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  • Dans la vallée de la Roya, les merveilles sont aussi humaines !

    4 JOURS DE RENCONTRES avec des philosophes, historiens, écrivains, artistes et de nombreux passeurs d’humanité.
    4 JOURS DE DÉCOUVERTES des paysages de cette vallée montagneuse, de son fleuve et de son histoire singulière.
    4 JOURS DE FÊTE : musiques et chansons, littérature et philosophie, randonnées et dégustations.

    LE JEUDI 18 JUILLET à Breil sur Roya
    LE VENDREDI 19 JUILLET à Saorge
    LES SAMEDI 20 ET DIMANCHE 21 JUILLET à Tende

    La place des migrations et de l’hospitalité dans l’histoire de l’humanité.
    L’histoire des frontières. Leur effacement est-elle une utopie ?
    Le monde de demain s’invente aussi dans la Roya.

    Festival : les passeurs d'humanité.

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  • Préparer l’« Acte II » de la mobilisation contre Macron et son monde !

    Depuis son élection, Macron et son gouvernement ont frappé fort : loi travail 2, sélection à l’entrée de l’Université, démantèlement de la SNCF, réformes dans l’éducation nationale, fin de l’ISF, réforme du statut des fonctionnaires… Face à cela, de nombreuses résistances se sont développées. L’an dernier, cheminotEs et étudiantEs se sont mis en grève. Cette année, pendant plus de 6 mois, les Gilets jaunes ont défié le pouvoir et des luttes se développent actuellement dans la santé et l’éducation. Mais cela n’a pas suffi à stopper l’offensive et un nouveau round d’affrontements avec la Macronie est devant nous !

    Tirer les bonnes leçons pour gagner 

    Macron a mis la barre très haute. Il a montré qu’il préférait faire parler la matraque et les gaz lacrymogènes plutôt que de céder d’un pouce sur sa politique. Sur la forme, l’autoritarisme exacerbé est le pendant de  sa politique de casse sociale qui vise à nous imposer des reculs sur nos droits. On ne compte plus les milliers d’arrestations et de garde à vue, les centaines de blesséEs et de mutiléEs ces derniers mois.

    Pour le faire plier, il faudra s’y mettre toutes et tous ensemble : en grève dans les boîtes et les services publics, mobiliséEs sur les ronds-points, déterminéEs dans les facs et les lycées… La conscience que seule une mobilisation générale, par les grèves et les blocages, et la construction de liens et de cadres solides pour organiser cette riposte, permettra de l’emporter.

    Les combats sont devant nous

    Macron espère qu’il va pouvoir dérouler son programme jusqu’au bout. Privatisation d’Aéroport de Paris, « réforme » des retraites (une transformation fondamentale visant à baisser nos pensions et à reculer l’âge de départ), casse des services publics, assurance chômage… Tous ces dossiers sont sur la table. 

    Ils vont nécessiter une réponse déterminée, unitaire et majoritaire de notre camp social. Partout, nous devons nous poser la question de construire des collectifs de luttes, regroupant la gauche sociale et politique, les équipes militantes dans les services publics, dans les entreprises, dans les quartiers, et les centaines de milliers de personnes qui se sont retrouvées sur des bases progressistes dans le mouvement des Gilets Jaunes. 

    Reconstruire une gauche anticapitaliste de combat 

    Les derniers résultats électoraux, mettant le Rassemblement national et Macron en tête, doivent nous alerter sur l’absence de représentation politique pour toutes celles et tous ceux qui aspirent à construire une société émancipatrice, débarrassée du capitalisme. Nous avons besoin d’un parti qui incarne une gauche anticapitaliste de combat à une échelle large. 

    Pour cela, le NPA est disponible pour discuter avec toutes les forces organisées, les courants politiques, les équipes militantes, les individus qui partagent ce même objectif. Si les élections municipales s’invitent dans le débat et auront leur importance, c’est d’abord par des vérifications pratiques dans les luttes sociales que des convergences doivent se construire.  

    Pour les mobilisations, pour une alternative anticapitaliste et internationaliste, le NPA entend prendre toute sa part dès la rentrée. C’est urgent et nécessaire.

    Le mardi 9 juillet 2019

  • Féminicides : Un Grenelle pour négocier avant la bataille ?

    Le 7 juillet a été décompté un 75e féminicide depuis le 1er janvier 2019 : une femme a été assassinée dans les Yvelines. Alors que de nombreuses associations féministes se mobilisent contre les féminicides depuis plusieurs mois. Marlène Schiappa a annoncé ce lundi 8 juillet, sur le plateau de BFM-TV, qu’il n’y « a pas de solution miracle » pour lutter contre les féminicides.

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  • Syrie : Solidarité avec la population abandonnée de la région d’Idleb !

