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NPA l'Anticapitaliste 06 et 83 : le blog - Page 202

  • Non à l’interdiction de la manifestation des personnels de l'éducation...

    Communiqué du NPA et de Philippe Poutou.

    La Préfecture de Police de Paris refuse de reconnaître la manifestation de jeudi 20 janvier contre la gestion gouvernementale de la pandémie, s’appuyant sur le « code de Sécurité intérieure ». C’est du jamais vu, c’est inacceptable. À l’heure où les personnels de l’éducation, comme les personnels soignants et touTEs les salariéEs subissent les conséquences de la politique du gouvernement, celui-ci veut une fois de plus nous faire taire.

    Les personnels sont choqués par « l’Ibizagate », et le gouvernement cherche à étouffer leur colère contre Blanquer, dont ils sont de plus en plus nombreux/ses à exiger la démission.

    Le NPA et son candidat à l'élection présidentielle Philippe Poutou appellent l’ensemble des forces du mouvement ouvrier à réagir face à cette décision antidémocratique sans précédent, pour exiger le retrait de cette loi manifestement anticonstitutionnelle et liberticide et réussir une manifestation massive des personnels de l’éducation.

  • L’école malade de Blanquer: soutien à la grève dans l’éducation ! (déclaration de Philippe Poutou)...

    C’est la veille de la rentrée que les enseignantEs auront appris, via un article payant en ligne, que le ministre de l’Éducation Blanquer modifiait les règles d’isolement et de tests des élèves. Quatre jours plus tard, un énième protocole voyait le jour. Suivi d’un nouveau protocole annoncé le 11 janvier… Le but de ces dispositifs  : favoriser au maximum l’admission des élèves au détriment de la santé de ces dernierEs, de leurs familles, des personnels, afin que les parents puissent continuer d’aller au travail et de faire tourner la « machine économique ».

    Ces règles toujours plus souples, conjuguées au variant le plus contagieux que l’on a eu à affronter, désorganisent totalement les établissements. L’absentéisme des élèves, la gestion des tests, des retours, les groupes classes incomplets, les absences d’enseignantEs non remplacés rendent la gestion quotidienne épuisante, particulièrement au niveau des vies scolaires et des directions d’école. Et tout cela n’a aucun sens ni sanitaire ni scolaire.

    Il faut dire que rien n’a été ni anticipé ni préparé. Ainsi l’exigence de multiplier les tests sur les enfants entraine une pénurie qui les rend peu, quand ce n’est pas, accessibles. Dès lors, c’est tout le protocole des tests avant le retour en classe qui devient inopérant. Les masques FFP2, qui permettraient de protéger les personnels sur le temps scolaire, n’arriveront, peut-être, qu’à la fin du mois. Deux exemples symptomatiques d’une non-gestion apocalyptique auxquels on peut ajouter l’absence de recrutement, le non-équipement en capteurs CO2, etc.

    Dans les établissements scolaires, face au mépris, au danger, la colère a explosé. En quelques jours, des milliers de personnels ont exprimé leur ras-le-bol. CertainEs se sont même mis en grève. Et les organisations syndicales ont pris la décision d’appeler à une journée nationale de grève le jeudi 13 janvier, avec des revendications précises pour une école qui protège tout le monde dans les établissements, soutenues par plusieurs associations de parents d’élèves.

    Depuis l’annonce de cette grève, Blanquer multiplie les provocations, expliquant que la grève va « perturber davantage le système scolaire » ou déclarant avec cynisme « [qu’]on ne fait pas grève contre un virus ». Des provocations qui ont légitimement amplifié la colère des personnels, auxquels nous apportons tout notre soutien. À la veille d’une journée de grève qui s’annonce historique, nous l’affirmons : les personnels des écoles ont raison d’exiger santé et dignité, et la journée de demain est une importante étape dans la construction de riposte face à Macron, Blanquer et Cie, dans la perspective d’un mouvement d’ensemble pour imposer que nos vies passent avant leurs profits.

