En ce début d’année 2021, qui marquera le 150e anniversaire de la Commune de Paris, Marc Plocki a accepté de nous présenter le projet de l’association « Faisons vivre la Commune ».
NPA l'Anticapitaliste 06 et 83 : le blog - Page 253
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Anniversaire de la Commune...
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Cannes, non à la loi Sécurité Globale...
Une centaine d’opposant·e·s devant la Mairie de Cannes cet après-midi à l’appel de plusieurs organisations.
Étaient présent·e·s : la LDH, le SAF, ATTAC, la Libre Pensée, le Mouvement de la Paix, la CGT, le PCF, la FI, le NPA, Génération’S et le PS.
Simultanément une manifestation se déroulait à Nice à l’initiative d’ ATTAC 06 .
Plus de 20 organisations départementales dont également Solidaires, la FSU , le MRAP, le SM, EELV, Ensemble!... -
Dans le 06, contre le projet de loi dit de « Sécurité globale »...
Un clic sur l'image...
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Toulon, non à la loi de Sécurité Globale...
Dans le Var, à Toulon, à l'appel du Collectif varois, plus de 250 manifestant.es ont défilé ce matin pour dire non à la loi de Sécurité Globale et oui à la Sécurité sociale !
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On ne combat pas les virus en piétinant les libertés : plus de sécurité sociale, moins de sécurité globale !
Le gouvernement a donc fait le choix d’un tour de vis liberticide supplémentaire, avec notamment la généralisation du couvre-feu à 18h à partir de samedi, sur l’ensemble du territoire.
Après avoir testé cette mesure punitive depuis le 2 janvier sur 25 départements sans résultats réellement probants ils s’enfoncent dans cette stratégie sans queue ni tête. Nous n’en sommes malheureusement pas surpris, tant cette nouvelle décision s’inscrit dans la continuité des précédentes, caractérisées par l’absence de toute politique sanitaire digne de ce nom et par un recours quasi-systématique à des mesures répressives pour contenir l’épidémie.Pour tout ce qui concerne concrètement la vie de millions de personnes — l’emploi, la précarité, les licenciements, la pauvreté qui se développe notamment dans la jeunesse — ce ne sera rien ou presque, malgré quelques annonces concernant les étudiantEs dont on ne voit malheureusement guère comment elles pourraient inverser le cours actuel des choses, qui s’est tragiquement illustré cette semaine par deux tentatives de suicide d’étudiantEs à Lyon.Après les mensonges sur les masques, la faillite du système de tests et le fiasco du lancement de la campagne de vaccination, comment prendre au sérieux ce gouvernement ? Alors qu’il fait montre d’une inventivité hors norme pour trouver des dizaines de milliards pour les entreprises et pour nous expliquer pourquoi nous pouvons continuer d’aller au travail et à l’école malgré des protocoles sanitaires inefficaces et/ou inapplicables, il se refuse toujours à débloquer les moyens nécessaires pour l’hôpital, la prévention, les embauches nécessaires dans le secteur de la santé.L’auto-satisfaction cynique et le paternalisme du gouvernement sont révoltants, venus d’un pouvoir qui, face aux dangers — bien réels — de l’épidémie, se refuse à envisager une réelle politique sanitaire et privilégie une fois de plus les réponses répressives et la « sauvegarde » de la machine à profits capitaliste, au mépris de la population et du lien social déjà fortement dégradé. Or la réponse la plus adaptée ne pourra venir que de l’organisation de la solidarité par la population elle-même, et non de la culpabilisation de chacunE et de la suppression de tous les moments de convivialité.Ce dont nous avons besoin, c’est de recrutements massifs à l’hôpital et d’embauches pour la recherche des cas contacts et la mise en œuvre d’une véritable stratégie vaccinale, et plus globalement d’une politique de santé communautaire s’appuyant sur l’alliance des professionnelEs de santé et de la population, qui peut ainsi s’auto-organiser pour trouver les solutions adaptées et consenties à la lutte contre l’épidémie, dans les quartiers, sur les lieux de travail.Nous refusons les fausses « solutions » répressives d’un pouvoir dont la nature autoritaire n’est plus à démontrer : lois liberticides, couvre-feux, perpétuation d’un état d’urgence sanitaire qui n’a de sanitaire que le nom, etc.
Nous aurons l’occasion de le dire dès ce samedi dans la rue, à l’appel de la coordination #StopLoiSécuritéGlobale, mais aussi la semaine prochaine lors de la mobilisation en défense de l’hôpital public le 21 janvier et contre les licenciements et les suppressions de postes le 23 janvier.
Plus de sécurité sociale, moins de sécurité globale ! -
L'Anticapitaliste : le journal, numéro 551...
Un clic sur l'image...
