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Actualités nationales... - Page 154

  • Amnesty international observe la marche vers un État autoritaire...

    Le rapport d’Amnesty international sur la France paru le 29 septembre est sans appel.
    Il dénonce, chiffres à l’appui, la violente répression policière et judiciaire déchaînée contre les gilets jaunes et de plus en plus souvent contre les journalistes témoins des faits. Il dénonce également les traitements inhumains et scandaleux subis par de nombreux réfugiés et migrants ainsi que par leurs soutiens.
    Et sans surprise la remise en cause de nos libertés...

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  • Contre l’islamophobie d’État : non à la loi «séparatisme» !

    En pleine crise sanitaire et alors que la crise sociale se poursuit et s’approfondit, avec plus de 800 000 emplois déjà supprimés et des menaces qui pèsent contre des centaines de milliers d’autres, Macron et son gouvernement ont décidé de mettre à l’ordre du jour (et à la Une des médias) la « lutte contre le séparatisme ». Une grossière et dangereuse opération de stigmatisation et de diversion.

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  • Le vrai séparatisme est à l’Élysée !

    Marchons le 17 octobre avec les sans-papiers

    Vendredi dernier, le discours de Macron, annoncé comme une présentation de la loi censée lutter contre les « séparatismes » n’a été, sans grande surprise, qu’une longue diatribe raciste…

    Ce gouvernement ne s’embarrasse même plus de dissimuler ses attaques islamophobes derrière un enrobage prétendument laïque concernant toutes les religions, comme cela était le cas jusque-là avec les différentes lois sur le voile. Un palier a été franchi dans la désignation d’un ennemi à la fois intérieur et extérieur à la République, avec une définition fantasmée de la laïcité où l’État définirait les bonnes pratiques des religions et des croyantEs, les musulmanEs n’ayant pas le droit de pratiquer et d’afficher leur religion dans l’espace public, au travail, etc. Selon Macron, l’ennemi est donc « l’islam politique », le « séparatisme islamiste ».. Et Darmanin, ministre en fonction accusé de viol, de préciser que « les catholiques n’ont rien à craindre »…

    Diversion et division

    Macron chasse sur les plates-bandes du Rassemblement national, le second tour de la présidentielle de 2022 déjà en ligne de mire… Mais le but est également de détourner notre regard de la situation sanitaire, économique et sociale dans laquelle nous continuons de nous enfoncer : la diversion et la division pour nous faire oublier sa politique criminelle et inconséquente. Dans ce moment qui met en lumière les conséquences dramatiques de la destruction des services publics, les suppressions d’emplois et la dégradation des conditions de travail le tout au profit des dividendes des capitalistes, les responsables de la situation seraient selon Macron… les femmes voilées ! Parler de l’Islam pour oublier les dizaines de milliards de cadeaux offerts aux entreprises et les centaines de milliers de licenciements…

    C’est qui les « séparatistes » ?

    Le vrai « séparatisme », il est à rechercher du côté des puissants, de la bourgeoisie et de son gouvernement. Eux qui excluent les femmes voilées de tous les aspects de la société, leur interdisant même de donner des recettes de cuisine sur internet ! Eux qui pourtant excluent aussi les jeunes filles qui ne seraient pas assez habillées dans les collèges et lycées ! Leur « séparatisme », c’est la destruction méthodique des services publics utiles à la majorité, en premier lieu par l’accès restreint à la santé pour les habitantEs des quartiers populaires durant cette période d’épidémie.

    Refusons l’instrumentalisation des questions féministes et antiracistes. Luttons contre toutes ces politiques, refusons toutes leurs lois, en particulier cette islamophobie d’État qui fait le lit des violences racistes et sexistes et de l’extrême droite.

    On marche vers l’Élysée !

    La vague de mobilisation internationale sans précédent portée par la jeunesse contre les brutalités policières et le racisme mais également contre les violences sexistes, nous montre le chemin. Ces luttes sont celles de notre camp, de notre classe. Contre leur « séparatisme » social, nous devons lutter ensemble : pour l’emploi avec l’interdiction des licenciements et des suppressions de poste, pour des services publics gratuits et accessibles à touTEs, contre la précarité de nos vies, pour l’égalité !

