La pandémie frappe un capitalisme à la dérive. Elle annonce une dépression qui combine crise économique « classique » et crise des rapports entre société et nature. Plus que jamais, le sort de l’humanité dépend des capacités du prolétariat à s’unifier pour rompre avec un système mortifère.
NPA l'Anticapitaliste 06 et 83 : le blog - Page 296
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Face à la crise, le travail doit s’émanciper du capital...
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Trump pour toujours ? Il pourrait essayer...
Au milieu de la pire pandémie de l'histoire des États-Unis et de ce qui pourrait être une deuxième grande dépression pire que la première, la principale préoccupation du président Donald J. Trump est sa réélection à la présidence en novembre.
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Appel des peuples, organisations, mouvements et réseaux militants d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient/région arabe. Pour l'annulation de la dette et l'abandon des accords de "libre-échange"...
Pour faire face à la pandémie de Corona et à ses graves conséquences :
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L'Anticapitaliste, le journal : numéro 523...
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Plus jamais ça ! 34 mesures pour un plan de sortie de crise...
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COMMUNIQUE DE SOLIDARITE MIGRANT·ES COLLECTIF 06 (SOMICO 06) (*).
RELAXE DE CEDRIC HERROU PAR LA COUR D’APPEL DE LYON : FIN DES MULTIPLES ATTEINTES AU DROIT A LA FRONTIERE ?
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Refusons la fermeture de quatre usines Renault !
Selon des informations de presse non démenties à ce jour, quatre usines Renault sont aujourd'hui menacées de fermeture : Choisy-le-Roi, Dieppe, les fonderies de Bretagne et Flins. Plus de 5000 emplois sont directement menacés auxquels s'ajouteraient des milliers d'emplois indirects.
La préparation de ces mesures date d'avant l'épidémie. « Aucun tabou » sur les fermetures d’usines, avait osé affirmer, au début de l’année, la nouvelle direction de Renault, choisie par le gouvernement pour succéder au patron escroc Carlos Ghosn.
Comble du cynisme criminel : Renault a fait redémarrer l'usine de Flins, aujourd’hui menacée, parmi les premières usines automobiles de montage en France en pleine épidémie.
Les milliards d'euros que le gouvernement s'apprête a consentir pour recapitaliser Renault en bourse sont bien soumis aux conditions de compétitivité fixées publiquement par le ministre Le Maire. Preuve en est apportée.
Avec quatre usines menacées de fermeture, une attaque d'ampleur inégalée est en cours. La direction de Renault et le gouvernement croient pouvoir tabler sur la désorganisation pratique du mouvement ouvrier qu'a entraînée le confinement. Il faut lui apporter une réponse à la hauteur de l'enjeu pour le faire reculer.
Les travailleurEs des usines Renault menacées doivent bien sûr recevoir le soutien le plus large. Mais cela ne suffira pas. C'est tout le mouvement ouvrier et social qui doit s'engager pour empêcher ces usines de fermer et pour garantir l'emploi. Le NPA appelle au rassemblement et aux initiatives indispensables au plan national pour pouvoir gagner.
Revendiquer l’interdiction des licenciements, refuser la fermeture des usines et garantir l’emploi, c'est refuser la loi du profit qui choisit ses productions, délocalise et détruit des usines en fonction de ses seuls intérêts. C’est à l’intérêt collectif qu’il s’agit de penser, et non à celui des actionnaires, en défendant les emplois et en envisageant collectivement les possibles reconversions, autour de nouvelles activités utiles à la population et permettant de sortir du tout-auto.Cela implique d’envisager réquisitions et expropriations, et donc de s’opposer frontalement à un capitalisme prédateur dont les les salariéEs de Renault font aujourd'hui les frais. TouTEs ensemble à leurs côtés !
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La reprise dans les usines automobiles : produire sous la menace de l’épidémie...
À partir des compte-rendus des militantEs NPA du secteur automobile, voici le point sur la reprise de la production d’automobiles. Alors que chacunE est contraintE de fournir son relevé personnel de température à l'entrée de l'usine, c'est la preuve que l'épidémie de coronavirus continue !
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L’heure de la mobilisation à l’hôpital et dans la santé...
Même Jupiter peut se tromper. Il peut même lui arriver de le reconnaître. Lors d’une nouvelle visite surprise à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, le 15 mai, Macron a admis avoir « sans doute fait une erreur dans la stratégie annoncée il y a deux ans » pour l’hôpital. Il a reconnu que les plans successifs d’Agnès Buzyn étaient « sous-dimensionnés » et a chargé Olivier Véran, ministre de la Santé, de proposer très rapidement un nouveau plan.
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Aéronautique : les patrons veulent faire payer la crise aux salariéEs...
La pandémie du coronavirus a entraîné le quasi-arrêt d’un trafic aérien. Bien des compagnies aériennes, certaines menacées de faillite, demandent des reports de livraisons avant, sans aucun doute, d’annuler des commandes. Car le mythe d’une croissance continue du trafic aérien s’effondre : les experts doutent d’une reprise au niveau antérieur avant longtemps... Airbus a déjà annoncé la réduction d’un tiers de sa production.