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Actualités internationales... - Page 57

  • Ouvrez, ouvrez les frontières !

    En 10 ans, 26 000 personnes sont mortes en Méditerrannée, chiffre sans doute en-dessous de la vérité. En 2015, le corps d’Aylan échoué en Turquie avait ému. Aujourd’hui, les drames se succèdent dans l’indifférence générale.

    Le 26 février, au moins 70 migrantEs sont mortEs noyéEs près de la plage de Steccato di Cutro en Calabre. Ils venaient de Turquie et avaient cherché à éviter la Grèce et ses camps. La barque avait été repérée par un avion de Frontex, mais aucun secours ne leur était venu en aide.

    Frontex et la guerre des États européens contre les ONG

    La présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, dirigeante du parti fasciste Frères d’Italie, a exprimé sa « profonde douleur » face à ce drame et juge qu’il est « criminel de mettre en mer une embarcation de 20 mètres… avec 200 personnes à bord et une mauvaise météo ». Le ministre de l’Intérieur, Matteo Piantedosi, membre de la Ligue du Nord, a expliqué qu’il fallait arrêter les départs, seule façon d’éviter les mortEs. Ignoble !

    Il n’y a plus de bateaux sauveteurs des États européens, seulement des bateaux des ONG. En Italie, le gouvernement d’extrême droite a engagé une guerre contre les ONG qui viennent secourir les migrantEs en perdition en Méditerranée. Le nouveau décret pris par le gouvernement de Giorgia Meloni oblige les navires humanitaires à effectuer un seul sauvetage à la fois dans une journée, les contraignant à accoster dans un port avant de retourner pour en secourir d’autres.

    Ces navires ne pourront plus accoster dans des ports situés à proximité du sauvetage, mais devront remonter plus au nord des côtes italiennes. SOS Méditerranée parle d’une guerre qui leur est menée et estime que cela vise à les faire « disparaître de la Méditerranée centrale ». Pour Médecins sans frontières, éloigner les ports où les bateaux peuvent se rendre complique les sauvetages en ­augmentant les coûts en carburant.

    L’Europe : un espace de non-accueil

    De plus en plus de voies d’exil sont fermées rendant les passages de plus en plus dangereux. Lors de la visite du Premier ministre anglais Rishi Sunak le 11 mars à Paris, Macron et lui se sont mis d’accord sur un marchandage ignoble : empêcher toute traversée de la Manche, toute arrivée de réfugiéEs venant de France en Angleterre, en échange de quoi le gouvernement anglais verserait 541 millions d’euros pour financer des patrouilles policières sur les côtes françaises et construire un CRA dans le nord de la France.

    Ursula van der Leyen veut que l’Europe redouble « d’efforts concernant le pacte sur la migration et l’asile ». Lorsque le 10 juin 2022, les 27 États ont adopté un « mécanisme volontaire de solidarité », il ne s’agissait pas de solidarité vis-à-vis des migrantEs mais entre les pays de l’UE pour répartir les demandeurEs d’asile.

    Dans la même logique, la base de données européenne Eurodac permettant le fichage des migrantEs et des demandeurEs d’asile pourra être étendue aux pays limitrophes, renforçant toujours plus les frontières européennes. Il s’agira d’externaliser toujours plus loin, de tenir à distance celles et ceux qui sont considéréEs comme « indésirables », de payer des pays comme la Libye pour interdire les passages. Le développement dans les Balkans d’un système de collecte de données des personnes exilées et qui sera commun avec l’UE illustre cette volonté d’un flicage anti-migrantEs à l’échelle d’un continent.

    Commission immigration-antiracisme du NPA
  • Hanna Perekhoda - La résistance des femmes ukrainiennes...

    « Une des revendications des féministes ukrainiennes, c'est la visibilité et la reconnaissance du rôle actif des femmes dans la lutte contre l'envahisseur. » Notre camarade Hanna Perekhoda est militante à Sotsialniy Rukh et au réseau européen de solidarité avec l'Ukraine.
    Cette vidéo a été diffusée au Forum féministe le 4 mars 2023.

  • Face aux agressions de l’armée et des colons, solidarité avec les PalestinienEs !

    Depuis plusieurs semaines, les exactions commises par l’armée israélienne et les colons en Cisjordanie se multiplient. Dans la nuit de dimanche à lundi, des colons fanatiques se sont livrés, comme l’ont expliqué de nombreux témoins sur place, à un véritable « pogrom » contre le village d’Huwara, au sud de Naplouse : incendies, agressions, lynchages, le tout sous le regard — et la protection — de l’armée d’occupation israélienne. Bilan : des centaines de blesséEs, un mort dans un village avoisinant, 75 maisons et une centaine de voitures brûlées.

