NPA l'Anticapitaliste 06 et 83 : le blog - Page 120
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Boycott Carrefour : la campagne BDS...
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Nouvelles attaques contre les chômeurEs...
Alors que la dette publique dépasse les 3 000 milliards et que les taux d’intérêt flambent, le gouvernement compte trouver 12 milliards d’euros d’économies en 2025 et vise des économies budgétaires qui permettront de tenir l’objectif de 3,7 % de déficit public prévu dans deux ans.
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L'anticapitaliste : le journal, numéro 684...
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25 novembre : contre les violences, solidarité avec les femmes du monde entier !
Cette année à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes nous serons encore une fois dans la rue pour lutter pour nos droits !
Une situation internationale marquée par les guerres
Les violences faites aux femmes se produisent dans tous les pays à travers le monde et en tout temps. Que nous soyons à l’école ou au travail, dans la rue ou bien chez nous, chez le médecin, partout les violences surviennent et s’abattent sur les femmes et les filles. En outre, les contextes de guerre sont des catalyseurs de ces violences et viennent encore empirer la situation des femmes : elles sont toujours en première ligne de ces conflits armés et de leurs conséquences.
Ainsi en Ukraine, les viols ont été utilisés contre les femmes comme armes de guerre. C’est aussi le cas au Congo où les massacres en cours sont accompagnés de l’utilisation massive du viol de guerre et de mutilations génitales des femmes et des filles. En Palestine, alors que les bombardements continuent sur Gaza et font des milliers de victimes, Médecins sans frontières rapporte que les femmes enceintes subissent des césariennes sans anesthésie, faute de médicaments, à cause du blocus imposé par l'État d'Israël.
Malgré une situation internationale dégradée, les femmes sont en lutte dans de nombreux pays pour leurs droits. Au Mexique, elles dénoncent les féminicides qui touchent une dizaine de femmes et de filles chaque jour. En Iran, elles se battent pour le droit de s’habiller comme elles l'entendent.
Ce 25 novembre doit s’inscrire dans ce contexte international et être l’occasion de dénoncer les violences et de montrer notre solidarité avec toutes les femmes qui les subissent, d’où qu’elles viennent et où qu’elles soient.
En unissant nos voix, on en dirait vingt fois plus
Cette année, l’ensemble du mouvement féministe s’est rejoint pour dénoncer les violences faites aux femmes en France comme ailleurs, en mettant l’accent sur les luttes internationales, et avec la volonté de porter un message inclusif de luttes contre les violences commises contre toutes les femmes et les minorités de genre : femmes trans, lesbiennes, bi, racisées, en situation de handicap, etc.
Il ne s’agit pas de nier les débats bien réels qui traversent le mouvement féministe : des différences de pratiques et de visions sur la construction du mouvement autonome des femmes, mais aussi des débats toujours en cours, comme par exemple sur la question de la prostitution.
Nous réaffirmons ce qui est pour nous un objectif essentiel : l’unification d’un mouvement féministe large, unitaire et autonome. Avec le renouveau des luttes féministes à l’échelle internationale, l’intégration de nombreuses préoccupations liées aux situations différentes de chacun.e d'entre nous et la détermination d’une nouvelle génération, nous pouvons espérer faire trembler le capitalisme et le patriarcat.
Nous sommes fortes, fières, radicales et en colère ! Uni.es nous changerons la société !
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À propos des comptes du NPA sur les réseaux sociaux...
Une pétition en ligne « stoppons la censure contre le NPA et le NPA jeunes » a été lancée le mardi 14 novembre 2023. Nous souhaitons rappeler les faits. Comme il est facile de le constater, les comptes officiels du NPA sur les réseaux sociaux sont toujours fonctionnels :
Ladite pétition concerne donc en réalité les comptes de la scission minoritaire qui correspond à la « plate-forme C » du 5e congrès du NPA tenu en décembre 2022. Ayant fondé sa propre organisation, celle-ci ne dispose ni de la légitimité politique, ni des droits d’utilisation du nom et du logo du NPA, quels que soient le support et la destination (information, appel aux dons, etc.).
