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NPA l'Anticapitaliste 06 et 83 : le blog - Page 24
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Université d'été 2025, les inscriptions...
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Université d'été 2025, présentation...
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Université d'été 2025, c'est parti !
17ème Université d'été du NPA l'Anticapitaliste
Du dimanche 24 août au mercredi 27 août
(accueil le samedi 23 à partir de 14h et départ le jeudi 28 après le petit déjeuner)
Comme chaque année, l’université d’été est un moment de réunion convivial, juste avant la rentrée qui nous permet de faire le point sur la situation politique (la crise économique et l'austérité ; les guerres, notamment en Ukraine et en Palestine ; la montée de l’extrême-droite en France comme dans le monde…) et nous préparer à une rentrée combative ! L’université d’été, c’est également l’occasion, dans la mesure du possible, de commencer à mettre en pratique collective nos principes, dans un cadre sympathique et convivial.
Les inscriptions sont ouvertes !
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Salon du Bourget et résistance populaire contre tous les impérialismes...
Face au salon mondial de l’armement organisé au Bourget, une mobilisation internationaliste et anticoloniale s’est tenue dans le 93, entre actions symboliques, répression policière et soutien populaire. Un contre-salon de solidarité, de musique et de luttes, porteur d’un autre horizon que celui des marchands de mort.
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Gaza, Cisjordanie, Iran : Quand la solidarité syndicale n’est pas qu’un mot !
Avec des organisations syndicales déjà bien occupées par les attaques antisociales, il n’est pas toujours facile d’aborder des questions qui semblent loin du quotidien des collègues de travail, surtout lorsque le matraquage médiatique est aussi hostile et mensonger qu’il l’est sur le génocide à Gaza.
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Les États-Unis en guerre au Moyen-Orient… une fois de plus !
Les États-Unis se sont joints à Israël dans sa guerre contre l’Iran, augmentant ainsi les risques d’une guerre régionale plus large, qui pourrait devenir un bourbier sans fin, comme ce fut le cas avec la guerre en Irak.
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« Opération Retailleau » : une rafle d’État contre les migrantEs !
Sous l’impulsion de Retailleau, une « opération nationale de contrôle des flux » a été déclenchée les 18 et 19 juin, mobilisant plus de 4 000 flics dans les gares, trains et bus pour traquer les personnes sans-papiers. Derrière l’habillage technocratique d’une « lutte contre l’immigration irrégulière » se cache une réalité brutale : des rafles ciblées dans des lieux de passage, avec un objectif clair d’enfermement, de déportation, de terreur.
Une offensive raciste et classiste
L’affreux Retailleau assume cette logique sécuritaire et raciste. À Paris, les contrôles ont débordé largement des gares : les flics se sont postés à des carrefours clés, comme à Porte de la Chapelle ou Place de Clichy, interrogeant au faciès, demandant aux passants s’ils « connaissent des personnes en situation irrégulière ». Une stratégie qui rappelle les heures sombres de l’histoire française.
Prévue par le code de procédure pénale, la pratique des contrôles administratifs d’identité est censée être aléatoire, mais ces contrôles reposent dans les faits sur des critères racistes, de classe et d’apparence. Une dérive brune assumée, banalisée, institutionnalisée.
À Rouen, à Rennes ou encore à Grenoble, les déploiements policiers ont également été très intenses dans les gares. Dans le sud de la France, comme à Perpignan ou à Hendaye, des opérations massives ont eu lieu dans les gares et aux frontières avec la collaboration des flics espagnols. Des moyens démesurés déployés pour 13 interpellations à Perpignan par exemple.
Une politique franco-britannique de la traque
La collaboration des polices française et espagnole aux frontières dans le sud reflète les contrôles migratoires dans le nord de la France. Dans la Manche, le gouvernement britannique a demandé l’aide de la police française pour traquer les exiléEs jusque dans la mer. Londres dicte, Paris exécute. L’humanité est jetée à la mer, la solidarité criminalisée.
Finalement, les gouvernements n’ont pas de difficultés à s’accorder quand il s’agit de faire la chasse aux migrantEs.
La société civile se mobilise
L’opération Retailleau a mené à peu (mais déjà trop !) d’arrestations. Les militantEs d’extrême gauche ont su prévenir les personnes en danger et aussi se mobiliser en faisant des actions pour faire perdre du temps aux contrôles policiers, en manifestant dans les gares ou encore en bloquant les voies de trains.