    Les sans-papiers sont au premier rang de celles et ceux qui subissent divisions et attaques, ayant pourtant été bien souvent en « première ligne » durant le confinement. Ils et elles ont également été parmi les premierEs à se mobiliser à nouveau pour leurs droits en mai et juin dernier. Il est essentiel d’être le plus nombreux possible à marcher et manifester à leur côté, dès aujourd’hui dans de nombreuses villes et régions, et le samedi 17 octobre à Paris en direction des vrais « séparatistes », ceux de l’Élysée.

  • Loi « séparatisme » = islamophobie d’État...

    En pleine crise sanitaire et alors que la crise sociale se poursuit et s’approfondit, avec plus de 800 000 emplois déjà supprimés et des menaces qui pèsent contre des centaines de milliers d’autres, Macron et son gouvernement ont décidé de mettre à l’ordre du jour (et à la Une des médias) la « lutte contre le séparatisme ». 

    Il n’aura fallu que quelques minutes de discours pour que les masques tombent : pour Macron, « séparatisme » = « islamisme ». S’en est suivie une longue litanie au cours de laquelle le président, tout en prétendant refuser de se laisser entraîner par « le piège de l’amalgame », a aligné les poncifs racistes et islamophobes, sur un ton catastrophiste, jetant la suspicion sur l’ensemble des musulman·e·s.

    Après avoir expliqué que l’un des principaux terreaux de l’« islamisme radical » était le sentiment de relégation chez des populations vivant dans « des quartiers où les promesses de la république n’ont pas été tenues », Macron a dégainé une longue liste de mesures répressives : obligation de neutralité étendue aux salariéEs du privé assurant des délégations de service public ; renforcement du contrôle des associations et des possibilités de les dissoudre ; ingérence accrue de l’État dans le culte musulman, au nom de la volonté de « bâtir un islam des lumières » (sic)… Ce n’est qu’à la toute fin de son discours qu’il a évoqué la question de la relégation spatiale et sociale, se contentant d’exhiber son bilan et de promettre qu’il allait continuer sur la même voie.

    Comble de l’arrogance et de la provocation, Macron a expliqué que sa lutte contre le « séparatisme islamiste » reposait sur « cinq piliers » – référence à peine voilée aux cinq piliers de l’islam. Pas à une outrance près, Macron a dénoncé les conducteurs de bus qui refuseraient des passagères en raison de leur « tenue indécente »… devant un parterre de ministres parmi lesquels Jean-Michel Blanquer, pourfendeur des shorts et des tee-shirts trop courts des jeunes filles.

    Alors que pas un jour ne passe sans une nouvelle attaque islamophobe, qu’elle soit physique – agressions, incendies de mosquée – ou verbale – dans les grands médias ou sur les réseaux sociaux –, Macron n’a même pas employé une seule fois le terme « islamophobie ». Pire : son discours et les mesures annoncées vont renforcer encore un peu plus la stigmatisation et les discriminations contre les musulman·e·s. 

    Le NPA condamne cette islamophobie d’État revendiquée, et se joindra à toutes les mobilisations en préparation, notamment à l’initiative du Collectif du 10 novembre contre l’islamophobie, contre le projet de loi « séparatisme ». Nous refusons le renforcement des discriminations et des attaques contre les musulman·e·s et affirmons que nous ne nous laisserons pas diviser face à ce gouvernement au service des riches qui pave chaque jour un peu plus la voie à l’extrême droite. 

  • Contre le gouvernement et le patronat, imposer un bouclier social et sanitaire !

    Politique sanitaire catastrophique, licenciements et suppressions de postes en masse : gouvernement et patronat nous conduisent droit dans le mur. Seules nos mobilisations, notre capacité à les faire converger, peuvent empêcher l’aggravation de la situation.