    Le prétexte à cette violente attaque des colons est la mort de deux habitants de la colonie de Har Bracha, près de Naplouse, tués par balles par un Palestinien dans la journée de dimanche. Un acte qui avait été interprété comme des « représailles » à la violente offensive israélienne contre la ville de Naplouse en début de semaine, qui s’était soldée par 11 morts et plus de 100 blesséEs côté palestinien.

    Ne nous y trompons pas : il ne s’agit absolument pas, contrairement à ce que l’on peut lire ou entendre, d’une soudaine « explosion de violence ». La violence de l’occupation est omniprésente dans la vie des PalestinienEs, qui subissent quotidiennement les humiliations et les violences de l’armée, ainsi que les multiples « incursions » dans les villes, villages et camps, qui se sont soldées, ces dernières années, par un nombre toujours plus important de victimes. En 2022, ce sont ainsi pas moins de 170 PalestinienEs qui ont été tués en Cisjordanie et à Jérusalem (et plus de 50 à Gaza), soit le bilan humain le plus élevé depuis plus d’une quinzaine d’années.

    À la violence quotidienne de l’armée s’ajoute la violence quotidienne des colons, à l’image de ce qui s’est passé à Huwara dimanche soir. Selon les données de l’ONU, au moins 755 attaques de colons ont eu lieu en 2022, soit plus de deux par jour en moyenne, dont 161 ont entraîné des décès ou des blessures. En comparaison, 496 attaques avaient été enregistrées en 2021 et 358 en 2020. Sur ces 755 attaques, 594 ont en outre entraîné des dommages matériels : bâtiments détruits, véhicules incendiés, plus de 10 000 oliviers arrachés, etc.

    L’extrême droite est aujourd’hui plus forte que jamais en Israël, et c’est elle qui est aux commandes du pays, avec un gouvernement Netanyahu appuyé sur une coalition réunissant intégristes religieux, colons suprémacistes et courants néofascistes. Ce gouvernement est aujourd’hui contesté en Israël pour ses projets anti-démocratiques, et chaque jour qui passe montre à quel point il constitue une menace existentielle pour les PalestinienEs.

    Le NPA affirme sa solidarité avec les PalestinienEs en lutte, et rappelle qu’aucune « solution juste » ne pourra être trouvée sans la satisfaction de l’ensemble de leurs droits : fin de l’occupation civile et militaire, égalité des droits, droit à l’autodétermination et droit au retour.

    Le soutien à l’État d’Israël doit cesser ! Ce dernier doit au contraire être sanctionné et rendu comptable de ses crimes. C’est tout le sens de la campagne BDS (Boycott-désinvestissement-sanctions), dont le développement et le renforcement, en l’absence de toute autre forme de sanction et de pression, demeurent une nécessité. 

    Le NPA sera présent et appelle à se rendre au rassemblement de solidarité organisé le jeudi 2 mars à Paris par le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens, 18h30 place Saint-Michel.

  • Face aux invasions de l’armée israélienne et aux « pogroms » des colons, la Cisjordanie résiste...

    Alors que les assassinats opérés par l'armée israélienne et les opérations de terreur menées par les colons se multiplient, les Palestiniens se rallient à la résistance armée, avec des mobilisations de masse spontanées qui n'ont pas été vues depuis des décennies.

    La Cisjordanie a subi une double attaque la semaine dernière. La première a été menée par l’armée israélienne lors d'une invasion militaire massive de Naplouse qui a tué 11 Palestiniens et en a blessé plus de 100. La seconde a été menée par son aile civile — des bandes de colons qui se sont déchaînées dans la nuit de dimanche à lundi en réponse à une attaque de la résistance qui a tué deux colons israéliens à Huwwara, juste au sud de Naplouse.

    « Ne désespérez pas et ne sombrez pas dans le chagrin »

    Le raid sur Naplouse, l'un des plus sanglants de ces derniers mois, visait à assassiner des résistants recherchés des Lions de Naplouse, Muhammad Juneidi et Hussam Isleem. Les forces spéciales israéliennes les ont tués ainsi que leur camarade, Walid Dakhil, cousin de l'un des cofondateurs du groupe. Quatre autres combattants des groupes de résistance armée des environs de Naplouse ont également été tués dans les combats, ainsi que quatre passants dans la ville (trois hommes âgés et un adolescent).

    Naplouse était en deuil, et les Lions ont lancé un appel demandant à la population de manifester son soutien à minuit, le 23 février :

    « Ne désespérez pas et ne sombrez pas dans le chagrin, nous avons besoin de vous tous, comme vous nous y avez habitués […], pour descendre dans la rue si vous le pouvez, pour sortir sur toutes les grandes places, dans toutes les villes de Cisjordanie, de Jérusalem, de la bande [de Gaza] bien-aimée, et dans tous les camps de réfugiés de la patrie, pour entendre ceux qui jureront fidélité au sang versé. »

    Tout le monde a répondu à l'appel des Lions. De Ramallah à Hébron, de Naplouse à Jénine, à Bethléem et dans ses camps, à Tulkarem et à Jéricho, les gens sont sortis par milliers à minuit, pour la manifestation d’un soutien massif et inconnu de toutes les factions politiques palestiniennes.