Du côté de la justice, le Syndicat de la magistrature, le Syndicat des avocats de France, le Gisti, le Collectif d’action judiciaire et d’autres, qui demandent de longue date la suppression de ces contrôles administratifs, ont introduit un recours devant le Conseil d’État en vue de suspendre cette instruction. Leur combat, juridico-politique, est crucial.
Notre camp, c’est celui des migrantEs
Ces rafles ne sont pas des accidents. Elles sont les produits logiques d’un système capitaliste et raciste, qui sélectionne les vies en fonction de leur « rentabilité ». Face à cette chasse à l’homme légalisée, notre devoir est clair : la solidarité sans condition avec les sans-papiers, la dénonciation implacable des politiques migratoires meurtrières et l’organisation collective pour leur faire face. Égaux, égales, personne n’est illégal.
Amel
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Sans rapport de forces, à la fin c’est toujours le Medef qui gagne...
Au moment où nous écrions ces lignes, François Bayrou tente une manœuvre désespérée. Il s’agit pour lui de réanimer le cadavre du « conclave » sur les retraites en recevant à Matignon les « partenaires sociaux » restés à la table de négociation.
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Les États-Unis et Israël sèment la mort et le chaos ...
Une semaine après avoir rejoint l’attaque israélienne contre l’Iran, les États-Unis annoncent un cessez-le-feu sans qu’aucun de leurs objectifs ne soit atteint. Derrière cette annonce, se dessinent les ambitions persistantes de remodeler la région par la guerre, au prix de la vie des peuples du Moyen-Orient.
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Contre la guerre et la dictature, solidarité avec les peuples d’Iran !
Les États-Unis ont rejoint Israël dans la guerre contre la République islamique d’Iran. Illégitime et illégale au regard du droit international que les grandes puissances invoquent quand il s’agit de défendre leurs intérêts, cette guerre mène le Moyen-Orient vers la catastrophe.
Téhéran et de nombreuses villes sont bombardées quotidiennement. Ces attaques visent des cibles militaires mais aussi des zones résidentielles. Il y a des centaines de morts dans la population civile, des milliers de blesséEs, des dizaines de milliers de déplacéEs.
Israël détruit des infrastructures civiles. Ses attaques contre les dépôts de carburant et les raffineries causent des dégâts majeurs.
Les bombardements israélo-étatsunien contre les installations nucléaires, contraires au droit international, menacent de provoquer des dommages écologiques et humains irréversibles.
Une menace pour l’ensemble des peuples du Moyen-Orient
Alors que la politique criminelle de Netanyahou provoque un rejet massif partout dans le monde, cette agression est aussi une tentative de détourner l'attention du génocide en cours à Gaza. Mais cette guerre a également pour but de remodeler la région par la mise en place de régimes favorables aux intérêts israélo-étatsunien.
Netanyahou, dont l’armée occupe une partie du Liban et de la Syrie, est une menace pour l’ensemble des peuples de la région. Lui qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt international doit être arrêté au plus vite et traduit en justice.
Au lieu de cela, la France et les puissances occidentales lui vendent des armes, lui apportent soutien diplomatique, financier et militaire. Les États-Unis, l’État français, l’Union européenne sont complices du génocide et des guerres provoquées par Israël.
Nous sommes solidaires des peuples qui paient un lourd tribut à cause des guerres impérialistes.
C’est aux peuples d’Iran de décider de leur avenir
Nous sommes au côté des peuples d’Iran, qui n’ont jamais cessé de lutter contre la dictature qu’est la République islamique. Nous sommes à leur côté face à l’agression israélo-étatsunienne.
Le courage des peuples d’Iran a été démontré à de nombreuses reprises lors des manifestations et mouvements de femmes, de travailleurs, de retraités, de militants écologistes, de minorités nationales.
La République islamique profite de la guerre pour réprimer davantage la société iranienne. Cette guerre est un coup porté aux mouvements sociaux et démocratiques qui, ces derniers mois, étaient dans une phase ascendante.
Nous soutenons les organisations et militantEs en Iran qui réclament l’arrêt immédiat de la guerre et la fin de la République islamique. Nous soutenons toutes celles et ceux qui luttent en Iran pour l’égalité, la liberté et la justice sociale.
Construisons un vaste mouvement contre les guerres impérialistes, le colonialisme et le militarisme !