  • Urgence anticapitaliste : la mobilisation, c’est maintenant !

    La séquence présidentielle est dominée par les discours réactionnaires, mais la reprise des mobilisations sociales peut changer la donne. Plus que jamais, dans la rue et dans les urnes, il faut imposer une rupture anticapitaliste.

    La gauche institutionnelle en-dessous de tout

    Lutte des places, personnalisation exacerbée du pouvoir, la valse des candidatures à gauche continue avec une dernière en lice, celle de Christiane Taubira, qui ne changera rien à cette logique délétère. Si nous avons partagé certains des combats de Taubira et sommes solidaires face aux attaques racistes et sexistes qu'elle subit, nous ne pouvons pas oublier sa participation au gouvernement Hollande-Valls. Comme le PS d’Hidalgo ou EÉLV de Jadot, elle na pas tiré le bilan de sa participation à des gouvernements sociaux-libéraux.

    La verve de Mélenchon ne doit pas non plus nous bercer dillusions. Les Insoumis nenvisagent que des solutions institutionnelles, défendant que le vote peut tout changer. Comment imposer aux classes dirigeantes un programme de rupture en faveur du plus grand nombre ? Cela reste un mystère, comme si lélection dune personne pouvait à elle seule changer le rapport de forces

    Ainsi, alors que nous aurions besoin d’une mobilisation unitaire face à la droite et à l’extrême droite, la préoccupation essentielle de ces partis reste d’assurer leur pérennité... et le renouvellement de leurs députéEs en juin.

    Une candidature de rupture anticapitaliste

    À la différence de cette gauche qui, au mieux, se contente de demi-mesures, nous ne pouvons plus accepter que la course aux profits dirige le monde jusqu’à sa perte. Il faut tout changer avec des mesures qui prennent le mal à la racine.

    Face au chômage, il est urgent de réduire le temps de travail par la semaine de quatre jours, une sixième semaine de congés payés et la retraite à 60 ans. Pour répondre à la crise sanitaire, il faut lever les brevets et réquisitionner les entreprises du secteur médical et pharmaceutique. Assurer la nécessaire « transition écologique » impose de sortir de la société carbonée comme du nucléaire. Contre la division organisée des oppriméEs et des exploitéEs, il faut accueillir et défendre la liberté d’installation et de circulation pour touTEs, combattre les discriminations et les inégalités de genre ou d’orientation sexuelle, et en finir avec les violences policières et les politiques sécuritaires.

    Planifier l’économie sur des bases sociales, démocratiques et écologiques, la mettre sous le contrôle des travailleurEs et de l’ensemble de la population, c’est urgent !

    Amplifier et unifier nos résistances

    La réussite des journées daction dans la santé le 11 janvier et dans l’éducation le 13 janvier montre que le climat social est en train de changer. De nombreuses entreprises en grève, en particulier autour des salaires et des conditions de travail, témoignent dune reprise des mobilisations. La journée de grève interprofessionnelle du jeudi 27 janvier peut constituer une nouvelle étape dans la construction dun mouvement densemble qui pourrait changer la donne, à commencer par le visage de cette triste campagne présidentielle.

    La candidature de Philippe Poutou sinscrit dans cette dynamique d’affrontement au système. Des mesures radicales ne peuvent être mises en œuvre par la seule voix électorale, mais une candidature anticapitaliste permet de porter la voix des exploitéEs et des oppriméEs, des luttes sociales, écologiques, féministes, LGBTI, antiracistes, internationalistes et démocratiques. Elle peut également contribuer à redonner confiance à notre camp social et lui permettre de dire que nos vies valent plus que leurs profits.

  • Entretien avec Philippe Poutou, candidat NPA à la présidentielle, en meeting à Rouen lundi 17 janvier...