    Une catastrophe sanitaire annoncée

    En six mois le gouvernement n’a rien engagé pour anticiper un nouveau développement de l’épidémie. Il a opté pour une gestion libérale de la crise sanitaire, préférant faire la morale voire sanctionner les contrevenantEs plutôt que de déployer une véritable politique de santé publique. Le masque, obligatoire sur les lieux de travail, est souvent à la charge des salariéEs. Les tests pratiqués ne répondent à aucune logique de ciblage des populations symptomatiques et de leurs contacts. Le système de tests PCR s’est effondré et il est devenu quasiment impossible de tester, de tracer, d’isoler, les délais ayant explosé.

    C’est le résultat d’une dégradation continue du système de santé publique, orchestré sciemment par un gouvernement qui n’a rien fait pour répondre au manque de moyens matériels et humains. Une gestion catastrophique qui a conduit à la saturation des laboratoires et qui risque de saturer à nouveau l’ensemble des hôpitaux, comme à Marseille.

    À l’inverse de cette politique criminelle, il faut imposer des mesures d’urgence, notamment la distribution de masques gratuits, l’achat de matériel pour tester plus rapidement, l’embauche massive de personnels soignants, tout en diminuant leur temps de travail et en augmentant leurs salaires.

    Une crise qui a bon dos...

    Sanofi, Airbus, Nokia, Bridgestone… Des dizaines de milliers de suppressions de postes, de licenciements, les fermetures de sites : aucun secteur n’est épargné, quil s’agisse de l’automobile, de la grande distribution, des télécommunications, des transports, en n’oubliant pas les suppressions de postes dans la sous-traitance, le non-renouvellement des contrats précaires... Cela sans parler du chantage sur les salariéEs avec les accords de performance collective qui contraignent d’accepter des conditions de travail plus dures pour échapper aux licenciements.

    Une véritable saignée alors que l’État gave les entreprises d’argent public : des milliards versés dans le cadre du « plan de relance », qui viennent s’ajouter aux 20 milliards d’exonérations annuelles du CICE, du CIR… Pour les capitalistes, la récession économique est un permis de licencier sans entrave et de se livrer à aux « restructurations » déjà prévues.

    Pour résister à cette situation dramatique, il faut imposer la protection du monde du travail par l’interdiction des licenciements, l’embauche des précaires, la réduction du temps de travail et son partage entre toutEs sans perte de salaire, l’augmentation des salaires et des minima sociaux.

    Résister ensemble !

    Imposer un bouclier sanitaire et social nécessite de construire un meilleur rapport de forces pour les salariéEs malgré la difficulté de la période qui produit atomisation, peur du lendemain, et même peur de mourir.

    Le patronat nous conduit toujours plus au désastre, et l’État fait mine de jouer les arbitres mais n’a aucune réponse à la crise du capitalisme. Pour enrayer cette catastrophe, nous ne pouvons compter que sur nos mobilisations, la coordination de nos luttes, la mobilisation générale, les grèves… De premières ripostes s’organisent, comme aux fonderies du Poitou ou à Cargill dans le Nord.

    Imposer des mesures d’urgence implique nécessairement la rupture avec la domination des capitalistes sur l’économie, sous peine de s’enfoncer davantage dans la barbarie dans laquelle le capitalisme plonge l’humanité.

  • Non au couvre-feu sanitaire ! Pour lutter contre le Covid, il faut donner des moyens à l’hôpital public...

    La circulation du coronavirus a repris de plus belle et les modélisations du ministère par région annoncent un débordement du système de santé d’ici au mois de novembre, voire avant. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé la liste des zones d’alerte et des zones d’alerte renforcée qui, dès les prochains jours, feront l’objet de mesures restrictives : interdiction des rassemblements privés et familiaux au-delà de 30 personnes, des fêtes locales et étudiantes ; interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes sur la voie publique (plages et parcs) ; interdiction des rassemblement organisés (événement sportif ou concert) de plus 1000 personnes ; fermeture des bars à partir de 22 heures. En revanche, pas de problème pour aller au boulot, à l’école, à l’université, pour prendre les transports…

    Le ministre l’a laissé entendre : tout un chacun est responsable et vigilant mais beaucoup moins dès lors qu’il s’agit des distractions. La parfaite illustration d’une politique de santé publique libérale où chacun est renvoyé à sa situation personnelle, culpabilisé et infantilisé… La parfaite illustration de l’absence d’une politique de santé publique cohérente ! Le gouvernement continue dans sa lancée du printemps : tout pour le travail et l’économie.