    Jeudi 20 juin, deux membres de l’opposition syrienne démocratique tenaient à Paris une conférence de presse tentant de secouer l’indifférence que subissent les quatre millions d’habitantEs et réugiéEs de la région d’Idleb (ou Idlib) en Syrie.
    Ceux-ci sont soumis à la fois au blocus et aux bombardements cyniques et meurtriers du régime syrien et de ses alliés, et à l’oppression des milices d’Hayat Tahrir al-Cham (HTS, ex Al Nosra liée à Al-Qaeda) qui ont pris le dessus parmi les forces armées s’opposant à 
    Assad.

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  • De quoi Marion Maréchal est-elle le nom ?

    Invitation finalement annulée par le Medef, repas réussi avec des élus LR, participation à l’université d’été d’Academia Christiana… l’agenda de Marion Maréchal est scruté de près ces derniers temps. « Marion a la cote », comme le titre une récente une de Présent, le quotidien d’extrême droite.
    La nièce, qui n’avait trompé personne sur la réalité de son « retrait » de la vie politique, a bien entamé son retour... annoncé dès son « départ » en 2017.

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  • En finir avec les centres de rétention administrative...

    Dans un rapport publié début juin, puis dans une lettre ouverte, plusieurs associations, syndicats et ONG mettent en cause la politique française d’enfermement des étrangerEs jugés illégaux dans les centres de rétention administrative (CRA). Des centres qui fonctionnent, selon ces organisations, « à plein régime », et dans lesquels les droits fondamentaux sont régulièrement bafoués.

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  • Service national universel : discipline militaire et propagande nationaliste, les jeunes ne se laisseront pas dresser...

    Cérémonie au drapeau, Marseillaise à la pelle, privations de liberté et punitions militaires ; les premières images du SNU n’ont fait que confirmer le caractère réactionnaire et nationaliste de cette nouvelle mesure du gouvernement. Si nous n’avons assisté cette année qu'à la phase d'essai avec quelques milliers de jeunes, ce « service » d'un mois a vocation à devenir obligatoire pour touTEs les jeunes de 16 ans d'ici 2026, sans possibilité d'exemption.

    Cette mesure est la cerise sur le gâteau d'une politique qui dure depuis des années de la part de la classe dominante.

    D'un côté, celle-ci enchaîne les attaques contre touTEs les travailleurEs, et parmi elles et eux les jeunes qui arrivent sur le marché de l'emploi. Augmentation de la durée légale du travail, réforme des retraites, vague de licenciements dans l'impunité pour des entreprises qui engrangent des milliards de profits et des millions d'argent public... La politique de la bourgeoisie propose aux jeunes cette alternative : chômage ou boulots précaires.

    De l'autre côté, l'accès à l'éducation, déjà rivé d'inégalités pour les jeunes de classes populaires, leur est progressivement réduit. ParcourSup, augmentation des frais d'inscription dans le supérieur, réforme Blanquer... Rien que ces dernières années, les bancs des écoles et des universités ont fait l'objet d'un tri social méthodique, faisant ainsi des économies sur celles et ceux que l'on destine à devenir une main d'œuvre malléable et mal payée. Après ça, le gouvernement a beau jeu de défendre son SNU au nom de la « mixité sociale » !

    Mais le gouvernement se méfie de celles et ceux à qui il promet un avenir de galères. Le SNU, c'est mettre au pas les jeunes et leur inculquer des valeurs qui ont tant de fois sauvé la mise à tous les bourreaux. La discipline, l'obéissance aux ordres, sans oublier le « patriotisme » que l’on propose à la jeunesse, cachent derrière le drapeau tricolore l'exploitation, l'oppression et les guerres dont les capitalistes français sont responsables à travers le monde.

    Et dans ce contexte de montée des idées réactionnaires, les politiciens de gauche comme d'extrême droite jouent la surenchère nationaliste, chacun proposant sa propre mouture du SNU. Mais la solution n'est ni d'en allonger la durée, ni d'assurer sa propagande nationaliste dans l'enceinte de l'« école de la République », ni encore de changer la couleur de l'uniforme.

    En décembre, les jeunes se sont mobiliséEs contre la politique de tri social dans l'éducation. Depuis mars, les jeunes sortent dans la rue de manière déterminée et massive contre la destruction de la planète. C'est ce même chemin de la lutte qu'il faut retrouver pour s'opposer au SNU.

    L’horizon des jeunes ne doit pas être de se résoudre à payer les pots cassés du capitalisme à la place des responsables. C'est en s'organisant collectivement qu'elles et ils pourront faire face à cet embrigadement rétrograde, et espérer faire reculer le gouvernement.

    Nous, les jeunes du NPA,  affirmons notre internationalisme et notre volonté de nous mobiliser dès la rentrée, aux côtés de touTEs les jeunes, contre le Service national universel.

    Communiqué du 4 juillet 2019, Paris.