    Ni le Fatah ni aucune autre faction n'a été capable de rassembler ce type de soutien de masse spontané depuis la première Intifada. Il est désormais évident que la légitimité politique ne vient pas des salles où se déroulent les sommet ou des accords de sécurité, mais du canon du fusil lorsqu'il est pointé vers le colonisateur.

    En d'autres termes, les Lions ont stimulé l'imagination des Palestiniens d'une manière que le « leadership » politique n'a pas réussi à faire depuis des décennies. En réalité, il a depuis longtemps cessé d'essayer.

    Pourtant, ce leadership reconnaît que son contrôle est de plus en plus ténu sur les cantons de Cisjordanie qu'il appelle un État, ce qui l'a poussé à participer à une réunion organisée par la Jordanie avec de hauts responsables israéliens à Aqaba le dimanche 27 février. Annoncé comme visant à « mettre fin à l'effusion de sang », selon le Fatah, le sommet d'Aqaba a été organisé dans le but express de calmer la tempête en préparation du côté de la résistance palestinienne.

    « Pogrom » à Naplouse

    Le même jour que le sommet, un Palestinien armé non identifié a mené une attaque contre un véhicule de colons dans la ville palestinienne de Huwwara, au sud de Naplouse. Deux colons ont été tués, et avec eux le Sommet d'Aqaba, qui était en réalité mort-né.

    Les Palestiniens ont considéré l'attaque comme des représailles à l'invasion de Naplouse, tout comme la fusillade de Khairi Alqam à Neve Yaacov avait été considérée comme des représailles au massacre de Jénine il y a plusieurs semaines.

    Selon Reuters, l'un des colons tués à Huwwara faisait partie de l'armée israélienne, et les deux colons seraient originaires de la colonie israélienne illégale de Har Bracha, située à 8 kilomètres du site où ils ont été tués. Har Bracha est l'une des nombreuses colonies israéliennes notoirement violentes de la région de Naplouse, d'où les colons israéliens lancent régulièrement des attaques contre les Palestiniens.

    Et c'est précisément ce que les colons ont fait après la fusillade de dimanche à Huwwara.

    L'émeute des colons a été en général décrite comme un « pogrom », et ce à juste titre. Les gangs de colons enragés se sont déchaînés à Huwwara et dans de nombreuses autres villes de Cisjordanie, brûlant complètement 35 maisons palestiniennes, en endommageant 40 autres et tuant un Palestinien à Zaatara, Sameh Aqtash, âgé de 37 ans.

    Pendant tout ce temps, l'armée israélienne accompagnait les colons, assurant leur sécurité et leur « liberté » de lyncher et de brûler à leur guise. Les forces israéliennes ont également imposé un bouclage de la région de Naplouse, l'agence de presse Wafa signalant des bouclages aux points de contrôle de Huwwara, Awarta, la route d'al-Muraba'a, Za'tara et les entrées de Beita. Lundi 27 février, Wafa a rapporté qu'un colon israélien a tenté d'écraser un groupe de journalistes qui couvraient l'actualité à Huwwara.

    Le ministre des Finances d'extrême droite Bezalel Smotrich, qui est désormais en charge de l'administration civile en Cisjordanie, a liké un tweet du chef adjoint du conseil régional de Samarie qui appelait à « effacer » le village de Huwwara, tandis que son ami politique et ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, s'est rendu lundi à l'avant-poste illégal des colons d'Evyatar alors qu'il était en cours d'expulsion, jurant d’« écraser nos ennemis » et déclarant que les colons sont dans un état de guerre qui « ne va pas se terminer en un jour ».

    En cela, Ben-Gvir a raison. La guerre perpétuelle des sionistes contre les Palestiniens est aussi vieille que le sionisme lui-même, tout comme la résistance palestinienne.

    Traduction J.S.

    Source : mondoweiss.net

  • « La situation mondiale est celle d’une nouvelle guerre froide »...

    Un entretien avec Gilbert Achcar, réalisé à l’occasion de la parution de son nouvel ouvrage « The New Cold War: The United States, Russia, and China from Kosovo to Ukraine » (« La Nouvelle Guerre froide : États-Unis, Russie et Chine, du Kosovo à l’Ukraine »), paru le 14 février aux éditions Westbourne Press en Grande-Bretagne, et à paraître le 4 avril chez Haymarket aux USA.

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  • POING Hebdo : Solidarité avec la résistance ukrainienne !