    Business as usual… Olivier Véran n’a pas dit un mot sur la faillite totale du système de dépistage par manque de moyens humains pour tracer les cas-contacts. Un système de dépistage complètement saturé, qui laisse présager de ce que ce serait un système hospitalier débordé. Et pourtant, pas un mot sur le fait qu’aucun plan d’embauches massif de soignants dans les hôpitaux n’a été préparé et qu’aucune ouverture de lits n’a eu lieu. Et cette perspective n’est toujours à l’ordre du jour. À la place, la litanie habituelle consistant à réduire nos droits à se réunir librement, à se détendre et se divertir.

    Notre seul droit : aller bosser et si possible continuer à consommer. Le couvre-feu sanitaire ne masquera pourtant pas longtemps la faillite d’un système de santé aux ordres des profits.

    Pour faire face à l’épidémie et protéger vraiment la population, et pas seulement le système de santé ou le système économique, le NPA réclame l’embauche massive de personnel soignant, des augmentations de salaires dans les hôpitaux et la réduction du travail sans perte de salaire !

  • Sans-papiers : marchons pour l’égalité...

    Le week-end dernier, des dizaines de sans-papiers accompagné de soutiens sont partis de Marseille et de Montpellier pour traverser à pied le pays. D’autres marches partiront ces prochaines semaines de Grenoble, Strasbourg, Lille, Rouen et Rennes…. Le samedi 17 octobre ces marches convergeront à Paris pour une manifestation nationale qui ira vers l’Elysée.

    Marcher pour leur régularisation

    Les marcheurs et marcheuses vont parcourir des centaines de kilomètres, rencontrer des milliers de personnes, passer dans des dizaines de villes et villages où des collectifs de solidarités et des réseaux associatif, syndicaux et politiques organisent leur accueil. Des villes se mobilisent même quand elles ne sont pas sur un parcours. Le week-end du 3-4 octobre, des événements auront aussi lieu dans de nombreux endroits. Cette marche est déjà soutenue par 240 organisations, locales et nationales, collectifs, associations, syndicats et partis.

    TouTEs marchent les revendications des sans-papiers : la régularisation de touTEs, la fermeture des centres de rétention administrative (CRA), un logement décent pour toutes et tous, avec ou sans papiers...

    Dans une lettre adressée au président Macron, les participantEs en ont aussi résumé l’enjeu pour toute la société : l’égalité. Car les sans-papiers vivent dans nos quartiers, travaillent ici, envoient leurs enfants à l’école, mais sont victimes de toutes les discriminations, au travail, au logement, dans la rue, sous la menace constante d’une expulsion...

    Refuser les discours racistes

    Les arguments qui visent à légitimer cette absence de droits pour les sans-papiers se retournent contre nous touTEs. Justifier l’inégalité des droits au nom de la nationalité et de l’origine, c’est ouvrir grande la porte à tous les discours racistes. Justifier l’inégalité des droits parce qu’« on » n’en aurait pas les moyens, c’est accepter les arguments qui disent ensuite qu’il n’y aurait pas non plus les moyens pour garantir les retraites de touTEs, qu’il faut fermer des hôpitaux, des écoles, allonger le temps de travail... Cela à l’heure où le gouvernement distribue les milliards pour les riches et les patrons au nom de la relance de l’économie ?