    « La crise sanitaire vient se rajouter à une crise économique, sociale et environnementale. C’est le résultat de décennies de politiques d’ultralibéralisme avec le démantèlement du système de santé tout comme de l’Éducation nationale. La crise sanitaire met en évidence l’importance des services publics dans tous les domaines. Évidemment, il s’agit d’un choix politique et financier que nous proposons avec la répartition de la richesse qui est accaparée depuis des années par une poignée d’ultra-riches au détriment du collectif. »

    Lire l'entretien

    Philippe Poutou

  • L’école malade de Blanquer: soutien à la grève dans l’éducation ! (déclaration de Philippe Poutou)...

    C’est la veille de la rentrée que les enseignantEs auront appris, via un article payant en ligne, que le ministre de l’Éducation Blanquer modifiait les règles d’isolement et de tests des élèves. Quatre jours plus tard, un énième protocole voyait le jour. Suivi d’un nouveau protocole annoncé le 11 janvier… Le but de ces dispositifs  : favoriser au maximum l’admission des élèves au détriment de la santé de ces dernierEs, de leurs familles, des personnels, afin que les parents puissent continuer d’aller au travail et de faire tourner la « machine économique ».

    Ces règles toujours plus souples, conjuguées au variant le plus contagieux que l’on a eu à affronter, désorganisent totalement les établissements. L’absentéisme des élèves, la gestion des tests, des retours, les groupes classes incomplets, les absences d’enseignantEs non remplacés rendent la gestion quotidienne épuisante, particulièrement au niveau des vies scolaires et des directions d’école. Et tout cela n’a aucun sens ni sanitaire ni scolaire.

    Il faut dire que rien n’a été ni anticipé ni préparé. Ainsi l’exigence de multiplier les tests sur les enfants entraine une pénurie qui les rend peu, quand ce n’est pas, accessibles. Dès lors, c’est tout le protocole des tests avant le retour en classe qui devient inopérant. Les masques FFP2, qui permettraient de protéger les personnels sur le temps scolaire, n’arriveront, peut-être, qu’à la fin du mois. Deux exemples symptomatiques d’une non-gestion apocalyptique auxquels on peut ajouter l’absence de recrutement, le non-équipement en capteurs CO2, etc.

    Dans les établissements scolaires, face au mépris, au danger, la colère a explosé. En quelques jours, des milliers de personnels ont exprimé leur ras-le-bol. CertainEs se sont même mis en grève. Et les organisations syndicales ont pris la décision d’appeler à une journée nationale de grève le jeudi 13 janvier, avec des revendications précises pour une école qui protège tout le monde dans les établissements, soutenues par plusieurs associations de parents d’élèves.

    Depuis l’annonce de cette grève, Blanquer multiplie les provocations, expliquant que la grève va « perturber davantage le système scolaire » ou déclarant avec cynisme « [qu’]on ne fait pas grève contre un virus ». Des provocations qui ont légitimement amplifié la colère des personnels, auxquels nous apportons tout notre soutien. À la veille d’une journée de grève qui s’annonce historique, nous l’affirmons : les personnels des écoles ont raison d’exiger santé et dignité, et la journée de demain est une importante étape dans la construction de riposte face à Macron, Blanquer et Cie, dans la perspective d’un mouvement d’ensemble pour imposer que nos vies passent avant leurs profits.

    Philippe Poutou

  • Face à un gouvernement qui joue avec nos vies, faire entendre et regrouper nos colères !

    Macron désire « emmerder » des non-vaccinés qu’il se permet même de déchoir de leur citoyenneté car jugés irresponsables. Ces propos d’une grande violence et d’une nouvelle gravité révèlent l’approfondissement d’une pratique et d’une orientation politique entamée en 2017, faite de mépris, de provocations, d’insultes et de la recherche de boucs émissaires afin de masquer les désastres d’une œuvre au service exclusif des ultra-riches.