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Dans le 83, contre le projet de loi dit de « Sécurité globale »...
À Toulon, le 16 janvier 2021
contre le projet de loi dit de « Sécurité globale ».Rendez-vous à 10h00, place de l'Opéra. -
Dans le 06, contre le projet de loi dit de « Sécurité globale »...
2 manifestations sont organisées le 16 janvier 2021 dans le 06 contre le projet de loi dit de « Sécurité globale ».Rendez-vous :- À Nice, 14h, Gare SNCF, place Tiers ;- À Cannes, 15h, devant la Mairie. -
Contre la mise à mort de nos emplois, manifestons le 23 janvier et le 4 février !
Sous prétexte de crise sanitaire, le patronat, avec l’aide du gouvernement, se lâche de manière inédite en livrant une guerre économique et sociale féroce à l’ensemble du monde du travail. Une nouvelle vague de destructions d’emplois est à l’œuvre. Sans une mobilisation importante de notre camp social, des centaines de milliers de personnes pourraient basculer à nouveau dans la précarité et la misère.
Une véritable saignée sociale
C’est sans étonnement que lors de ses vœux, Macron, le président des ultra-riches, n’a pas eu un mot pour les chômeurEs, les précaires, les jeunes, les salariéEs menacés par les licenciements et le basculement dans la pauvreté. Pourtant la séquence qui s’ouvre en ce début d’année annonce un nouveau carnage social, et contrairement à ce qu’on nous assène, ce n’est pas la crise sanitaire qui en est responsable mais bien le capitalisme.
Pour continuer de dégager des profits maximums, les patrons ont exploité la crise du Covid pour réorganiser la production et l’économie en se servant des salariéEs comme variables d’ajustement. Les suppressions de postes continuent dans le secteur public et les licenciements se multiplient dans le secteur privé, facilités par l’arsenal juridique assoupli des ordonnances Macron et de la loi Travail. Aux procédures collectives de licenciements qui ont triplé depuis 2019, il faut additionner les fins de contrats, les ruptures conventionnelles, les fins de CDD, les compressions d’intérim. Et le taux de chômage des jeunes atteint aujourd’hui 20 %.
Nous ne paierons pas leur crise !
Pendant ce temps, les « corona-profiteurs », patrons et actionnaires, ont continué de se gaver d’argent public. 100 milliards versés dans le cadre d’un hypothétique « plan de relance », un véritable chèque en blanc sans aucune contrepartie, aucun contrôle. Les bénéfices des grandes entreprises du CAC 40, les dividendes, explosent et les fortunes des milliardaires s’envolent.
À l’inverse de cette politique qui nous mène chaque jour davantage à la catastrophe, il faut imposer que c’est aux capitalistes de payer ! Pour cela, luttons pour la protection du monde du travail, par l’interdiction des licenciements, l’embauche des précaires, la réduction du temps de travail et son partage entre toutEs sans perte de salaire, l’augmentation des salaires et des minima sociaux, ainsi que le recrutement massif dans les services publics. Il faut également imposer une autre utilisation de l’argent public, fruit de notre travail, afin de faire fonctionner la société pour le plus grand nombre, et non pour l’avidité d’une minorité.
Inverser le rapport de force
L’urgence est de construire la convergence de toutes celles et tous ceux qui ne veulent plus payer la crise. Les mobilisations à venir constituent déjà des étapes importantes pour faire que la peur change de camp. A l’initiative des salariéEs du voyagiste TUI menacés de 600 suppressions d’emplois, manifestons le 23 janvier à Paris pour l’interdiction des licenciements et contre les suppressions de postes. Le jeudi 4 janvier à l’appel de différents syndicats, construisons la grève interprofessionnelle pour défendre l’emploi. Des échéances qui convergent et auxquelles viennent s’ajouter des journées de mobilisation sectorielle dans la santé, l’éducation ou l’énergie.
Il faudra aller au-delà de quelques journées de grèves ou d’actions pour imposer des mesures d’urgence et mettre en échec la politique du patronat et du gouvernement. Plus largement pour en finir avec la mainmise des capitalistes sur la société, il est urgent de construire un front des résistances pour frapper touTEs ensemble !
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Retrait total de la loi sécurité globale !
Gare de Nice, 14h00
samedi 16 janvier 2021Pas de trêve dans la lutte pour retrouver nos libertés.
Retrouvons nous dans toutes les villes de France
pour cette nouvelle grande marche des libertés,
pour dire non à la Loi Sécurité globale mais également la loi séparatisme,
pour refuser l'impunité face aux violences policières
et toutes les dérives liberticides du pouvoir.
En jaune, en noir, en arc en ciel, en rose...
soyons tou.e.s présent.e.s et solidaires !
Ne laissons pas l'autoritarisme et la terreur gagner.