l’échelle de la planète, a continué d’imprimer sa marque sur nos vies et sur l’ensemble de la situation sociale et politique. Et à chacune des étapes, la politique de Macron et de son gouvernement a toujours fait faillite. Après le scandale des masques manquants avant l’été, les valses-hésitations sur les mesures à prendre (toujours à contretemps) et la défense des intérêts des grands labos de Big Pharma — contradictoire avec le développement de la nécessaire campagne de vaccination — illustrent la politique d’un pouvoir totalement dédié aux capitalistes.

    Alors que ceux-ci veulent faire payer les conséquences économiques de cette crise au monde du travail (chômage de masse grandissant, multiplication des licenciements et suppressions de postes, paiement d’une « dette covid » qui ne leur a servi qu’à eux seuls...), le gouvernement de Castex et Darmanin s’est lancé dans une fuite en avant réactionnaire dangereuse. Sécuritaire et liberticide, avec la loi de sécurité globale ; raciste, avec une loi islamophobe sur les « séparatismes » et une campagne d’opinion contre le prétendu « islamo-gauchisme ». Le RN de Marine Le Pen n’a plus qu’à attendre son heure…

    Dans ce contexte pesant, notre camp social ne s’est pas résigné. Si les conditions de mobilisation n’ont pas été simples ces derniers mois, entre situation sanitaire et coups de pression du pouvoir, nous avons repris la rue : avec les travailleurEs de la culture contre la réforme de l’assurance chômage ; avec la jeunesse des quartiers en solidarité avec la Palestine ; avec les femmes et les personnes LGBTI pour l’accès à la PMA et l’égalité des droits ; avec les jeunes mobilisés pour la justice climatique… Et cela doit continuer, car nous n’attendrons pas les urnes en 2022 pour combattre Macron et son monde — même si nous voulons aussi nous y faire entendre.

    Meeting de rentrée du NPA dans un contexte de campagne présidentielle, rencontres internationales et invitéEs venus d’horizon divers, éclairages historiques et anniversaires, formations et débats d'actualité… Cette année, malgré quelques contraintes toujours liées à la crise sanitaire, notre université d’été reste plus que jamais un lieu d'échanges entre sympathisantEs et militantEs anticapitalistes, mais aussi un espace de rencontres avec des militantEs du mouvement social ou d’autres courants politiques de la gauche radicale (d'ici et d'ailleurs), ainsi qu'avec des intellectuelEs et des spécialistes des questions politiques, sociales, internationales, sanitaires, etc. Le tout bien évidemment dans une ambiance que l’on souhaite garder la plus conviviale et ensoleillée, sous la pergola, au bord de la piscine ou même à la plage...

    PRECAUTIONS ET MODE D’EMPLOI

    Au vu de l’évolution de la crise sanitaire, il sera sans nul doute nécessaire de continuer à appliquer les mesures assurant la protection de toutes et tous : respect des gestes barrières, de la distanciation physique, du nombre de personnes présentEs dans les logements, etc. Plus d’informations sur place.

    Une journée à l’université d’été : le matin de 9h à 12h et l’après-midi de 14h à 17h, plusieurs cycles et ateliers se déroulent en simultané. Faites votre choix ! Le créneau 17h – 19h est plus léger pour permettre ballades, bains de mer ou baignades à la piscine, ou discuter tranquillement... Dans la soirée, détente assurée : projections, bar, et même quelques rencontres avec nos invitéEs.

    Nous sommes en pension complète, c'est-à-dire logés en bungalow et nourris en restauration collective. Les enfants sont pris en charge en journée des animateurs/trices.

    Y ALLER ?

    En voiture : Autoroute A9, sortie Leucate, puis voie express littorale OU RN9, échangeur D 627, puis voie express.

    En train : Gare de Leucate la Franqui. Navettes de bus municipaux (ligne 15) entre la gare et le village club Rives des Corbières.