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NPA l'Anticapitaliste 06 et 83 : le blog - Page 225
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L'Anticapitaliste : le journal, numéro 587...
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Au Burkina Faso, ouverture du procès du meurtre de Sankara et de ses compagnons...
35 ans après l’assassinat de Thomas Sankara, le procès s’ouvre dans la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou. Si cet évènement est une avancée, des zones d’ombre perdurent, du fait notamment des manœuvres de la France.
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Nous ne céderons pas aux menaces de Blanquer...
« Transmettre les valeurs de la République ou quitter l’enseignement » : quelques jours après l’hommage à Samuel Paty, les enseignantEs qui ne seraient pas « dans la ligne » se retrouvent donc menacés de purge par leur propre ministre. Il fallait oser, et Blanquer ne s’est pas gêné.
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Poutou 2022 : l’urgence anticapitaliste !
Le capitalisme conduit l’humanité à sa perte. Catastrophes écologiques, crises sanitaires, violences économiques, contrôle et autoritarisme contre les populations, montée du racisme, les symptômes morbides de ce système sont nombreux.
Avec Philippe Poutou, nous porterons lors de la prochaine élection présidentielle, la candidature de l’urgence à rompre avec ces logiques infernales. Loin du simple témoignage, cette campagne veut répondre aux aspirations de millions de jeunes et de travailleurs qui n’en peuvent plus de se faire avoir par les gestionnaires du système, Macron et sa clique au pouvoir, les Républicains ou socialistes qui aspirent à le remplacer, ainsi que Le Pen ou Zemmour qui veulent écraser les libertés et dégrader encore plus les conditions de vie et de travail.
« La police tue », le capitalisme aussi !
Philippe Poutou a mis en avant une vérité crue : « la police tue ». Oui elle tue, elle violente, elle mutile, notamment pour maintenir l’ordre dominant que ce soit dans les quartiers populaires ou dans les manifestations. Il y a urgence à désarmer la police qui est au contact de la population pour en finir avec les bavures dans les quartiers et pour retrouver le droit démocratique de manifester sans craindre les violences policières.
Au-delà de la police, c’est bien un système, le capitalisme, qui tue. L’approfondissement du chômage, la précarité et la pauvreté, les conditions de travail, la dégradation du système de santé, la pollution et le réchauffement climatique, les frontières tuent. Le bilan de ce système meurtrier est sans appel. Il faut de toute urgence mettre les capitalistes hors d’état de nuire !
Augmenter les salaires, baisser le temps de travail !
Pour nous, la majorité de la population, tout augmente... sauf les salaires ! L’énergie, avec notamment des prix à la pompe qui reviennent à des niveaux similaires aux débuts du mouvement des Gilets Jaunes, mais aussi les loyers, et une inflation actuellement d’environ 2 %. Les 100 balles de Castex n’y changeront pas grand-chose. La solution ? Il faut augmenter les salaires et les pensions de 400 euros pour toutes et tous, fixer le salaire minimum à 1800 euros nets d’impôts. Et si les prix continuent d’augmenter ? Il faut que les salaires augmentent dans la même proportion en les indexant sur le coût de la vie.
Et parce que nous en avons marre de perdre notre vie à la gagner, parce qu’il faut en finir avec le chômage, parce qu’il faut modifier notre façon de produire et de consommer, il y a urgence à diminuer le temps de travail. C’est possible à hauteur de 28h hebdomadaire, sans augmentation des cadences ni perte de salaire bien entendu.
Reprendre le contrôle sur nos vies
Comment financer ces mesures ? Les 50 milliards de bénéfices des sociétés françaises du CAC 40 donnent une idée de ce qui pourrait être récupéré. Le montant de la fraude fiscale rien qu’en France, avec une estimation de 80 à 100 milliards d’euros cachés dans les paradis fiscaux, nous rappelle que les capitalistes n’ont que faire de l’intérêt général. Cela nous rappelle également que les richesses que nous produisons finissent en bonne partie dans leurs poches…
Il est temps de leur reprendre ce qu’ils nous ont volé. Il est temps de reprendre le contrôle sur la marche de l’économie et de la société. Avec Philippe Poutou, rejoignez-nous pour imposer l’anticapitalisme lors de l’élection présidentielle !
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N'en déplaise à Darmanin...
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17 Octobre 1961: des dizaines d’années de déni et de mensonges organisés...
Des réactions qui ne furent pas à la hauteur du massacre
Le 18 octobre au matin, toute la presse évoque la manifestation des Algériens et la répression. La presse de droite, Le Parisien libéré, l’Aurore, Paris-Jour, reprennent la version officielle : « de violentes manifestations nord-africaines emmenées par des tueurs » qui auraient tiré sur les forces de police. Celles-ci n’auraient fait que riposter pour se défendre. Des policiers auraient même été blessés par balles, ce qui s’avérera faux. Paris-Jour écrit : « C’est inoui ! Pendant trois heures 20 000 Musulmans algériens ont été les maîtres absolus des rues de Paris ». La presse de gauche, L’Humanité et Libération, reste très prudente. L’Humanité dénonce les violences, sans parler de massacre ni de crime, et précise qu’elle ne peut pas en dire plus en raison de la censure. Le quotidien du PCF paraît en effet régulièrement avec des colonnes en blanc. France soir fait tout de même état de violences policières et Le Figaro de « violences à froid » dans les lieux où les Algériens ont été internés. Quand au journal Le Monde, il fait porter aux Algériens la responsabilité de ces événements sanglants : « C’est le terrorisme musulman qui porte la responsabilité de ces drames ». Le journal dirigé alors par Jacques Fauvet stigmatise « une contre-société FLN »1.
Quant à la télévision, gérée alors d’une main de fer par l’ORTF2 et le pouvoir gaulliste, elle consacre deux minutes au sujet, en commençant par montrer… des vitrines brisées. On entrevoit à peine quelques violences et des files d’Algériens que la police fait monter dans des autobus. Jean-Pierre Elkabbach, alors jeune journaliste, soutient le couvre-feu.
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Procès : soutien à notre camarade Olivier Sillam attaqué par Rabah SOUCHI...
Suite à la Marche des fiertés de Nice du 27 juillet 2019, Olivier s‘est à nouveau retrouvé convoqué au commissariat de police.Divers slogans lui sont reprochés.Pour rappel, le commissaire Souchi est à l’origine de la charge plus que contestée lors de la manifestation du 23/3/19 où Geneviève Legay avait été très grièvement blessée.
L’IGPN a d’ailleurs pointé la responsabilité du commissaire.
https://www.mediapart.fr/.../affaire-legay-l-igpn-conclut...Rendez-vous mardi 19 octobre devant le Palais de Justice de Grasse dès 13 h 00.
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L'Anticapitaliste : le journal, numéro 586...
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L'Anticapitaliste : la revue, numéro 129...
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Ils volent l’argent public mais veulent nous faire payer leur crise: reprenons les richesses et partageons-les !
Les « Pandora Papers » ont de nouveau mis en évidence le scandale de la fraude et de l’évasion fiscales des plus riches et plus puissants de ce monde. Une fois encore, cela montre l’ampleur systémique de ce phénomène. Et à chaque nouveau scandale, nos dirigeants, « la main sur le cœur » voire « les yeux dans les yeux », nous promettent d’être intransigeants face aux fraudeurs… Et pendant ce temps les inégalités se creusent !