L’ex-PFC a créé ces comptes concurrents sur les réseaux sociaux en janvier 2023 alors que les comptes officiels du NPA existent quant à eux depuis sa fondation. De ces derniers, elle ne s'était jamais préoccupée, préférant faire vivre les comptes de ses fractions Anticapitalisme & Révolution et L’Étincelle. Y trouvant son intérêt en matière de notoriété, l’ex-PFC a fait donc vivre la confusion depuis 10 mois, autant sur la charte graphique que sur le logo. Elle a pourtant exprimé des positions divergentes à celles du NPA, que ce soit sur le rappeur Médine, la prostitution, la Palestine, les questions d’oppressions et la question du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes en général.
Dans l'espoir de trouver un accord à l'amiable, nous avons toléré cette situation. Mais récemment, alors même que le parti était entendu par la police pour « apologie du terrorisme », le principal dirigeant public de l'ex-PFC, Gaël Quirante, nous a menacé dans la presse de nous trainer en justice si nous nous présentions à l'élection européenne avec la France Insoumise, l'ex-PFC ayant son propre projet de liste électorale sous la bannière NPA. Il nous a alors semblé légitime de demander la suspension des comptes de l'ex-PFC pour faire cesser cette confusion fortement dommageable pour le NPA.
Nous alertons les personnes qui ont signé, ou voudraient signer cette pétition qu’il y a donc un risque de confusion lorsque les groupes composant l'ex-PFC prétendent que les réseaux sociaux du NPA ont été suspendus.
Nous rappelons que nous sommes tout à fait disposés à discuter avec l’ex-PFC des modalités de la séparation, dans toutes ses dimensions, notamment sur l’utilisation du nom du parti et la distinction entre nos deux organisations, comme nous l’avons proposé à maintes reprises mais avec peu de répondant. Nous avons d’ailleurs proposé une réunion lundi 20 novembre, proposition que nous réitérons.
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Les revendications pour un cessez-le-feu et la fin du soutien à Israël se répandent dans les institutions américaines...
Après l’attaque atroce du Hamas le 7 octobre, qui a fait 1 200 morts, dont de nombreux civils, y compris des enfants, Israël a entamé un siège de Gaza, coupant les vivres, l’eau et le carburant, déclenchant un bombardement incessant et entamant une invasion qui a tué plus de 12 000 personnes, dont près de la moitié sont des enfants.
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POING hebdo : Contre l'antisémitisme et tous les racismes...
Ces dernières semaines, les actes antisémites suscitent une peur et une émotion bien légitimes dans une grande partie de la communauté juive en France. Nous réaffirmons notre solidarité à l’égard des personnes victimes d’actes antisémites, et la nécessité de lutter contre l’antisémitisme et contre tous les racismes, dont l’islamophobie qui continue à faire des ravages.
En amalgamant la lutte nécessaire contre l’antisémitisme et le soutien à l’État d’Israël, en ne mettant aucune borne par rapport à l’extrême droite, ce pouvoir a permis à celle-ci de manifester ouvertement dimanche. Scène inimaginable il y a peu, parmi des manifestantEs sincères, on trouvait donc des racistes et islamophobes avérés, des héritiers de Vichy, des nostalgiques de l’Algérie française, des anciens membres du GUD ou de l’Action française, des lepénistes en tout genre, qui s’érigent aujourd’hui en combattants de l’antisémitisme ! C’est la raison pour laquelle nous n’avons pas participé à ces marches.
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Palestine : l’impérialisme dans une impasse politique...
Le gouvernement de coalition Netanyahou est incapable d’affiner ses buts de guerre, pris entre ceux qui veulent éradiquer les PalestinienEs de la bande de Gaza, ceux qui optent pour une réoccupation militaire, et ceux qui veulent la séparer par un nouveau no man’s land. Dans ce contexte, la politique israélienne se limite à poursuivre une guerre sans but, au risque de déstabiliser l’ensemble de la région.
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L'Anticapitaliste : le journal, numéro 683...
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Le président des riches face à la rue...
Alors que Jupiter voulait se passer des corps intermédiaire et du dialogue, la rue et les ronds-points sont venus lui rappeler qu’on ne gouverne pas sans le peuple.