     

    Assez de la guerre de Poutine ! Troupes russes hors d’Ukraine ! Solidarité avec la résistance ukrainienne !

    Le Poing Hebdo du NPA avec Christian Varquat, membre de la direction du NPA et membre de la commission internationale du NPA

    "Il y a un an, le président russe Vladimir Poutine donnait l’ordre à ses troupes d’envahir l’Ukraine. Malgré la disproportion des forces, malgré des centaines de milliers de morts militaires et civils, malgré la destruction des villes et des infrastructures (en particulier énergétiques), malgré les crimes de guerre et présomption de crimes contre l’humanité commis contre lui, le peuple ukrainien continue de résister."

  • Assez de la guerre de Poutine ! Troupes russes hors d’Ukraine ! Solidarité avec la résistance ukrainienne !

    Il y a un an, le président russe Vladimir Poutine donnait l’ordre à ses troupes d’envahir l’Ukraine. Malgré la disproportion des forces, malgré des centaines de milliers de morts militaires et civils, malgré la destruction des villes et des infrastructures (en particulier énergétiques), malgré les crimes de guerre et présomption de crimes contre l’humanité commis contre lui, le peuple ukrainien continue de résister.

    Pourtant, Poutine s’obstine. Il renvoie à la boucherie des dizaines de milliers de soldats de la Fédération de Russie, souvent des régions pauvres, il prépare ses prochaines offensives, bref il n’est pas question pour lui d’arrêter cette invasion contraire à tout droit international.

    Défendre le droit des peuples contre une agression

    Parmi les mouvements de gauche dans le monde, trop nombreux encore sont ceux qui, tout en réprouvant la politique quotidienne de Poutine, tentent d’excuser cette invasion par des « provocations » de l’OTAN, des États-Unis ou des UkrainienEs eux-mêmes et elles-mêmes. Si sur la longue durée nous connaissons les turpitudes de l’impérialisme dominant et des puissances occidentales alliées, si nous dénonçons leur responsabilité historique dans la concurrence marchande généralisée qui pousse aux guerres, nous savons aussi qu’il ne saurait y avoir d’émancipation sans défense du droit des peuples à résister à l’agression. Il serait injuste et illusoire de croire qu’une paix peut se faire sur le dos des UkrainienEs pour résoudre ce qui serait avant tout un « conflit inter-impérialiste ». Pour les UkrainienEs, il s’agit d’une lutte de libération nationale et démocratique.

    Poutine est entré en guerre dans sa logique d’ancien agent des services de sécurité devenu autocrate impérialiste, qui veut reconstruire l’ancien empire colonial de la Russie en écrasant tous les droits démocratiques qui peuvent menacer son régime prédateur. Il a publiquement annoncé et répété qu’il veut mettre fin à l’Ukraine comme État indépendant.

    Soutien à la résistance ukrainienne armée et non armée

    L’ensemble de la société ukrainienne se lève pour défendre sa liberté, avec le soutien des opposants à l’oppression dans toute la région. La résistance armée et non armée ukrainienne mérite le soutien de la gauche et des anticapitalistes du monde, au-delà de ce qu’on peut penser du gouvernement ukrainien, au-delà des arrière-pensées des pouvoirs occidentaux – à qui Zelensky ne cesse de demander l’aide militaire permettant aux UkrainienEs de repousser les assauts de l’armée de Poutine et d’empêcher sa victoire. Et cela ne nous empêche pas de renforcer notre dénonciation du réarmement global dans le monde, ni des ventes d’armes de Macron faites aux dictatures.

    Avec le Réseau européen de solidarité avec l’Ukraine (RESU/ENSU) que nous avons contribué à construire, le NPA est investi sur le terrain de la solidarité par en bas, indépendante de tout gouvernement. Solidarité et liens avec les organisations citoyennes, syndicales, féministes ukrainiennes, mais aussi anti-guerre biélorusses et russes. Pour consolider une perspective anticapitaliste et les liens avec les forces de transformation sociale de l’Est de l’Europe, l’enjeu est de déployer plus largement ces actions de solidarité. C’est dans ce cadre qu’un an après le déclenchement de cette guerre inique, nous appelons à participer aux manifestations unitaires pour le retrait des troupes de Poutine de toute l’Ukraine.

  • 24 février 2022 – 24 février 2023 Poutine poursuit sa guerre pour détruire l’Ukraine !

    Il y a un an, le président russe Vladimir Poutine donnait l’ordre à ses troupes d’envahir l’Ukraine. Malgré la disproportion des forces, malgré des centaines de milliers de morts militaires et civils, malgré la destruction des villes et des infrastructures, en particulier énergétiques, malgré les crimes de guerre et les présomptions de crimes contre l’humanité commis contre lui, le peuple ukrainien continue de résister. Son armée a même infligé des reculs humiliants à l’armée russe.