    Certes, les plusieurs millions de personnes non vaccinéEs représentent un enjeu sanitaire et leur résistance matérialise de lourdes questions politiques, sociales et idéologiques, certains incarnant même un courant antivax militant qui se dissémine pernicieusement dans de larges couches de la population. Mais d’abord, puisque les vaccins ne protègent pas totalement contre la simple contamination, en particulier face au variant Omicron, la vaccination des derniers réticents ne changerait pas radicalement la situation sur un plan strictement sanitaire. Mais surtout, une couverture vaccinale totale ne pourrait être atteinte que par une politique faite de conviction, de confiance, de transparence, de mobilisation populaire, de planification économique et de services publics bien dotés et implantés au plus près du terrain et des difficultés qui rendent la vaccination parfois difficile. À l’échelle internationale, la levée des brevets doit permettre de vacciner les habitantEs des pays pauvres afin de les protéger, d’éviter l’émergence de nouveaux variants et tendre à la maîtrise puis à l’extinction progressive de cette pandémie.

    Contre leurs « paris », nos mobilisations

    La stratégie du pouvoir est très claire depuis deux ans : maintenir les profits, sacrifier nos vies. Mais autre chose est de la mettre en œuvre, de la faire accepter voire de la justifier. Rendre les non-vaccinés coupables de la situation pandémique actuelle est donc une fake news d’ampleur visant à masquer une politique tactiquement confuse, improvisée et inconséquente. À ce titre, la gestion calamiteuse dans l’Éducation nationale est un... cas d’école ! Depuis le printemps 2020, rien n’aura été épargné aux élèves, parents et enseignantEs, à travers des protocoles douteux voire inapplicables et nocifs, déterminés en toute opacité et modifiés en permanence dans le seul but non pas de diminuer la circulation du virus mais de la masquer. Cassez le thermomètre et la maladie s’évanouira ! Vouloir limiter au maximum la fermeture des classes est une juste politique. Mais elle devrait passer par des embauches d’enseignantEs pour diviser les classes, l’achat de purificateurs d’air, la détermination démocratique de protocoles utiles et mesurés (gestes barrières, tests, etc). Autant de mesures parfaitement contradictoires avec l’agenda réactionnaire et néolibéral de Blanquer !

    Dans un contexte de ras-le-bol et d’épuisement généralisé de la population en cette rentrée scolaire ubuesque, il n’est donc pas étonnant qu’une journée de mobilisation se soit très rapidement imposée... dans l’Éducation nationale. Après les mobilisations dans la santé le 11 janvier, le jeudi 13, une très grande partie des enseignants seront en grève, rejoints par les directeurs d’école et même les inspecteurs. Certaines fédérations de parents d’élèves appellent d’ailleurs à se joindre au mouvement. Cette journée doit être un point d’appui pour exprimer la colère de masse qui couve. La journée de mobilisation intersyndicale et interprofessionnelle du 27 janvier sera une nouvelle étape de l’expression de notre refus des politiques ultra-libérales, autoritaires et anti-sanitaires de Macron et de sa clique.

    Trop tard pour être modérés

    Dans le cadre de la campagne présidentielle, il s’agit en outre de prendre au sérieux le président-candidat Macron qui, avec ses coups de menton, sa priorité accordée à la « reprise » et à la « croissance » économiques et son refus absolu de faire une entorse aux « règles » du néolibéralisme, donne des garanties à sa classe et à son électorat. Ce que certains voient comme de simples provocations est en réalité une politique à part entière, brutale, arrogante et autoritaire, qui nous donne une idée de ce que pourrait être un second quinquennat de Macron. L’heure est donc non seulement à la mobilisation, mais aussi à exprimer la radicalité sur le plan politique.

    C’est ce que nous entendons faire entendre, dans les luttes comme dans le cadre de l’élection présidentielle avec la candidature de Philippe Poutou, en répétant que dans cette société capitaliste, les choix économiques sont dictés par la recherche des profits pour un petit nombre, sur le dos de l’immense majorité. Macron, la droite et l’extrême droite nous proposent toujours plus de concurrence, d’individualisme, de guerre de chacunE contre chacunE, tandis que la « gauche » institutionnelle continue, malgré ses faillites passées, de nous chanter les louanges du capitalisme à visage humain. Face aux crises sociale, sanitaire, environnementale, démocratique, la modération ne peut être de mise, et c’est bien tout un système et son personnel politique qu’il s’agit de contester.

