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Actualités internationales... - Page 13

  • Solidarité avec l’Ukraine résistante...

    Trois après l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022, l’arrivée de Trump au pouvoir rend plus que jamais nécessaire la solidarité des peuples.

    Par Catherine Samary et Oleksandr Kyselov

  • Belgique : Première mobilisation massive contre le gouvernement fédéral...

    Après presque huit mois de négociations et de théâtre politique en Belgique, la nouvelle coalition fédérale (N-VA, MR, Les Engagés, CD&V et Vooruit) qui va de la droite aux sociaux-libéraux en passant par les chrétiens démocrates, nommée « Arizona » en raison des couleurs politiques des partis qui la composent, a finalisé son accord de gouvernement fin janvier, avec la bénédiction du patronat. 

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  • Les violences coloniales s’intensifient sur fond de fragile cessez-le-feu...

    Samedi 15 février 2025, le Hamas a libéré trois otages israéliens en échange de 369 otages palestiniens, dans le cadre d’un cessez-le-feu fragile. La Cisjordanie est le théâtre d’une intensification des violences israéliennes, tandis que l’Autorité palestinienne continue de coopérer avec les colons, suscitant la colère de la population.

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  • OppriméEs et exploitéEs du monde entier, solidarité !

    Les images post-cessez-le-feu qui nous parviennent montrent le contraste entre le retour à la vie « normale » après la fin des bombardements et l’horreur des destructions à Gaza. Respectant cette partie de l’accord, l’armée d’occupation s’est retirée du corridor Netzarim qui coupait la bande en deux.

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  • Troupes russes hors d’Ukraine !

    Trois ans après le début de la guerre, faire connaître ce qu’en disent celles et ceux qui, comme l’organisation de la gauche ukrainienne Sotsialnyi Rukh (Mouvement social), ont combattu à la fois l’invasion russe de l’Ukraine et les attaques sociales infligées par le président Zelensky, est un acte élémentaire d’internationalisme.

    Il s’agit de la guerre d’agression d’un impérialisme niant que l’Ukraine existe comme nation indépendante et qui a lancé pendant trois ans de façon quotidienne missiles et bombes planantes contre tout un peuple et les infrastructures civiles du pays. Cet impérialisme fascisant est soutenu par les extrêmes droites du monde. Ce qui lui vaut l’admiration de Trump. Renvoyer dos à dos cette puissance dominante et un peuple agressé, en préconisant (comme LFI) son « auto-détermination », c’est s’aveugler sur l’agression et sur ses suites annoncées : vers les États baltes, la Moldavie, la Pologne — ces « sphères d’influence » que Poutine revendique autant que l’Ukraine. 

    « La nécessité de disposer des moyens de se défendre n’est pas du bellicisme », nous dit Oleksandr Kyselov. Comme lui, on ne peut que souhaiter le développement des capacités autonomes de défense ukrainienne — et son enracinement populaire dans des droits sociaux. De même, il est nécessaire de protéger son indépendance, donc, d’exiger l’annulation des dettes et de tout ­conditionnement néolibéral aux aides apportées.

    Enfin, il revient au peuple concerné de faire le choix de résister plutôt que de se soumettre — et d’apprécier en cours de lutte les « cessez-le-feu » nécessaires et leurs conditions pour qu’il ne s’agisse pas d’un suicide dans la soumission.

    À nous de soutenir ces choix, de façon indépendante de tous les gouvernements et contre tous les blocs militaires.

    Catherine Samary, membre du NPA-l’Anticapitaliste et du RESU (Réseau européen de solidarité avec l’Ukraine)

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  • Trump et Poutine concluent leur marché sur le dos des peuples...

    Trump a annoncé vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza, afin de développer économiquement le territoire pour en faire une « Riviera » du Moyen-Orient. Pour cela, il suffirait selon lui, de déporter 2,4 millions de PalestinienNEs vers l’Égypte et la Jordanie. Immonde. 

    La même logique préside aux projets de Trump pour l’Ukraine. Pour « récupérer l’argent » versé à l’Ukraine depuis l’invasion russe, il exige l’obtention de contrats d’exploitation des ressources minières ukrainiennes, minerais et terres rares. « Au moins, comme ça, on ne se sent pas idiot », a-t-il déclaré sur Fox News.

    Mais voilà ! L’Ukraine résistante existe encore. La soumission de l’Ukraine est plus difficile à imposer en dépit de ses dépendances envers l’aide occidentale. Certes, le président ukrainien Zelensky cherche à faciliter l’accès des capitaux étrangers aux ressources humaines et matérielles du pays, mais il a annoncé, en marge de la conférence de  Münich, qu’il n’a pas autorisé ses ministres à signer un accord sur ce plan, parce qu’à son avis « il ne nous protège pas ». La mort de l’OTAN ?

    Jusqu’alors l’adhésion à l’OTAN garantissait la solidarité entre les pays membres de l’alliance militaire. C’était important, voire vital, pour les pays limitrophes de la Russie. L’article 5 du traité était censé signifier qu’une attaque contre un membre impliquait la protection de l’OTAN, et surtout des États-Unis, contre la Russie. À la veille de l’invasion russe de février 2022, Macron soulignait que l’OTAN était « en mort cérébrale », contredisant la thèse d’une « menace » de l’OTAN contre la Russie. Bien que Poutine ait fait semblant de croire en cette « menace », il misait, dès février 2022, en fait sur cette « mort cérébrale ». Et Biden l’avait dit à  Zelensky : les États-Unis n’enverraient pas de troupes pour défendre un pays non membre de l’OTAN.

    Quoi qu’il en soit, les choix de Trump imposent de mettre les pendules à l’heure : il s’agit, dit-il, d’une « guerre européenne », et que l’Ukraine appartienne ou pas au « monde russe », comme l’affirme Poutine, lui importe peu. D’une mort « cérébrale », on tend à une mort tout court de l’OTAN. Mais ce n’est évidemment pas la fin des politiques et industries d’armement. Mais Trump préfère « la paix » pour ses affaires. Avec ses émissaires, il cherche surtout à renouer de bons rapports avec la Russie pour gérer avec elle, sans l’Ukraine et sans les Européens, un partage de sphères d’influence.

    Construire les liens internationalistes

    Dès l'invasion de l'Ukraine par l’armée de Poutine en février 2022, s’est posée la question d’une solidarité à grande échelle avec le peuple ukrainien.

    Avec la gauche ukrainienne, il revient aux gauches européennes de construire leur propre agenda politique et social, des liens internationalistes par en bas face aux guerres et aux paix qui se font sur le dos des peuples.

    Le NPA-l’Anticapitaliste continue de soutenir le peuple ukrainien dans sa lutte pour son droit à l’autodétermination et à la souveraineté nationale, contre tous les autoritarismes et tous les impérialismes et appelle à manifester son soutien le 23-24 janvier aux côtés notamment du RESU (Réseau de solidarité avec l’Ukraine).

  • Cameroun, la vérité sur les violences coloniales de la France...

    « Le rapport sur le rôle et l’engagement de la France dans la lutte contre les mouvements indépendantistes et d’opposition au Cameroun de 1945 à 1971 » écrit par une commission mixte d’historienNEs camerounais et français sous la direction de l’universitaire Karine Ramondy, et remis le 28 janvier dernier aux président Macron et Biya, démontre avec précision et détail « la violence extrême » employée par la France pour maintenir sa domination.

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