    Quand ils sont tenus par le patronat et le gouvernement, ces arguments sont d’un cynisme sans fond, car beaucoup de sans-papiers travaillent mais leur absence de droits permet de les surexploiter et de les licencier sans droit au chômage. Et la crise sanitaire a renforcé considérablement ce cynisme : d’une part parce que les sans-papiers ont été utilisés en « première ligne », d’autre part parce que l’absence de droits, la rétention dans les CRA et l’extrême précarité des sans-papiers sont aussi autant d’obstacles à la lutte globale contre la propagation du virus.

    Manifester le 17 octobre

    Une victoire des sans-papiers serait bien sûr une avancée gigantesque pour touTEs, un pas vers l’égalité et la solidarité. Elle serait aussi un signal pour tout le mouvement social et politique qu’il est possible d’inverser toutes les logiques de régression sociale et politique, et que les rapports de force peuvent être construits pour cela.

    Car nous savons bien que le gouvernement ne cédera pas à moins d’y être contraint. Les enjeux sont politiques et idéologiques. Ainsi, pour célébrer les « valeurs républicaines » Macron a choisi la IIIème République, celle de 1870. Une république coloniale qui a aussi écrasé la Commune de Paris qui, elle, avait placé la citoyenneté, l’égalité des droits, au-dessus de la nationalité.

    Dans chaque ville ou quartier, dans chaque école ou lieu de travail, peut s’organiser la mobilisation pour soutenir cette marche qui se terminera à Paris le samedi 17 octobre. Pour faire gagner les sans-papiers et la lutte pour l’égalité. Pour que renaissent les idéaux de la Commune.

  • Dès demain...

    À partir du mercredi 23 septembre, retrouvez l'actualité des luttes, les analyses anticapitalistes et les positions du NPA sur :
    http://lanticapitaliste.org/
    http://nouveaupartianticapitaliste.org/
     

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    Cela fait plusieurs mois (années ?) qu’on y réfléchit, et le moment est arrivé de lancer la version en ligne de l’Anticapitaliste. Le confinement a accéléré les choses, car il a été l’occasion pour nous de réaliser l’émission, avec ses analyses et échos de l’actualité en vidéo, et parce que, dans cette période, l’hebdo et le site du NPA ont été très liés.

    Ancré dans l’actualité

    Avec le nouveau site l’Anticapitaliste, il s’agit de livrer nos analyses en ligne, par des textes plus accrochés au quotidien que ne le permettent les articles de l’hebdomadaire et de la revue, par des vidéos. En effet, entre la rédaction d’un article pour l’hebdo et l’arrivée du journal entre les mains des lectrices et lecteurs, il peut parfois s’écouler cinq ou six jours. Les articles du site seront des réactions plus rapides à l’actualité, aux petits et grands événements de la lutte des classes, aux luttes locales ou sectorielles.
    Il sera découpé en plusieurs grandes thématiques : l’actualité nationale, l’international, la culture et les débats.

    Besoin de contributeurEs !

    Pour le lancement de ce nouveau média en ligne, nous aurons besoin de toutes les bonnes volontés dans l’organisation, du travail des commissions, des militantEs dans les villes, de nos sympathisantEs, pour alimenter le site, à partir de notre implantation nationale et dans le monde du travail, mais aussi les liens internationaux du NPA, en particulier avec les sections de la IVe Internationale. Ce nouveau site sera en particulier l’occasion de proposer à bien plus de monde qu’actuellement d’écrire, de raconter ses luttes et actions.

    Comme actuellement, ce nouveau site sera géré par « l’équipe site » (joignable en écrivant à equipe-site@npa2009.org), mais touTEs les camarades qui le souhaitent peuvent se proposer pour participer au travail !

    Lifting pour le site du NPA

    Le lancement du site l’Anticapitaliste est aussi l’occasion de réaliser un sérieux lifting sur le site du NPA. Conçu avant l’ère du smartphone, mélangeant de fait un site de parti et d’actualité, il en avait besoin ! Le site du NPA sera donc recentré sur les prises de position politiques, les communiqués de presse, la vie du parti et des comités, le matériel, ce qui devrait permettre de s’y retrouver beaucoup plus facilement.