  • Face à Macron, Blanquer et cie, faire entendre et regrouper nos colères !

    Dans l’interview très médiatique faite au Parisien il y a quelques jours, Macron dit vouloir « emmerder » les non vaccinés, qu'il se permet même de déchoir de leur citoyenneté car jugés « irresponsables »... Ces propos d'une grande violence révèlent l’approfondissement d’une pratique et d’une orientation politiques mêlant mépris, provocations, insultes et recherche de boucs émissaires afin de masquer les désastres d'une œuvre au service exclusif des ultra-riches.

    Contre l’autoritarisme, convaincre de la vaccination

    Certes, les plusieurs millions de non-vaccinés représentent un enjeu sanitaire et leur résistance pose des questions importantes, politiques, sociales et idéologiques, certains incarnant même un courant antivax militant qui se dissémine pernicieusement dans de larges couches de la population. Mais parce que les vaccins ne protègent pas totalement contre la simple contamination (en particulier face au variant Omicron), la vaccination des derniers réticents ne changerait pas, seule, radicalement la situation sur un plan strictement sanitaire.

    La nécessaire couverture vaccinale totale ne peut être atteinte que par une politique faite de conviction, pas par la contrainte : confiance, transparence, mobilisation populaire, planification économique et des services publics bien dotés et implantés au plus près du terrain.

    A l'échelle internationale, la vaccination des habitantEs des pays pauvres afin de les protéger et d'éviter l'émergence de nouveaux variants exige la levée des brevets : c’est la condition pour aller vers l'extinction progressive de cette pandémie.

    Les écoles n’en peuvent plus !

    La stratégie du pouvoir est très claire depuis deux ans : maintenir les profits, sacrifier nos vies. Mais autre chose est de la mettre en œuvre et de la faire accepter. Rendre les non vaccinés coupables de la situation pandémique actuelle est une « fake news » d'ampleur visant à masquer une politique confuse, improvisée et inconséquente.

    À ce titre, la gestion calamiteuse de cette crise dans les établissements scolaire est un... cas d'école ! Depuis le printemps 2020, rien n'aura été épargné aux élèves, parents et enseignantEs, avec des protocoles souvent inapplicables voire nocifs, décidés en toute opacité et modifiés en permanence... dans le but non pas de diminuer la circulation du virus mais de la masquer. Cassez le thermomètre et la maladie s'évanouira !

    Vouloir limiter au maximum la fermeture des classes est une préoccupation largement partagée... Mais elle ne peut passer que par le recrutement d’enseignantEs pour pouvoir diviser les classes existante, l'achat de purificateurs d'air, la mise en place de protocoles utiles et mesurés (gestes barrières, dépistage, etc). Autant de mesures parfaitement contradictoires avec les mesures proposées par Blanquer !

    Construire une mobilisation d’ensemble

    Dans un contexte de ras-le-bol et d'épuisement généralisé de la population en cette reprise scolaire ubuesque, il n'est donc pas étonnant qu'une journée de mobilisation se soit très rapidement imposée dans l'éducation nationale. Ce jeudi 13 janvier, les enseignantEs seront massivement en grève, rejoints par les directeurEs d'école et même les inspecteurEs. Certaines fédérations de parents d'élèves appellent aussi à se joindre au mouvement. Cette journée doit être un point d'appui pour exprimer des colères qui doivent converger avec d’autres.

    Alors qu’une nouvelle journée de mobilisation a eu lieu dans la santé mardi 11 janvier, la perspective du jeudi 27 janvier, journée de grève interprofessionnelle consacrée en particulier à la question des salaires, doit marquer une nouvelle étape dans la construction d’un mouvement d’ensemble pour que nos vies passent avant leurs profits.